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RYUKU: attends attends attends... c'est à moi que tu t'adresses?
HOTARU: ouais.
RYUKU: c'est à moi que tu t'adresses? tu te prends pour qui? tu crois que tu peux te permettre de t'adresser à moi comme ça?
HOTARU: me parle pas. j'suis pas ton pote.
RYUKU: ah mais ça c'est clair. par contre j'prévois pas de te lâcher petite merde. t'as osé me parler comme ça? mais tu vas le regretter tellement violemment tu peux pas imaginer.
HOTARU: j'vais te dire deux mots très clairs ok? ta gueule. simple, court, pas compliqué. deux mots, si tu sais pas compter, sauf si la capacité de ton comptage se résume à énumérer tous tes défauts qui ne sont vraisemblablement pas les miens.
RYUKU: qu-
HOTARU: ta gueule j'ai pas fini connard. ton complexe d'infériorité il me casse les couilles. c'est pas parce que t'es inintéressant et raté que t'as besoin de rabaisser les autres, histoire de te donner un peu d'intérêt ; tu rabâches aux autres leurs défauts mais en fait c'est les tiens. t'es juste trop faible pour les assumer donc tu les balance à la gueule des autres pour te sentir bien. sauf que moi j'en ai ras le cul, ok petite bite? maintenant tu dégages de ma vie, j'te supporte plus. tu m'as apporté que du malheur, t'es content? ça t'apporte quoi gros fils de pute? j'te préviens si tu dégages pas maintenant c'est moi qui te dégage et ça va très mal se terminer. t'as voulu me détruire mais j'ai retourné la situation, on inverse les rôles hein petite pute-
RYUKU: [lui prend violemment la gorge et l'empoigne ardemment au point de lui couper court la respiration]
HOTARU: [a le souffle brusquement buté]
RYUKU: alors maintenant tu vas m'écouter accident de mes couilles.
