CHAP16- bruised.

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HOTARU: [zieutant sa galerie, regarde des anciennes photos de lui]

RYUKU: [s'immisce près de lui, tout en gardant quand même une certaine distance, et regarde avec effroi les images numériques de son voisin] c'est quoi cette horreur?

HOTARU: ...c'est moi...

RYUKU: [affichant une expression de dégoût extrême] c'est horrible, dégage moi ça.

HOTARU: mh... [verrouille son téléphone et soupire] j'étais mieux avant hein?...

RYUKU: non. certainement pas. t'es toujours monstrueusement laid. tu l'as toujours été.

HOTARU: je sais.m. mais avant c'était mieux...

RYUKU: tu te fous de moi ou quoi? regarde comment t'es répugnant là.

HOTARU: [essuie une larme] c'est pas vrai...

RYUKU: [lui arrache le portable des mains et le déverrouille, regardant avec cette même répugnance les multiples images d'hotaru] regarde comment t'es gros, regarde ce visage monstrueux, regarde ce corps asymétrique, putain tes cuisses dégueulasses là, jamais tu fais tu sport gros branleur de merde?! jamais tu maigris?!

HOTARU: [dévie les yeux, ceux-ci déjà injectés de sang, brouillés à cause de larmes douloureuses]

RYUKU: regarde les autres à côté.

HOTARU: [garde la tête tournée, ses pleurs s'évadant à flot de ses yeux meurtris]

RYUKU: [saisit son visage d'une main et le tourne violemment vers la photo] regarde putain! regardes les autre comment ils sont biens, même si je les hais. regardes les comparés à toi. regardes l'horreur que t'étais et que t'es toujours. t'es immonde.

HOTARU: [les yeux bouffis, le visage rougeâtre et inondé de larmes gelées] [a des spasmes et une respiration irrégulière, tente de ne pas porter son regard sur ses photos mais n'a pas le choix, se juge intensément]

RYUKU: [le relâche brutalement et le toise d'un regard plus que noir]

HOTARU: ;baisse la tête et pleure en silence]

RYUKU: [le gifle violemment] connard de merde. je te hais!

???: [arrive un peu après, n'a pas vent de la scène qui vient de se produire] tout va bien? j'ai enten- [écarquille les yeux] hotaru tu pleures? [s'avance vers lui, inquiète] il t'est arrivé quoi à la joue? elle est toute rouge !

HOTARU: oui oui ça va, t'inquiète je pleure pas. [sourit] je me suis juste pris violemment la porte dans le visage.

𝐬𝐞𝐮𝐥「 terminée.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant