𝘚𝘐𝘟𝘛𝘌𝘌𝘕 : 𝘔𝘌𝘌𝘛𝘐𝘕𝘎.

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I hear the birds on the summer breeze, I drive fast, I am alone in the night, been tryin' hard not to get into trouble, but I've got a war in my mind.”
RIDE.

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𝘊𝘏𝘈𝘗𝘐𝘛𝘙𝘌 𝘚𝘌𝘐𝘡𝘌

Les rayons de soleil filtre désormais à travers les rideaux, il est six heures.

Ce qu'avait dit Célestine m'a torturer l'esprit toute la nuit, je n'arrête pas de me questionner sur tout un tas de choses.

Bien heureusement, la voix n'est pas revenue et j'espére qu'elle ne le fasse pas. Je n'ai réussis à dormir qu'une ou deux heures au grand maximum, je suis exténuée.

Mes yeux me pique affreusement et je redoute qu'ils ne se ferment à chaque instant. Je déteste les insomnies pour ça, cette caractéristique m'a toujours embêtée. Le pire, c'est que je commence mon année aujourd'hui et certainement pas dans les meilleures conditions. C'est à peine si je réussis à me lever et à me diriger vers la salle de bain.

Je me sens lourde, tout ce que je souhaite, c'est retourner dans mon lit et dormir...d'un long sommeil sans rêve et ne jamais me réveiller.

Mais je ne peux pas me permettre ce luxe, j'ai à faire. Mon reflet dans le miroir ne refléte presque pas mon état mental, et c'est pour le mieux.
Je n'ai que des yeux quelque peu tiré et de légère trace bleutée sous mon œil. Mon abdomen me fait un mal de chien et a vraiment une sale tête : un hématome s'est formé et du sang séché autour de la plaie trône en maître.

La veille, je ne me suis pas lavée, trop fatiguée et émotionnellement instable pour faire quoi que ce soit sans me faire mal. Je ne me fais pas prier, et me fait couler un bain, laissant l'eau bien trop chaude couler je me déshabille tant bien que mal, essayant de ne pas trop étirer ma peau. Une fois cette mission réussie, je me dépêche de rentrer dans l'eau, le choc thermique me fait légèrement frissonner.

Après m'être lavée, je ne peux m'empêcher d'observer médusée la trace violette de la main d'Emmett sur mon cou. Je me demande si je vais réussir à parler sans trop me faire mal aux cordes vocales. Dire que j'étais venue ici pour recommencer tout à zéro. On dirait que les problèmes me suivent partout.

Alors que j'enfile mes sous-vêtements, je me demande comment je vais faire pour cacher tout ça...Je ne me suis jamais vraiment maquillée, trop paresseuse pour ça, je n'ai donc jamais acheté un fond de teint digne de ce nom. Je pourrais toujours me rabattre sur un col roulé, simplement, ce n'est pas tellement la saison et puis je n'ai pas de foulard.

𝘋𝘌𝘚𝘛𝘐𝘕𝘠. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant