Chapitre 8: Amitié...

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Nouveaux chapitre, je suis désolé de ne pas avoir posté avant mais j'espère qu'il vous plaira. Et pour Nonours: ne t'inquiète pas, le passage que tu attends est dans le prochain chapitre normalement!
Caro
***
La fin de semaine était arrivée, une petite routine s'était installée. Tous les jours, à neuf heures le matin je partais rendre visite à Léo. Je passais une heure avec lui et nous parlions de tout et de rien. Je découvrais peu à peu sa personnalité, je lui racontais ce qu'il se passais en dehors de sa cellule et, peu à peu, j'apprenais son passé. Il est vrai que je devais être patiente, mais j'arrivais à récolter certaines informations. Le blocage que Léo avait dans sa tête était toujours présent. Je vins même à me demander si il ne le fessait pas exprès. Après, je partais à mon entraînement et puis j'allais aider Greta en cuisine. L'après-midi, je repassais voir mon prisonnier puis j'avais un entretient avec le commandant. Puis, de nouveau Greta et enfin, je me m'endormais. Au fur et à mesure des jours qui passait, je prenais plus confiance en moi et mes pouvoirs, ne me dérangeaient plus tellement. Bien que j'étais encore réticente à les utiliser. Il était enfin temps de sortir Léo de sa cage. J'avais eu une petite réunion avec le commandant et Ellie. On avait décidé que je m'occupais la plupart du temps du jeune homme mais que pendant mes heures d'entraînement, ce serait ma meilleur amie qui en aurait la charge. Elle ne savait toujours pas pour mes pouvoirs et le commandant me disait toujours qu'il y aurait bien un moment où elle le saurait. Je me contentais de hausser les épaules et d'espérer que se serait le plus tard possible.
Je marchais dans les couloirs en direction de sa "chambre". Un petit sourire collé sur mon visage. C'était le jour où Léo sortait enfin. Les ouvriers avaient fait du bon travail. La chambre était magnifique. Elle était composée de deux pièces, ma chambre et celle de Léo. Il fallait passer par une des pièce pour aller dans l'autre. Ainsi, Léo ne pourrait sortir seul. A mon habitude, je tournais la poignée pour me faufilée à l'intérieur. A leurs habitude, les deux iris fauves s'illuminèrent en posant leur regard sur moi.
-" Hello...
- Salut. Tu vas bien?"
Il me souriait. Fessant ressortir ses fossettes.
-"Oui, tu es prêts pour sortir?"
Il se leva d'un bon et fit un salut militaire.
-"Oui chef!"
-"On va d'abord aller dans la chambre, tu pourras te changer et prendre une douche. Je pense tu n'as pas du souvent en prendre une depuis que tu es ici et ensuite nous irons aider Greta. Ça te vas?"
Il me regarda d'un air moqueur.
-"Ai-je le choix?"
-"Non." Lui répondais-je en souriant. Il haussa les épaule.
-"pas grave. De toute façon, je serais quand même venu avec toi."
Il me rendit mon sourire et il vint se poster à côté de moi.
-" Prêt de sortir enfin de cette cage?"
-" Oh mon dieu oui! Tu ne sais pas à quel point."
Nous sortions tout les deux et nous dirigions vers la chambre. Arriver là-bas, il pris sa douche et se changea. Une petite garde robe avait été mise à sa disposition. Après son brin de toilette, nous nous dirigions vers les cuisines pour les aider à faire le repas. Léo avait l'air ravis de faire enfin autre chose que de rester cloîtrer dans sa cellule. On marchait en parlant de tout et de rien. Je voulais en savoir plus sur lui, mais cette fois, c'était plus pour ma propre personne que pour le commandant.
-"Léo, as-tu des frère et sœurs?"
Son visage qui était jusqu'à maintenant joyeux prit une teinte triste.
-"J'avais un petit frère, mais il est mort quand il avait deux ans à cause de problème de cœur."
-"Je suis désolé, je n'aurais jamais du te demander ça."
Un me fit un petit sourire
-"je ne t'en veux pas. Et puis, si je t'en ai parlé, c'est que je te fais assez confiance."
Je lui offrit un de mes sourire. Glissant ma main dans la sienne pour le réconforter. Ses joues prirent une petite teinte rosée tandis que les mienne étaient devenues purpurine en me rendant compte de mes gestes. Pourtant, il ne retira pas sa main. Au contraire, il serra ma mienne gentiment me montrant qu'il appréciait le geste. Nous marchions doucement vers les cuisine. Léo me disait des blagues et je rigolais à celle-ci. Si bien que je ne remarqua même pas que nous rentrions dans les cuisines nos doigts encore enlacés.
-"Clara chérie! Enfin te voilà. Je suis désolé mais nous sommes déborder aujourd'hui et il faudrait nous aider à peler les patate. Oh je vois que tu as ramenée quel..."
Greta s'arrêta de parler, nous fixant avec un sourire béat sur les lèvres. Je baissais mon regard dans la direction qui avait l'air de tant l'enchanter. Et je remarquais que la main de Léo tenait toujours la mienne. Je leva la tête pour regarder le visage du jeune homme poste à côté de moi et vis que lui aussi avais remarquer nos main. Mes joues chauffaient d'embarras et je lâchais très vite ses doigts. Le visage de Léo devait être aussi cramoisi que le mien.
-"Ma chérie, tu me présente ce charmant jeune homme?"
-"Greta, je te présente Léo. Léo, Greta. Elle est un peu comme ma deuxième maman." Je reportais mon attention sur la cuisinière." C'est le jeune homme dont je dois m'occuper tu te souviens de l'annonce du commandant?"
-"Bien sur mon cœur mais je ne m'attendais pas à ce que ce jeune homme soit aussi charmant!"
-"Merci du compliment madame."
Léo était bien élevé, dans ces mots et dans sont intonation, tout était poli.
-"Aller les jeunes, dépêchez-vous et venez nous aider."
Je m'asseyait à une table et Léo fit de même en se postant décevant moi.
Après une bonne dizaine de kilos, Greta vint nous aider à terminer vu que le reste des plats était déjà en train de cuire. Elle commença à parler au jeune homme aux yeux de félin.
-"Léo, c'est ça?"
-"Oui madame."
-"Tu t'entend bien avec Clara?"
-" Oui, je trouve que c'est une personne formidable!"
-"Je suis bien d'accord avec toi. Mais dites-moi tout mes deux, depuis combien de temps êtes-vous ensemble?"
Il y eu un gros blanc, je pris finalement la parole mais avec peu d'assurance.
-"Rien du tout, Léo et moi sommes juste ami."
Tout dans ma phrase était vrai. Même si, quand ces mots sortirent de ma bouche, je su que je voulais un peu plus qu'une simple relation amical avec lui. Et arrêtez-moi si je me trompe, mais je cru déceler une lueur triste dans les belles orbes orangées...

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