En cette nuit pluvieuse du 31 octobre 1981, des cris de purs désespoirs venaient troubler le calme habituelle de cette petite ville du nom de Godric's Hollow. Les cris d'un homme qui serrait dans ses bras le corps sans vie de sa bien-aimée. En cette nuit d'octobre, Luc skywallker venait de perdre l'amour de sa vie. Lily Evans.
Des milliers de ''et si'' venaient s'immiscer dans son esprit. Et s'il avait été là, cinq minutes avant ? Et s'il n'avait pas t'en insister pour aller chercher la nouvelle chaise haute d'Harry à Londres ce matin-là ? Et s'il ne s'était pas arrêté en chemin pour aller boire un verre avec James ? Si seulement James n'avait pas insisté pour qu'ils boivent un dernier verre ? Et si seulement il était rentré cinq minutes avant ?! Si seulement . . . si seulement il avait été là . . . alors Lily serait toujours là et son fils . . . Harry ! Il devait absolument fuir avec son fils, maintenant. Ni lui ni Harry n'étaient sensé exister dans ce monde ! Personne - à part James Potter, le parrain d'Harry et par la même occasion leur gardien du secret- ne les connaissaient. Ils devaient partir avant que quelqu'un ne vienne.
Luc déposa alors le corps de Lily sur le sol d'un geste doux, et regarda ce magnifique visage d'ange une dernière fois, avant de se diriger vers le petit Harry toujours en pleur dans son lit, et de le serrer dans ses bras, tout contre son cœurs, lui, le fruit de ses entrailles et désormais la seule chose qu'il lui restait de sa Lily.
D'un pas déterminé, il alla chercher un sac contenant le strict minimum de survie, sac préparé avec soin par Lily si jamais ils devaient prendre la fuite un jour ou l'autre. Ce jour était arrivé.
C'est ainsi que Luc quitta Godric's Hollow sous une pluie battante, un sac sur une épaule, Harry dans ses bras, et son sabre laser accroché à sa ceinture.
Désormais, une nouvelle vie allait commencer pour lui et son fils.
Car si la force avait vu juste, si Harry venait bien de détruire le seigneur des ténèbres alors son fils allait devoir être prêt. Prêt à affronter son destin.
Quelques minutes plus tard, un homme habille de lourdes capes noirs, pénétra dans la maison d'un pas pressé et monta jusqu'à la chambre de Lily où il trouva celle ci allongé sur le sol. Inerte.
Severus Rogue tomba alors à genoux, et son visage se baigna de larmes. Il prit le corps de Lily et la serra alors dans ses bras, s'acrochant désespérément à elle comme à une bouée de sauvetage pour ne pas sombrer. . .
Alors que les larmes continuaient de dévaler le long de ses joues, des milliers de questions lui envahissaient l'esprit. Pourquoi Voldemort avait il attaqué Lily ? Pourquoi elle ? Comment avait il trouvé sa maison sensé être caché sous sortilège de fidelatus comme le reste des membres de l'ordre ? Pourquoi l'avait il tué ? Elle était forte certes, mais pas non plus une menace pour le mage noir ! Pourquoi ? . . . Pourquoi y avait il un lit pour bébé à côté ?!. . . Et pourquoi des affaires d'hommes étaient éparpillés un peu partout dans la chambre ?! . . .
Les éléments se rejoignaient dans son esprit, et bientôt Severus compris.La prophétie qu'il avait rapporté à son maitre. . .
Un bébé née à la fin du moi de juillet. . .
Lily disparut durant 9 mois . . . Et de retour en août. . .
Voldemort qui disait que ce n'était pas un Longdubas . . . Mais un autre enfants . . .
L'enfant de Lily. . .
Le seigneur noir était venu pour tuer le petit.
Et Lily y a perdu la vie.
D'ailleurs . . . Ou était le petit ?! Et son maitre ?! Pourquoi Dumbledore lui avait il dit qu'il avait disparu ?!
T'en de questions sans réponses pour Severus Rogue, et bientôt pour le reste du monde des sorciers car dès le lendemain, l'affaire faisait déjà la une de la gazette du sorciers :
Celui dont on ne doit pas prononcer le nom a disparu !
L'enfant inconnu de Lily Evans est notre sauveur !
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Harry Skywalker : l'enfant de la force
Fanfictionil y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, très lointaine . . . Après avoir échoué à détruire le premier ordre avec le passage de Kilo Ren du côté obscure, Luc disparait sans laisser de trace . . . Mais ce que personne ne sait c'est que dura...