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      Les bruits alentours,lorsqu'il y en a, ne sont que des crissements, des cliquetis ou encore des pleurs, je me concentre alors sur moi sans me soucier de mes camarades de cellule. J'essaie de lire à l'intérieur de mon être mais je ressemble actuellement à un journal intime, cadenassé... Je ne pense qu'au froid, à la douleur et à la faim qui s'emparent de mon corps mais toujours aucun souvenir.

18 heuresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant