Just Natsuki.

I'll be the beach that washes your worries away.

C'était un jour comme les autres, tous le monde sembla occupé dans le club alors Natsuki en profita pour s'isoler et dormir dans un coin. Il était difficile pour elle de trouver le sommeil cet temps-ci. La fille au cheveux roses bonbons continuais de faire des cauchemars inquiétant alors le sommeil lui manquais. Soudain, elle poussa un cri dans la salle. Encore un autre cauchemar... Max ce dirigea vers elle pendant que les autres filles l'observait.
-Est-ce que ça va??
-Ouais ouais...
-Qu'est-ce que tu fais à dormir en plein jour? Tu as des problèmes de sommeil?
Yuri lâcha une phrase futile qui irrita Natsuki
-C'est... à cause de...ton père?
Max regarda Natsuki avec des points d'interrogation dans les yeux.
-Il a quoi ton père??
-Rien! Tout va bien d'accord j'ai juste fait un cauchemar rien de grave. J'ai pas dormi de la nuit j'avais trop...d'études! Je part plutôt pour aujourd'hui j'ai besoin de repos et de toute évidence vous n'avez pas besoin de moi ciao!

Natsuki prit c'est affaire et marcha d'un pas vite hors de la salle mais Max la rattrapa.
-Si y'a quelques choses qui ne va pas tu peux m'en parler tu sais. C'était quoi ton cauchemar?
-Tu es sûr de vouloir en parler si tu ne sais même pas écouter. J'ai dis que j'allais bien alors laisse moi tranquille.
Il cria à Natsuki qui avait déjà continuée sa route; Si tu changes d'avis appel moi!
Elle avait très bien entendu mais ne fit mine de rien. Natsuki n'avait pas besoin qu'on la sauve. C'était une fille indépendante et il fallait qu'il le sache.

Elle rentra chez elle et fit des cupcakes. C'était sa façon de ce défouler et penser à autre chose. Son père arriva du travail plutôt que d'habitude.
-Tu fait encore brûler la cuisine Natsuki!?
-Non papa je fais des cupcakes tu en veut un?
-Non et tu m'appelleras quand tu sera capable de faire quelques choses de bon et pourquoi tu nous fais pas à manger!
-Pour ça y faudrait au moins un livre de recettes ou du wifi pour regarder sur internet, papa! Répondit-elle sur un ton arrogant.
Son père la regarda droit dans les yeux et marcha vers elle. Natsuki terrifiée ce recula.
-Répète un peu ça?
-Rien,j'ai rien dis du tout.
-Bien et dit merci à ton papa qui t'a acheté du pain.
C'était pas le pain qui manquais, c'était quoi mettre dessus déjà qui restait que deux œufs dans la maison. Le pain était fade sans garniture mais Natsuki ne voulait pas le choqué.
-Merci...
-À qui??
-À mon cher papa.
-Voilà tu vois quand tu veux!
Elle continua à faire des cupcakes sans dire un mot pendant que son père écoutait la télé en buvant une bière.

~~~
La nuit tomba et Natsuki s'endormie. Puis vers minuit elle refit, encore, un cauchemar. Elle vit Sayori sa chère amie, l'une des seules qui ne juges pas ces styles littéraire, à son enterrement. Tous les membres du club et sa famille était là sauf qu'elle n'était pas morte vielle. Son corps sans vie était le même que tout les jours de plus, elle avait une étrange marque autour du coup. Avant que Natsuki regarde son cadavre de plus près, elle ce réveilla. Cette fois-ci elle ne pouvait s'empêcher de pleurer, c'était si réel... Pourquoi rêver à des choses si horribles et qu'elle était cette étrange marque autour de son coup..?
Elle n'en pouvais plus, la jeune fille fille prit son téléphone et appela Max. Un jour, elle avait discrètement demander le numéro de Max à Sayori mais ça c'était un secret. Il ne devait en aucun cas le savoir sauf qu'elle n'en pouvais plus d'être terrifiée. Natsuki l'appela après elle ce rendit compte à quelle point c'était stupide, il ce fichais sûrement d'elle et en plus personne ne répond à des numéros inconnus en plein milieu de la nuit. Au moment où elle s'apprêtait à raccrocher, il répondit.
-Allo? Qui est à l'appareil?
-C'est.. C'est moi, Natsuki
Dit-elle avec la voix tremblante.

-Natsuki comment as-tu eu mon numéro et pourquoi tu m'appelles à cette heure?

-Je n'ai mare de faire comme si tout allait bien.Je dors pas, je mange pas et mon pa... Bref, j'ai besoin d'en parler et tu es le seul qui veut m'écouter. À moins que tu ne le pensai pas quand tu m'a dis que je pouvais t'appeler.
-Non non je t'écoute je dormais même pas de toute manière et je suis toujours dispo pour mes amies.
Natsuki aimait ce mot; ami elle n'en a jamais eu énormément et Max était son premier ami garçon. C'était aussi le premier qui ne la jugeait et la critiquait jamais.

-Depuis quelques jours, je fais d'horrible cauchemar. C'est pour ça que je dors pendant le club de littérature. Je viens juste d'en faire un et celui là était de trop.

-Ah bon...et c'était quoi ton cauchemar?

-J'ai rêvée à l'enterrement de Sayori. C'était horrible, je sais que tous le monde meurt un jour mais la voir si pâle et triste me donnais envie de pleurer. Par contre, ne lui répète jamais que j'ai pleurée pour elle.

-Son cadavre par tous hasard, est-ce qu'il était jeune. Je veux dire, c'était la Sayori d'aujourd'hui pas une vielle de 70 ans.

-Oui comment t'a deviné?

-J'ai pas deviné, j'ai moi aussi rêvé à la mort de Sayori cette nuit.

-Te fou pas de moi Max.

-Je rigole pas, pourquoi j'aurais pu être réveillé à cet heure là sinon. En plus de ton coup de fil deux minutes après mon réveil brutal c'est plus qu'une coïncidence.

-C'était quoi toi exactement ton cauchemar??

-J'entrais dans la chambre de Sayori et puis je la retrouvais morte, pendu.

Il eux un grand silence.

-Natsuki t'es encore là??

-Oui, c'est juste que dans mon cauchemar à moi, la seule marque distingue que Sayori avait c'était une grande blessure autour du coup.

-Comme... une marque de corde?

-Oui. Exactement.

-Donc nos rêves sont en quelques sortes connectés?

-Même si cela semble impossible on dirait bien que oui...

Après une heure à émettre des théories, à ce rassurer et à parler de leurs anciens cauchemars. Natsuki fini par s'endormir. Max pris quelques minutes pour le remarquer, il continuait de parler dans le vide en croyant que Natsuki fessait comme si elle l'ignorait. Ils étaient heureux de pouvoir partager leurs peurs. Ils n'étaient plus seul maintenant, même si faire les mêmes cauchemars n'était pas si rassurant.