Gladice la servante

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— Dis, maman, on pourrait le tester ce soir ?

— Bonne idée, je termine un dossier ; pendant ce temps mets-le dans la voiture.

— Ok.

Lacksimy sort du bureau et revient avec un sac plastique à la main et me le tend.

— Issam, mets tes fringues là-dedans et tu peux leur dire adieu.

— Mais Mademoiselle, je ne vais pas ...

— Rester à poil ? Si bien sûr ; tu as signé un contrat où tu acceptais de faire tout ce que ma mère et moi te demanderons. Maintenant, tu peux encore revenir en arrière ; mais sache qu'avant de partir d'ici tu devras te débrouiller pour que ton compte soit clair. Alors ?

Je suis nu devant ces deux femmes, avec cette sensation d'humiliation. Je tente de cacher mon sexe mais la belle demoiselle aux jambes magnifiques hausse le ton :

— Laisse tes mains dans le dos, nous voulons te voir, tu ne pourras mettre la main à tes parties que quand nous te le demanderons ; par exemple pour te caresser ou te masturber. Montre-nous comment tu t'y prends !

Là, c'est le comble ! Elle veut que je me branle devant elles ! Je m'exécute et la honte m'envahit, je sens le rouge me monter au visage. Je passe ma main sur mes testicules, m'emmêle les doigts dans mes poils et commence à me masturber et accélère rapidement le mouvement.

— Ça suffit ! Tu ne crois pas dégueulasser la moquette avec ton sperme puant !

Je stoppe immédiatement car je suis au bord de l'éjaculation. J'ai terriblement honte mais je ressens un plaisir étrange.

Je voudrais demander à lire mon contrat pour savoir ce que je vais devoir faire, mais je me ravise car mon fantasme de faire l'amour avec ma banquière refait surface. Alors je prends le sac, y fourre toutes mes fringues et le tends à la jeune femme. Elle le saisit avec rudesse, le ferme d'un double nœud et le jette négligemment d'un coup de pied au fond d'un placard dont elle referme la porte. C'est alors que sa mère lui tend deux pièces de tissus noir.

— Tiens, ma chérie. Arrange-toi pour qu'il ne voie rien et ne nous échappe pas.

La belle me bande les yeux et m'attache les mains dans le dos à l'aide des morceaux de tissu et tout à coup, je me remets à bander comme un beau diable.

— Maman, tu as vu comme il bande, ce cochon ?

— Oui, ma chérie, tu sais les hommes adorent être dominés par des femmes ; je pense que nous avons un beau sujet. Tiens, mets-lui ça.

Elles ont raison, j'adore cette situation mais je suis assez inquiet pour la suite car j'ai le sentiment que je vais rester dans cette tenue un bon moment. Que vont-elles faire maintenant et comment vais-je être transporté ?

Je sens alors comme une sangle faire le tour de la base de mes testicules et de mon pénis puis, se serrer si fort que mon sexe gonfle encore plus. La coquine en profite pour m'enfoncer ses ongles longs dans mes testicules et aussi dans mon gland. Je m'entends gémir de plaisir.

— Tu as raison, maman : nous avons un beau sujet.

Elle me tire par cette sorte de sangle qui doit être une laisse spéciale pour homme, j'en avais vue sur les sites spécialisés ; elle ressemble à une laisse pour chien avec un petit collier pour pouvoir entourer les testicules. Yeux bandés, les mains attachées dans le dos et guidé par la laisse ; je n'ai guère d'autres choix que d'aller là où l'on m'emmène.

De l'air chaud s'engouffre dans le bureau climatisé, nous sommes sûrement dans un couloir.

— Avance, suis-moi et ne crains rien ; il n'y a plus personne dans la banque. Nous allons au garage.

EuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant