Chapitre 8.

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Contrôle de Lili

Je continuer de travailler sur le dossier de Valentin quand quelqu'un frappait à la porte. Nina se tenait devant moi avec une enveloppe.

-Excuse moi Lili, je peux entrer un instant ? Je voudrais te parler.

Je me poussais contre la porte puis lui fit signe d'entrer.

-Explique dont la raison de ta venue.

-Et bien je suis sortie chercher mon courrier dans ma boîte à lettre quand je suis tombée suis tombée sur ça.

Elle tendait l'enveloppe dans ma direction la main toute tremblante, je l'ouvrais en essayant de garder mon calme. À l'intérieur, se trouvait une photo de Valentin et Mathis en plein ébat sexuel.

-Je t'avouerai Nina que je ne comprends toujours pas la raison, tu es au courante que la plupart des humains font l'amour. Même si c'est très bizarre de le prendre en photo.

-Je t'en pris Lili, je sais, c'est quoi de faire l'amour, j'ai eu un fils je te rappelle. C'est de la lettre que je suis venue te parler.

Je tirais cette fameuse lettre qui disait ; 

Que penseraient les journaux d'un article sur les ébats insectes de deux frères qui de plus sont homosexuels ? Je pense pour ma part que cela ferait les gros titres, mais j'ai autre chose à vous proposer. Pendants cet échange, je resterais bien sur dans l'anonymat le plus total. Si vous ne voulez pas que les photos soient dévoilées, je vous prierai de fermer définitivement le dossier sur l'affaire de cette famille ? Car je tenais aussi à vous préciser que vous parlez d'olivier sur des soi-disant violes engendré par Olivier en appuyant bien sur le fait de l'inceste alors que ces deux jeunes hommes sont frères. Ne parlez pas de cette lettre à la police où je pourrais aussi envoyer les vidéos...

C'est affreux, je n'y croyais pas mes yeux. Cette personne faisait du chantage ? Je vais en tomber sur les fesses, qui peux être l'auteur de cette lettre.

-Alors Lili que pouvons nous faire, il s'agit de nos enfants.

-Mathis ! Mathis ! Rejoint moi dans le salon dépêche toi s'il te plaît.

Après quelques instants, il nous rejoignait dans le salon.

-Bonjour Nina, qu'est-ce qu'il se passe ?

-Pour commencer ne panique pas d'accord, regarde par toi-même dans l'enveloppe.

-Mais c'est quoi cette photo ! Et de cette lettre.

-Nous avons à faire à un voyeur, pour l'instant, nous n'en savons pas plus.

-Lili, nous devons appeler la police. Que veux-tu faire d'autres.

-Mais Nina, c'est impossible, tu as lu noir sur blanc que nous ne devions pas impliquer la police sous peine d'empirer la situation.

-Mais au pire que se passerait-il s'il donnait la photo aux journaux ?

-Mathis, c'est impossible déjà, car des gens vont vouloir en savoir plus, d'autre presse vont s'en mêler.

-Et ce serait la fin de nos campagnes, ils nous seraient impossibles de pouvoir gagner les élections. 

-Et bien vous avez d'autres solutions ? Car la, je tiens à vous préciser qu'un type a pris mon cul en photo là !

-Mathis, reste poli ! 

Contrôle de Mathis

J'étais bouleversé, je n'y croyais pas. Cette personne pouvait faire du chantage pour aider Olivier. Je ne savais plus quoi en penser. Tout le monde dans la pièce avait l'air ailleurs. Comment j'allais pouvoir en parler à Valentin.

-Je sais ce que nous allons faire, on va faire ce qu'il demande.

-Mais enfin Mathis, tu réfléchis ? Ça voudrait dire que d'ici vendredi Olivier serait dehors. Tu as pensé à Valentin ?

-Maman, ne t'en fais pas pour Valentin, je lui expliquerai. Et au moins les photos ne seront pas diffusées.

Je ne savais pas du tout comment tout aller se dérouler à présent. Ni même comment expliquer ça à Val. Si je retrouve le maître-chanteur, je pense que je lui fais bouffer les photos.

-Tu as bien dormi ?

-Oui ça va, qu'est-ce que tu fais déjà debout ?

-Très bonne question, je dois te parler de quelque chose.

-Qu'est-ce qu'il y a ?

-Et bien ta mère à reçu une enveloppe contenant des photos de nous en train de faire crac-crac. Et aussi une lettre, qui disait que si nous ne voulions pas voir ces images circuler, il faudrait qu'on abandonne le dossier sur Olivier.

-Quoi ! Mais dis moi que c'est une blague

-Valentin, le but d'une blague, c'est d'être drôle. Tu as l'impression que c'est drôle là ?

-On fait quoi du coup ?

-Je te propose qu'on l'écoute.

-Mais tu sais qu'Olivier sera libre.

-Je sais.

-Viens, je sais à qui on doit poser des questions. 

Je savais très bien que si je le suivais, c'était pour aller là où il ne fallait justement pas aller, voir Olivier était peut-être la pire idée qu'il est eu, c'est dernière vingt-quatre heures. Nous étions installés dans la salle des visites.

-Et bien, il se fait désirer ou quoi ?

-Valentin, tu sais qu'on peut partir, genre mainte; bon bah, je n'ai rien dit.

Je n'ai pas terminé ma phrase qu'Olivier apparut devant nous.

-Valentin ? Et mon autre fils Mathis.

-Bravo, tu connais nos prénoms.

-Qu'est-ce que vous foutez ici ?

-Simple visite de courtoisie.

-Mathis. Laisse moi parler s'il te plaît.

-Je vais être clair avec toi et je ne vais pas passer par quatre-chemins. Qui as-tu envoyé pour nous faire chanter.

-Je ne vois absolument pas de quoi tu parles, comme tu l'as remarqué, je suis derrière des barreaux.

-Oh et pourquoi tu n'y resterais pas ? À la place de vouloir sortir. Alors que tu sais très bien ce que tu as fait, et que ce n'ai absolument pas des mensonges.

-Ah oui ? Prouve-le. Gardien ! Ramener moi dans ma cellule, et rayer les de la liste des visites.

C'était inutile d'être venu ici, c'était une mauvaise idée d'être venu le voir.

-Tu sais quoi, Mathis, je suis peut-être revenu sur ma décision. On devrait vraiment acheter une arme.

Nous rentrions chez moi, sans aucune réponse aux questions. J'étais de plus en plus soûlé de cette histoire, je commençais à paniquer sur le fait qu'Olivier aller sortir de prison. Je me demandais si j'arriverai à protéger Valentin. Et dans quel état était-il maintenant. Je cédais à la panique. Je ne savais plus quoi faire.

-Chéri, je suis désolé de ne pas réussir à t'aider.

-Si tu m'aides. Tu es à mes côtés, c'est déjà une aide inestimable.

-Regarde je ne suis même pas capable de fermer des putains de volet quand on faisait l'amour. Si je les avais fermées, on ne serait pas là à se demander comment éloigner Olivier.

-Mais tu veux l'éloigner comment bébé. On est plus fort que lui, on le surmontera. Aller fait moi un câlin. 

Il me prit dans ses bras et me serrait très fort. J'en avais vraiment besoin, c'est peut-être bête à dire, mais il m'apaisait, son cœur et sa respiration avaient réussi à me calmer. J'avais l'impression de m'évader de se monder pour quelques minutes. Pendants notre câlin, il me chuchotait :

-Je t'aime fort Mathis...

Un Amour passionnéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant