Entre deux univers

Le lien des deux univers :

Il est 10h 44, je suis fatiguée, il faudrait peut être que je dorme. Je ne pense pense pas que ce soit la meilleure solution, je me reposerai plus tard. Je vais prévenir tout le monde que je suis réveillée. Il faut aussi que je rattrape le reste de mes cours. Il n'y as personne dans la salle. Mon père travaille le samedi. Ma mère est sûrement dans ça chambre.
" Coucou maman, c'est pour te dire que je suis réveillée. " Elle me regarda l'air surprise et terrifié. Elle se leva d'un coup et me prit par le bras. Je n'eus pas le temps de réfléchir qu'elle m'emmena dans la salle de bain en criant " Jenny !" D'une voix tremblante et paniqué. Quand je fus devant le miroir de la salle de bain, je vue une grosse entaille sur ma joue qui laisser couler une masse de sang. Je resta figé devant le miroir, sans bougé. Je ne savais pas comment réagir, quoi faire. Comment ce fait-il que je ne l'avais pas remarqué avant ? Je ne respire même plus tellement j'étais abasourdie. Ma sœur arriva alors en courant, son regard se porta alors sur moi avant qu'elle ne reprend ça course pour aller chercher un téléphone. " Je vais appeler le samu !" Avait elle dit. Ma mère appuya sur la plaie, essuya le sans un peu partout sur le côté gauche de mon visage. Seul leur regard inquiet resta dans ma mémoire sur les dernières minutes qui passèrent avant l'arrivée du samu. Je me réveilla sur un lit d'hôpital, un masque à la bouche. La femme qui c'est occupé de mes couture me posa plusieurs questions avant de partir un moment avec ma mère, sûrement pour discuter sans m'effrayait. On m'eut expliquer par la suite qu'il ne faut pas que je reçoive de coup sur la tête. Cela pourrait enlever les coutures, et qu'il fallait que je n'y touche pas non plus pour que ça cicatrise correctement. Ma mère me demanda par la suite, une fois rentrée à la maison comment je me suis fait cette entaille. Je lui répondis simplement que ça à du se produire lorsque je dormais. Même si je sait pertinemment qu'elle c'est produite lors de mon rêve. Ma blessure ce situe exactement à l'endroit où Dydy ma touche avec son épée. Je croyais pourtant qu'il ne m'avait que frôler. Elle décida alors de retirer de ma chambre tout objet pouvant me faire du mal. Y compris mon cartables car il contient mon ciseaux. Je comprends qu'elle s'inquiète, mais si je lui dit la vérité elle se ferai encore plus de soucis pour moi. Il vaut mieux que je lui cache ce qu'il c'est passé, pour son bien. Il est 19h 53, je n'ai pas non plus eu le temps aujourd'hui pour rattraper mes cours en retards finalement. Et pour la semaine qui suis ma mère préfère que je reste à la maison avec un professeur. On du donc rappelé le même professeur qui m'avait déjà suivie deux semaines. Maintenant qu'il nous connais tous déjà, il pouvait me surveillé tout en me faisant rattraper tout mon retard. Je profita donc du reste du temps qu'il me rester sans être surveillé pour téléphoner à Alim et lui poser plus de questions sur ma maladie.
" Oui allô ? Qui est à l'appareil ?
- C'est moi Mat.
- Ah bonjour Mat, comment va tu ? Tu m'appelles pour ne apprendre plus sur ta maladie ?
- bonjour docteur. Oui, j'aurai bien quelque question pour vous.
- Ne soit pas si formelle, appel moi Alim tout simplement. Que veut tu savoir ?
- Je voudrais savoir si une blessure survient dans le monde des rêves, est ce qu'elle est aussi présente dans le monde réel ?
- Oui, tout événement survenant dans le monde que tu appelles monde des rêves, si elle affecté ta santé, ton état, qu'il soit physique ou mental devient présent dans notre monde. Pourquoi cette question ? Il c'est passé quelques chose ?
- Non rien, merci beaucoup doc... Euh Alim
- Derien ce fut un plaisir de t'aider. Tu as d'autres questions ?
- Euh oui ! Dites moi, si euh, par exemple pour une maladie, si elle se guérit dans le monde des rêves, elle se guérit aussi en vrai ?
- Oui tu as tout compris, c'est exactement la même chose pour les blessure ou état psychologique, même pour une maladie du à la génétique. Je ne peux malheureusement pas te dire comment. Nous n'avons que des hypothèses sur ce sujet. Les sciences sont pleine de mystère qui n'attendent qu'à être découverte. C'est...
- Merci beaucoup Alim, et désolé mais je doit vous laissez, vous pouvez juste me promettre de ne rien dire à ma famille sur tout ça ? Je ne veux pas qu'ils s'inquiétaient pour rien.
- Oui pas de problème.
- Merci Au-revoir !"
Je n'aurai peut être pas du lui raccrocher au nez comme ça. Tanpis, je pourrais toujours écoute ces histoires une autre fois. Je comprends maintenant, je ne peux pas m'en aller de là bas en me tuant. Cela pourrait par la même occasion me tuer içi aussi. Il ne nous reste plus qu'à espérer que la maladie s'en aille de elle même. Ou à s'habituer de vivre avec.