Coucou les gens je suis désolé mais l'ancien chapitre que j'avais poster s'est effacé :,( bref. Pour ceux qui on lu l'autre, relisez celui-ci car j'ai apporter certaines modifications. Big kiss
Caro!!
***
Je me dirigeais lentement vers sa cellule. Mes pas étaient lents, pensifs. J'appréhendais le fait de vivre avec Léo. Cette, je l'aimais bien. Il était gentil. Mais vivre avec lui jour et nuit ne me plaisais pas énormément. La façon dont mes journées s'étaient passé depuis que je le connaissait étaient en tout point différentes. Jamais je n'avais pris parole devant tout le monde. Jamais je n'avais donner mon avis sur une question qu'elle qu'elle soit. J'appréciais ce changement qui s'opérais en moi. Beaucoup. Arrivée devant la porte, SA porte. Je pris une grande inspiration. Je l'ouvrais doucement, elle grinçait un peut. L'huile devait manquer ces derniers temps. Je passais ma tête dans l'entre baille de la porte et regardais ce qu'il se trouvait à l'intérieur. La petite pièce ne contenait qu'un matelas avec une couverture au cas ou il ferait froid. Il était couché sur le dos. Il avait l'air paisible. Je souriais en le voyant comme ça. Soudain, mes yeux se posèrent sur sont ventre. J'eu un hoquet de surprise et de dégoût. Il était mutilé. De grosses boursouflures barraient son abdomen. Je me demandais ce qu'il avait bien pu se passer pour que sa peau soit arrachée ainsi. Je m'avançais à pas de loup dans cette pièce dénudée de personnalité pour venir m'assoir à côté de lui. Je le sentais bougé. Sa tête prenant soudain une toute autre expression que celle qu'il avait il y avait à peine quelques instants. Son visage était tordu pas la douleur imaginaire qu'il devait ressentir dans son rêve. Sans y faire vraiment attention. Je passais sa main sur mon front pour l'apaiser. Les douleurs arrivèrent. Et je sentais le petit flots de souvenir emprunté venir à moi.
* Un petit garçon se trouvait dans un jardin. Il avait l'air heureux. Sa bouille pleine de terre était penchée vers l'avant. Se concentrant sur le petit tracteur qu'il venait de recevoir pour son anniversaire. Ses yeux reflétaient toute la joie que lui avait apporté ce cadeau. Pas loin de là, assise sur une chaise. Se trouvait ce qui devait être sa mère. Ils se ressemblaient beaucoup. Même cheveux châtain claire et même yeux brun pétillant. La jeune femme qui ne devait pas dépasser la trentaine souriait à son fils. Elle n'étaient pas très efféminée avec ses cheveux couper à la garçonne et ses vieux habits. Pourtant, elle dégageais un charme. Presque irréel. Elle était belle. Simplement. Sa voix se fit entendre.
- Chéri, viens. Papa ne devrai plus tarder et il faut préparer le souper.
- J'arrive maman!...*
* elle était couchée sur un lit d'hôpital. Toujours aussi belle. Toujours cette joie dans ces yeux. Quoique cette lueur de bonheur était un peu affaiblie. Son crâne était dégarni. Elle n'en était pas moins charmante.Son fils, un peu plus vieux, se trouvais à son chevet. Lui tenant la main. Il pleurait. Doucement. En silence. Lorsqu'il prit la parole, sa voie était enrouée par les sanglots.
- Maman, je t'en prie. Ne me laisse pas tout seul. J'ai besoin de toi.
- Je suis désolé mon cœur. J'aurais voulu rester un peu plus. Mais je pense que quelqu'un a besoin de moi de tout urgence là-haut. C'est que je n'avais plus ma place ici mon chéri. Crois-moi. J'aurai voulu te voir grandir, avoir ta première copine. Ta première peine de cœur et être un peu plus présenté dans mon rôle au cours de ta vie. Malheureusement, je vais devoir continuer en tant que spectateur. Mais sache que je serais toujours près de toi. Peu importe ou tu ira. Et sache aussi que je t'aime. Maintenant, ça va être à toi de t'occuper de ton père. Tu sais comment il est. Veille bien sur lui, pour moi.
Elle fermait les yeux peu à peu. Sa tête reposant maintenant doucement sur l'oreiller blanc dépourvu de personnalité. Le petit garçon était dévaster. Ses yeux étaient vidé d'émotions. La porte s'ouvrit à la volée, laissant paraître un homme imposant. Intimidant même. Ses yeux si similaire au petit garçon mais pourtant si froid regardait l'enfant assis à côté de sa mère. Il ne l'aimait pas. On le voyait simplement en regardant ses orbes chocolatée. Non, c'était plus que simplement un simple dédain. Il haïssait cet enfant. C'était claire comme de l'eau de roche. Mais ne disait-l'on pas que les yeux étaient des fenêtre vers l'âme des gens. La sienne était noir. Il prit la parole en criant sur le pauvre enfant.
- Voilà espèce de con. Tu es content. Tu as tué ta propre mère. La femme que j'aimais ... Au moins elle n'est plus la pour me mettre des bâtons dans les roues. Je vais enfin pouvoir commencer mes expériences et tu seras un cobaye parfait...*
*- Papa, je t'en prie, arrête!
- qu'elle drôle d'idée mon fils!
Il riait à gorge déployée à côté du garçon qui devait avoir maintenant dans les alentours de huit ans. Celui-ci était attaché à une chaise. Le torse découvert ou nous pouvions apercevoir quelques cicatrices. Mais elles n'étaient pas profonde. Juste assez pour que le petit soit marqué à vie. Il pleurait. Se débattait sur sa chaise en s'essayant de se dégager. Il suppliait son père.
- Papa je t'en supplie, ne fait pas ça. Elle n'a rien fait. Elle n'a que six ans.
- Ne t'inquiète pas je sais que cette petite fille n'a rien à se reprocher. Seulement, tu as franchi les interdictions que je t'avais donner en t'interdisant de la voir.
- Mais c'est mon amie...
- Une merde comme toi n'en a sûrement pas besoin. Voilà. Monsieur s'est cru tout permit et maintenant je vais devoir être obliger de faire tout le ménage.
L'homme s'en alla d'un pas nonchalant vers la porte de la petite pièce où était enfermé le garçon...*
J'entendais une personne m'appeler au loin. Elle avait l'air paniquée. Je sortais doucement de ma transe. Je regardais autour de moi mais ma vue était floue due au larmes qui coulaient en abondance sur mes joues. Tous ces souvenirs, tout ce qu'avait vécu Léo. C'était une des pire chose que j'avais vécu. Je sentais le jeune homme me secouer par les épaules. Je ramenais mon attention à lui. Le regardant dans ses yeux fauve d'une douceur infinie. Comment fessait-il qu'il soit aussi doux. Il était tout simplement l'opposé de son paternel. Mes yeux se baissaient sur son ventre qui était maintenant recouvert d'un simple t-shirt blanc.
- Clara. Tu vas bien?
Sa voix me réchauffait le cœur par sa douceur. Je restais immobile en fixant l'habit qui lui recouvrait maintenant le torse. Il voyait que je ne lui répondais pas. Toujours choquée des événements précédents. Il m'attirait lentement à lui. Me recouvrant de ses bras protecteurs. Je voulais le repousser. Non, je le devais, pour mon bien. Je n'avais plus la force de vivre ses souvenirs affreux qui l'habitait. J'étais déjà assez hantée pas les miens. En le touchant, j'avais activée mon don comme le disait le commandant. La poigne de Léo était fermé mais tendre, voulant me rassurer. Je n'arrivais pas à me séparer de lui. Sa tête se posa dans son cou. Son nez chatouillait ma peau en dessous de mon oreille. Je refermais mes yeux, en attendant que les souvenirs m'envahissent de nouveau. Mais quelque chose clochait. Mon esprit ne communiquait plus avec le sien. Léo, sans le vouloir, avait créé une barrière entre nos deux esprits. Il me serrait contre lui en attendant que je cède à son câlin. Je ne pouvais ou tout simplement voulais plus lui résister. J'avais besoin de réconfort et Léo était la seule personne apte à pouvoir me calmer en ce moment. J'en fouissais ma tête dans son épaule, humais son odeur. Il sentait bon la cannelle. Je me demandais comment cela était possible. J'empoignais son t-shirt. Il me caressait les cheveux.
- Tu as vu.
Cette phase était plus affirmative qu'autre chose. Il se sépara de moi prenant en coupe mon visage au creux de ses mains. Ils essuyait le résidu de larmes qui était toujours sur mes joues avec ses pouces.
- Je suis désolé que tu ai du voir ça. Il parlait doucement, il chuchotait presque.
- C'est pas grave.
- Tu vas mieux?
- Oui merci
Il détournait les yeux gêné.
- Pourquoi étais-tu venue au fait Clara?
Je souriais. Léo était vraiment mignon quand il rougissait.
- Je suis venue te dire que nous allons devoir passer plus de temps encore ensemble.
Il fronçait les sourcils. Ne voyant pas ce que je voulais dire.
- Peux-tu m'éclairer sur le sujet?
- Dans une semaine, le commandant va vous mettre ensemble pour que je te surveille en permanence. Tu vas devoir vivre avec moi vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Un joli sourire s'afficha sur son visage.
- C'est plutôt une bonne nouvelle. Me disait- il.
- Oui... En attendant tu vas devoir attendre encore une semaine le temps que nous préparions la chambre. Je te montrerai demain un peu plus le QG. Pour l'instant je suis désolé de te laisser là, mais j'ai des responsabilités et énormément de chose à faire. On se voit demain?
- De quelles tâches tu parles?
Je détournais les yeux me relevant doucement de son emprise. Je ne pouvais pas lui dire qu'il fallait que je m'entraîne pour mes pouvoirs. Voyant mon malaise, Léo répondit tout de suite.
- So tu ne veux pas m'en parler ce n'est pas grave.
Je hochait la tête. Il se releva et se posta devant moi.
- A demain alors...
- Oui, à demain. Lui répondais-je.
Il me fit un léger baiser sur la joue. Les sienne étaient un peu roses, quand aux miennes, elles étaient carrément écarlates.
- J'ai hâte d'être dans une semaine chère future colocataire...
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What you think
RomanceOn m'a demandé de tout savoir sur toi, toutes tes pensées, tout sur ton passé. Je pensais que tu étais un criminel. Mais non, malgré une enfance maltraitée, tu as un coeur en or. Tu n'es pas comme ton père. Tu es mon ami. Mais suis-je autorisée à re...