23 juillet 11h23

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Le sujet 3 est décédé suite aux différents teste qu'il a subit, nous espérons que les autres sujets tiendrons jusqu'à la fin des testes.

Je m'appelle Méghane, je suis emprisonné dans un labo' qui effectue des testes sur je ne sais quoi, il est situé en Sibérie.
Le monde n'est pas au courant de ce qu'il se passe ici, de l'enfer que nous vivons chaques jours.
Les médecins nous appellent les "sujets", il nous charcutent, et pour s'échapper il n'y a qu'une solution...La mort.

Je suis assise en tailleur au fond de ma "chambre".
Je vois défiler les blouses blanches depuis quatre heures du matin, qui me regarde perplexe en gribouillant sur leurs feuilles.
Je tourne la tête du côté de mon miroir fissuré, je décide de me détailler: J'ai les cheveux brun et lisse qui m'arrive à la taille,des yeux qui sont tous sauf naturel, ils sont comme la galaxie, je suis plutôt grande et mince, avec des formes là où il y en faut.
Je me lève et regarde par la petite fenêtre de ma porte, une blonde au chignon parfait et au jambe de un kilomètre de long passe au même moment suivie d'une table à roulette avec un corps dessus, recouvert d'un drap bleu.
A chaque fois que je vois passer un corps je me dis que cette vie aurait pu être épargner.
Des enfants, des adolescents tout le monde y passe.
Ma mère m'a suivent dit que les pauvres n'avais pas leurs place dans cette société, et que l'état en profitait pour faire des testes  dessus, comme des vulgaires souris de labo'.
Personne ne se soucis de nous, tous le monde nous ignore.
C'est pour ça qu'ils nous "kidnappe" et fond des vaccins contre des maladies, ou encore des nouveaux traitements miracle pour rajeunir.
La science fait avancer les choses,certes, mais il y a toujours une faille.
Je suis enfermée ici depuis sept ans, j'ai déjà plus de cicatrices qu'un rescapé de guerre.
Quel soit physique ou mentale.
Un médecin ouvre ma porte et m'annonce fièrement:
-A ton tour ma jolie.
J'inspire une grande bouffer d'air pour ne pas lui éclater les dents par terre.
Deux grand chauves me prennent de force, et me sorte de la chambre.
Mon coeur bat la chamade, j'essaie de me défendre, en vain.
L'un des deux m'assène un violent coup de poing dans les cotes pour me calmer, j'étouffe un cri et me remet à gigoter comme un asticot.

Le médecin commence par prendre une seringue et m'explique en faisant autre chose :
-Je pense que tu n'est pas dupe, tu doit savoir ce qu'il t'attend.
Bingo! Tu veux une médaille peut être!
-Pour cette fois tu ne seras pas endormie... Pour cette fois, je veux dire comme les autres.
lâche t-il d'un rire froid.
J'entends un cri grave et essaie de me relever, mais je suis attaché par les poignets et les pieds.
Lui y doit souffrir sévère...
Je décide de sortir de mon silence:
-Pourquoi faites vous autant de mal?
-La science ma chère, la science.
-Et pourquoi aux pauvres?
L'homme arrête de tripoter sa seringue et me regarde droit dans les yeux :
-Les pauvres sont voués à mourir, alors au lieu de plaidé dans les rues pourquoi leur ne servirais pas à quelque chose, pour une fois.
J'ouvre grand la bouche choquée par ses propos,"pour une fois", y veut vraiment que je lui pète les dents par terre lui!
Il sort un scalpel, une cisaille, des pinces et autres matériels de torture et s'approche calmement de moi avec un sourire qui fait froid dans le dos.

Je hurle de douleur, je suis seule dans ma chambre, mon abdomen me fait un mal de chien.
Il m'a scalpé le ventre le la cage thoracique,jusqu'au bat du vente.
Mon coeur palpite, je respire une fois sur deux et pour couronner le tout j'ai des sueurs froides.
Je me console en me disant que ce n'est pas la première fois que ça m'arrive.
Je maudit ce médecin  sur neuf générations!
Quand j'étais sur la table d'opération je me souviens juste d'une chose:Je me suis évanouie à  cause de la douleur.
Je finis par me calmer, et m'endort profondément en priant pour que demain ne soit pas le même jour qu'aujourd'hui.

Vivre ou Survivre ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant