Chapitre 2

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Pamela en média

     Les secousses s'étaient arrêtées. J'ouvris les yeux doucement et remarquai que tout le monde était dans le même état que moi. C'est à dire méfiant mais curieux de savoir ce qui allait se passer maintenant. Je me levai doucement et me dirigeai vers les portes pour les ouvrir. Je respirai un grand coup et baissai le levé. Devant nous se tenait une immense forêt d'un vert éclatant. Maintenant, tout le monde m'avait rejoint pour admirer ce beau paysage.

     	Mais cette forêt avait beau être magique, elle avait aussi quelque chose de maléfique

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      Mais cette forêt avait beau être magique, elle avait aussi quelque chose de maléfique. Nous ne savions rien de ce qui pouvait se passer ici, nous ne savions même pas si il y avait de la vie sur cette planète.

      - On devrait commencer par retrouver les autres navettes, proposa un garçon, prenez tout ce qui peut nous être utile dans la navette.

      - T'es qui pour commencer, enchaîna un autre garçon.

      - Je m'appelle Yann, mais je ne vois pas en quoi ça pourrait nous avancer.

      - Écoute Yann, j'ai l'impression que tu te prends un peu trop pour le chef. Ici, on obéit à aucune règle, et à aucun ordre de qui que ce soit.

      - Écoute, c'était pas mon intention, mais on arrive pas ici pour faire n'importe quoi, il nous faut un chef, et je penses que vus les décisions que tu veux prendre, j'en ai plus l'étoffe que toi. Mais si tu n'es pas d'accord avec moi, libre à toi de partir. Que tout ceux qui veulent avoir ce type comme chef le suivent, les autres, venez avec moi.

      - Le type, comme tu dis, il a un nom, et c'est Kevin.

      - Non mais ho, vous avez pas fini tout les deux, cria Pamela, pour commencer, ça ne sert strictement à rien d'aller chercher les autres capsules. C'est un défaut de fabrication.

      - Qu'est ce que tu veux dire ? Demanda Yann.

      - On a tous cru que l'astéroïde de tout à l'heure avait endommagé les circuits du vaisseau, mais la paroi de la station était intacte. Ce sont d'énormes robots qui fabrique ces vaisseaux à la chaîne, je le sais, j'ai travaillé à leur conceptions. Il y a dut avoir un défaut, mais si le notre était mal conçut, alors le leur aussi, et je ne penses pas qu'ils aient été le réparer. De tout façon, même s'ils avaient essayé, il n'auraient pas réussit, pour y arriver, il fallait connaître la conception de vaisseau, et aucun des mécanos qui y ont travaillé ne sont venue avec moi.

      - En bref, on est seul sur cette planète, soupira Kevin.

      - La radio ! M'écriai-je. On pourrait contacter le centre de pilotage sur Terre. Y avait-il un radio dans la capsule ? Demandai-je.

      - Non, on l'a laissé dans la salle de télé-communication de la navette.

      - Et elle est devenue quoi cette salle ?

      - Désintégrée, comme le reste de la navette. Putain, on est vraiment con, maintenant on a plus aucun moyen de communiquer avec la Terre.

      Entre temps, tout le monde était déjà ressortit avec les sangles de siège et d'autres ressortaient du dessous de la capsule.

      - Hé cria, une fille, la mécano, viens voir, il y a peut être des choses qui t'intéresserons la dessous.

      Pamela partie et remonta quelques minutes plus tard avec des réservoirs remplis de ce qui devait être du liquide trouvé sous la navette ainsi que des fils.

      - Il y a de quoi nous faire des armes la dessous. Ceux qui n'ont rien venez m'aider à porter tout ça, mais te touchez pas à cette boîte, je la prends, elle est explosive.

      - Ok, maintenant on y va. On ne sait pas ce qu'il y a dans cette forêt, et j'ai pas envie de tomber sur des genre de natifs à deux têtes, ordonna Yann

      Il se mit en route à travers les bois et nous le suivîmes sans discuter. Au bout de plusieurs heurs de marche, nous arrivâmes dans un clairière assez sombre, mais au moins, dégagée de tout arbres.

 Au bout de plusieurs heurs de marche, nous arrivâmes dans un clairière assez sombre, mais au moins, dégagée de tout arbres

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      - On va s'installer ici, faites attention, le sol est un peu boueux. Je prends le premier tour de garde.

      - Non, c'est bon, je vais le prendre ? proposa Kevin

      - Bah, deux personnes valent mieux qu'une, accepta Yann.

      Pamela et moi allâmes nous asseoir au creux d'un arbre, l'une à côté de l'autre.

      - Tu ne connais personne d'autre que moi ici ? Demanda Pamela.

      - Je ne connais que Lucien, je l'ai rencontré dans la station.

      - En un an tu n'as rencontré qu'une seule personne à bord de la station ? Me demanda-t-elle surprise.

      - En faite je suis restée enfermé dans ma cabine jusqu'au mois dernier ou je me suis enfin décidée à sortir. Je n'étais pas volontaire, ma mère à proposé à la voisine d'inter-changer la place de sa fille avec la mienne contre de l'argent.

      - La salope j'y crois pas, t'as fait comment pour manger ?

      - Lucien, c'est lui m'a amené à manger.

      - Ha ouais, ta mère c'est une putain de salope.

      - T'imagine même pas.

      Nous continuâmes à discuter un dizaine de minutes avant de nous endormir. Je me réveilla un peu plus tard. Il faisait nuit noire et tout le monde dormait, sauf une fille et un garçon de je ne connaissais qui devaient sûrement avoir pris le deuxième tour de garde. Je m'éclipsai discrètement pour me rendre au point d'eau à quelques mètres de la clairière. Au loin, je vis un feu avec des personnes autour. De la où j'étais, je pouvait entendre qu'il discutaient, mais il était sûr qu'au campement, personne n'entendaient rien. Je m'approchai discrètement et pus remarquer que c'étaient des humains. Il y avait donc des survivant d'une autre navette. Pamela devait s'être trompé. Mais quand je m'approchai, je me rendis vite compte que je m'étais trompée.

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