Les Loups-Garou De Thiercelieux.

Robert.

JOUR 4-19h30

J'avais entendu le coup de feu.
Mon fils me regardais comme si il avait faite quelque chose de mal....Mais en réalité, les pires dans cette histoire sont les villageois qui ont votés. Je discutais avec quelque un et tous les villageois avaient un air déprimé.

Juliette: J'espère que Les loups-garous ont eu une leçon!
Aurélia: Je ne sais pas, mais je l'espère aussi.
Robert: Mais au pire des pires, barrez vos portes, vos fenêtres et armez vous!
Juliette: J'imagine que vous allez prendre votre canne pour vous défendre en cas de loup-garou?
Robert: Oui! Probablement! De toute façon, je ne peux pas courir. Mes genoux et mon dos me sont douloureux ces temps-ci!...Vous voyez cette cicatrice sur mon genou gauche? Ça c'est un renard qui m'avait attaqué! L'animal était en train de mordre une de mes poules! Je me suis jeté sur lui...Et c'est lui qui m'a eu!

Je racontais des histoires pour distraire les villageois de l'événement du vote. Le temps passait et peu à peu, les villageois rentraient chez eux. L'ambiance était étrange. Personne avait envie de dormir. En même temps, qui avait peut-être envie de se faire dévorer par des loups-garous, lorsqu'on rêve d'arc-en-ciel! On avait tous laissé une petite chandelle allumée dans notre maison, peut-être pour seulement se sentir rassuré, après tous, une chandelle ne pouvait pas empêcher une loup de nous mordre...

23h40

Mes paupières étaient pesantes, mais j'avais peur de dormir. Même si j'avais vu des choses pires durant mes 97 ans d'existence, le suspense de savoir si j'allais être la victime cette nuit me dévorait le vieux crâne. Ma canne, que j'utilisais comme bâton de combat, était normalement accoté sur mon lit. Je repensait à ma canne, donc je dirigeait mon regard vers celle-ci, jusqu'à ce que je remarque qu'elle n'était pas à sa place habituelle. J'eu un pincement au cœur et un petit stress envahissait mon corps ridé. Je repensais à mes dernières heures avec ma canne avec difficulté. Finalement, je me rappelais où je l'avais laissé après des longues minutes de réflexion.

23h55

Je me levais de ma chaise de bois en me soutenant à la table. J'essayais de me rendre à la porte de derrière pour me rendre au poulailler, où je l'avais laissée. La Pleine Lune me permettait de voir où mes pas lents et douloureux pour mes genoux allaient dans la nuit. Je souriais quand je vis ma canne en bois. En fin, mes genoux avaient un point d'appuis.

JOUR 5- 00h00
J'avais oublié les loups-garous. J'étais heureux d'avoir trouvé ma canne. Cette joie s'arrêta à cause d'un bruit de feuille vers la droite du poulailler. Tout de suite des mots apparaissaient dans ma tête; « mort », « loups-garous », « danger ».
Quelques unes de mes poules fessaient des bruits anormales. Pas des bruits comme si elle se fessaient attaquer, c'était plus tôt un grognement aigu pour avertir ses sœurs poules d'un présence qu'elles n'aimaient pas. Je ne savais quoi faire...Même en 97 ans d'existence, je ne savais pas. Ma première option était de descendre des escaliers et aller voir qu'est-ce qu'il se cachait derrière le poulailler ou entrer dans la maison. Ma peur choisissait la deuxième option. Mais, une partie de moi voulait retrouver les aventures que je vivais quand j'étais jeunes; l'aventure, le courage, le danger. En même temps, si mes jours allaient se terminer cette nuit, j'aurais au moins voulu dire au revoir à Carl!...Bon je devais décider....Allons-y pour Le plan A! Je descendais donc tranquillement les escaliers et je tournais vers la droite avec mon bâton pointé vers l'avant.

Un loup-garou sortit des buissons!
Bang!
Un coup de bâton entre les dents!
Un autre loup-garou, un peu plus grand, sortait à son tour des herbes hautes.
Il m'égratigna Le bras avec ses longues griffes, mais je répondu aussitôt avec un coup de canne en bois dans l'œil. On pourrait dire que mes talents en combat m'ont sauvé la vie.
Un troisième loup me mordu le genou cicatrisé.
Je sortait un cris du genre: AAAH!
Ma veille voix n'avait pas crier autant fort depuis quelques années!
Avec de la rage, je me mis à frapper le loup en dessous de sa mâchoire. Ils étaient grands, donc, j'avais une grande accessibilité à la mâchoire et le coup.
Bang!
Le loup recula.
Le premier loup qui était de retour me mordu la main.
Je tenais donc mon bâton avec une seule main.
Heureusement, je réussit à donner un coup dans le coup du loup, ce qui le fut perdre son souffle et me donner une chance de jeter un coup d'œil à ma main.
Ouch! La morsure était profonde! Mais, je ne voulais pas donner une autre chance à ces loups de m'attaquer, donc je donna un coup en pleine face à chaque loup-garou pour lui donner une leçon! Il faut respecter les vieux du villages! Pas les manger!
Les trois loups-garous qui m'avaient attaqués se levaient rapidement et s'enfuyaient avec trois autres loups-garous qui ne m'avaient pas attaqués. J'ai compté 6 loups-garous.

Quand ils étaient partis, je rentrais rapidement dans ma maison pour me soigner. Mes genoux n'avaient jamais autant bien fonctionné!
Tellement épuisé, moi, le vieux du village, qui avait combattus 3 loups-garous, m'entendis sur mon lit et dormis Les heures restantes de ma nuit.