Poème N*18

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Et puis tu cries,
Tu hurles tes écrits,
Tu voudrais que ce soit faux,
Que personne ne remarque ces petits défauts.

Tu te tortures devant ton miroir,
Tu comptes toutes tes imperfections,
Celles que seule toi peux voir,
Ça en devient de l'autodestruction.

Tu ne te supportes plus,
Tu haies ton corps,
Tu n'en peux plus,
Tu fais trop tâche dans le décor.

Ocexne 🥀

In My Mind.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant