L' Hybride : Klaus Mikaelson

RENCONTRE.

18 h 00 :

Il était l'heure pour moi de prendre mon service, je travailler dans un bar qui se prénomme chez rousseau, qui se trouve au centre de la Nouvelle-Orléans. On était vendredi soir est ce jour la, ils y à toujours du monde . J'avais pris mon tablier et commencer à servir les gens qui attendaient. 
Les musiciens ont commencé aussi à jouer leur musique jazz et des personnes continuer à rentré, même pas 1 heure que je travailler et je n'en pouvais plus. Camille arriva au même moment pour prendre sont service.  

Moi : heureuse de te voir!.

Camille : je vois ça !.

Moi : je n'en pouvais plus, il y a trop de monde. 

Camille : t'inquiète-je suis la maintenant.  

Elle prit son tablier et commençait à travailler derrière le contoir.  Je pris toute les commandes une part une et alla le dire à Camille qui faisait les boissons. Quand toute les commandes passé et toutes les boissons servir, je m'appuyai contre le bar et soufflai  un bon coup. Mais Camille me brisa ma petite pause, en me faisant signe que des gens étais rentré. En me retournant vers la table indiquée, je vis deux hommes. Je pris mon plateau et me dirigeai vers eux. 

Moi : bonsoir, que puis-je vous servir ? 

Homme : bonsoir ma jolie, moi et mon ami allons prendre deux whisky!. Dit un homme métissé avec un large sourire.  

Moi : je vous apporte ça de suite . Dis-Je avant de montrais mon faux sourire et de me dirigai vers le bar .

Moi : Camille ?.

Camille : oui ?.

Moi : deux whisky s'il te plaît.  

Camille : ça ne va pas ?.

Moi : si si ça va. 

Camille : on ne dirait pas.

Moi : c'est le type là-bas, il m'énerve a toujours m'appelle ma jolie. 

Camille : je sais, mais fait bonne figure. 

Moi : tu as raison. 

Camille : aller, fait ton plus beau sourire est retourne apporter les boissons. dit-elle en me donnant les deux verres.

Je déposai les verres sur le plateau et retournai à leur table avec un large sourire. 

Moi : voilà votre commande!. Dis-je en déposant les verres devant eux. 

Je me retournai pour partir, mais une main se posa sur mon bras. En tournant ma tête vers cette personne, je fus étonné de voir l'ami du jeune homme que je n'aime pas.

Homme : veuillez excuser mon ami Marcel, il est parfois maladroit envers les femmes. 

Moi : C'est exact. 

Homme : vous lui pardonnez ?.

Moi : j'accepte, s'il arrête de m'appeler ma jolie . 

Homme : bien évidemment. Dit-il en déposant un billet sur mon plateau.

Moi : C'est...

Homme : garder la monnaie. 

Moi : mais c'est....

Homme : s'il vous plaît. 

Moi : bien, Merci.

Je fis un grand sourire pour le remercier et retourna travailler....

A suivre...