Chapitre 2

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Une semaine est déjà passer depuis que j'ai commencé à travailler à la bijouterie. Le patron est encore craint bizarrement, mais irrésistiblement attirant. Pour ce qui est de mon « mari » je ne le vois presque plus étant donné que nous travaillons à des heures différentes. Ce soir malheureusement il m'a obligé à finir plus tôt en s'arrangeant avec mon patron comme quoi il devait me parler de quelque chose d'important, parle toujours. Je suis donc en ce moment en train de l'attendre, mais il ne tarde pas à montrer le bout de son nez.
« Manon, t'es là ? Viens vite en bas! » vu le ton qui a employé je pense qu'il est légèrement grisé par l'alcool.
Une fois en bas il me fait m'asseoir.
« Bon alors que ce soit clair tout ce que je vais te dire ensuite est un ordre et non une requête c'est clair ? »
Ne voulant pas subir de soirée atroce, et surtout ne voulant pas les entendre de nouveau, je ne dis rien et hoche la tête. Il a l'air plutôt fier d'avoir un « pouvoir » sur mois mais s'il savait toute les envies de meurtres que j'ai envers lui...
« Demain tu démissionneras. »
Et là c'est la bombe... tout sauf ça mon seul moment de liberté que j'avais réussi à gagner...
« Mais pourquoi ? »
« N'as-tu pas remarqué qu'à cause de ton boulot nous ne passons plus de moment entre nous ? »
NON sans blague ? J'avais juste réalisé mon rêve de plus voir y'a tête de cul et tu casses tout ! Et sérieux qui voudrais passer du temps avec lui en plus ?
« Mais non pas du tout, et je veux continuer ce travail j'y tiens... »
« Non. Tu arrêtes et je te trouverais un travail à domicile s'il le faut. »
« Mais.. »
« Pas de Mais je t'accompagnerais demain pour vérifier que tu démissionne bien. »
Ne tentant pas de le contredire plus je hoche la tête et me lève pour me diriger vers la cuisine.

La soirée est passée assez rapidement rien d'autre n'est arrivé, je me suis couché sans Logan et je suis allée dormir assez tôt.
Ce matin je suis donc allé au travail avec Logan. En ce moment même nous nous trouvons devant la bijouterie, la boule au ventre pour ma part et un sourire de vainqueur pour ce con de Logan...
Nous entrons donc dans la boutique je sens déjà que je vais presque pleurer car malgré tout je m'étais accroché à cet endroit, il symboliser en quelque sorte un espoir... Alex Wilton mon, beau, patron ce tien devant nous un air perplexe sur le visage.
« Oui, qu'est ce qu'il y'a ?
- Ma femme aimerait te parler mon cher Alex.
- Ha bon ? Que ce passe-t-il Manon ? Un problème avec des clients ? Ou même avec un employé ?
- Euh... non tout vas bien. C'était juste pour vous déposer ma dé... ma démission. » En relevant les yeux vers lui j'ai pu apercevoir un peu de déception dans ses yeux mais l'incompréhension elle était énorme. Il n'y avait pas pire scénario, déjà que dire cette phrase m'a arraché la gorge il a fallut en plus que ce patron soit inquiet pour ses employés ! Mais stop tuer moi... Ma vue deviens un peu flou, et vas-y que je chiale maintenant ! C'est pas croyable !
« Pourquoi veux-tu démissionner Manon ? Tu as pourtant tout à ta porter et s'il y quelconque problème tu sais bien que je peux t'aider à le résoudre. » Je sens que les larmes vont bientôt couler s'il continue. Je le regarde donc avec insistance ce qui se traduit par « Vous croyez vraiment que j'en ai envie ? Tout ça c'est à cause de se gros con de moche à côté de moi ! Mais sérieusement je vous en supplie égorgé le ! Je n'en veux plus !... Je n'en peux plus... »
« Ma femme veut simplement se reposer, pour des histoires personnel. Et s'il y'avait le moindre problème elle se serait adresser à MOI et non pas à vous. » Et voilà qu'il s'y met ce con... et il se met même à le vouvoyer dis donc ! On dirais bien qu'il se sent blesser dans son égo pauvre chou, bien fait pour ta poire.
« Je m'adresse à votre femme j'attend donc SA réponse et non la vôtre monsieur ». ET BIM ! 1 point pour le patron bg -10000000000 pour le cochon.
« Comment osez vous me parlez comme ça ?
- Parce que je devrais m'adresser autrement à un homme tel que vous ? J'en suis navré monsieur mais vos réponses aussi intéressantes soit elles ne m'intéresseront en rien tant que je n'aurais pas SA réponse est-ce clair ? Si ce ne l'est pas je pense que vous pourrez réfléchir à tout ça dehors calmement qu'en penser vous ?
- Parfait dans ce cas nous partons ». Sur ces mots il m'attrape le bras avec force et me force à sortir. Je lance un dernier regard à mon patron, ce regard voulait simplement exprimer tout ce que je ressentais à ce moment précis. C'est donc le visage toujours tourner vers mon patron, les larmes dévalant le long de mes joues que nous sortons de la bijouterie. Il me fit entrer dans la voiture malgré le fait que j'essayais de résister et démarra la voiture. Ce cauchemar ne s'arrêtera donc jamais ?

*L'espoir vient souvent
après le désespoir,
et inversement*
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Voilà chapitre que je trouve plutôt long pour mon petit retour !
Bref j'espère que vous avez aimé.

Le dénouementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant