Les grilles s'ouvrent, l'un d'eux nous lance une phrase pleine de mépris : «qu'on ne vous revoit pas ! ».
18h de garde à vue,
18h de froid,
18h de douleur,
18h de faim,
18h de panique...Le regard que nous leur lançons en dit long sur notre pensée et notre état d'esprit, un mélange de haine et de tristesse mais ça y est le calvaire est fini... pourtant une question tourne en boucle dans ma tête !
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18 heures
Short Story1 heure, puis 2, puis 3... Le moral, l'espoir, le désespoir... La solitude, la douleur, les larmes... L'incompréhension , la réflexion, la rébellion... Tout s'écoule, tout passe mais la fin n'arrive jamais...