Olivia, 17 ans, de la Californie au Texas

Chapitre 2 : Un véritable cauchemar

"Eh bien, non pas vraiment...S'il te plait Jeff" Repris ma mère avec un air soucieux."

Mon père posa sa main sur la cuisse de ma mère qui n'arrêtait pas de jouer avec ses doigts et me dit,

" Olivia tu as aujourd'hui 17 ans, tu es une adorable jeune fille, seulement nous ne pouvons plus continuer ainsi...Ton comportement à l'égard de ta famille ne va plus du tout, et même ton comportement avec tes amies ou au lycée n'est pas correct."

"Attendez vous me faites quoi la ? Je vais être priver de rouge à lèvre pendant une semaine c'est ça ? Mais bon sang je suis quelqu'un d'important, je suis une figure au lycée ! J'ai le droit de faire un peu ma princesse !" Dit-je en m'énervant un peu.

"Non Olivia, cela à trop duré ! Tu ne répond que par textos, tu porte plus d'importance aux personnes qui te suivent sur les réseaux sociaux qu'à ta propre famille, il faut que tu reparte sur de bonnes bases, seulement il faut que tu parte ! "

Je resta immobile à moitié abasourdi par ce que ma mère venait de dire, ma mère, ma propre mère me met à la porte si je comprend bien ?

"Ah non, non,non je n'irai pas vivre dans la rue, je n'ai pas 18 ans légalement tu n'a pas le droit ! Et.." Mon père me coupa

"Non, tu vas partir au Texas !"

"Où ?" demande-je alors que j'avais très bien entendu.

"Tu as bien entendu, nous avons pris contact avec une famille Texan qui accepte de s'occuper des enfants "mal dans leur peau", qui on besoin de respirer un peu"

Alors la, je ne sais même plus quoi répondre, c'est juste ignoble, moi, au Texas, même ma pair du Huarache ne résisterais pas plus de 2 heures.

"Enfaite, vous me faites une énorme blague et la c'est le moment où je rigole parce que vous aviez presque failli m'avoir !"

Mon père se retourna et sortit une pochette de sa poche de jean, il me la fit glisser le long de la table basse. J'ouvris la pochette et en même temps que je regardais le contenu, mon père repris la parole.

"Ce sont tes deux billets d'avion, tu dois comprendre avant toute chose que nous faisons tout cela pour toi, pour que tu devienne plus responsable et que tu te rende enfin compte des choses importantes dans ta vie."

Je regarda les dates des billets l'un été datés pour le 4 Mai, qui est demain !

Je prie mons sac et mes billets d'avion, je monta dans ma chambre, sans dire un mot, mes parents se débarrassent non seulement de moi, mais me préviennent 9 heures avant mon départ ! C'est on ne peut plus géniale.

Je décida d'appeler Laurie, qui ne répondit pas, Alison non plus. Je m'allongea sur mon grand lit et je me demandais ou était mon problème, et je m'aperçus que l'on m'en voulais juste pour ma réussite, on m'en voulais de ne pas fair partit des gens qui se font harcelés, on m'en voulais d'avoir un style et d'être une figure de mode au lycée. Voilà que demain mon seul entourage sera des champs et des Pecnos.

Je décida de me prendre en main et de faire ma valise, je sortit mes 4 valises de mon placard et je commença à les remplir une par une. Lorsque quelqu'un frappa à la porte de ma chambre.

" Entrer"

Ma mère entre avec un petit sac dans la mains.

"Ma chérie...Oh tu fais ta valise ?" Ma mère me dit avec un air surpris

"Le colis sera expédier dans moins de 9 heures donc j'ai intérêt..."

Ma mère voyant que je prenais mal le fait qu'il aient agis dans mon dos, me donna un petit sac.

"Qu'est ce que c'est ?" Lui demandais-je

"Tu l'ouvrira une fois là bas"

J'acquiesça avec un timide sourire, et je mis le petit sac dans l'une des valise. Se soir mes followers était inactifs, un peu comme moi, je priais pour que la famille qui allait m'accueillir ai la WI-FI, car sans cela je ne pourrais littéralement plus vivre, même si je ne suis plus au lycée avec mes amis et que je m'absente pour quelque jours, je resterais toujours là pour leur donner des conseils et éviter que notre lycée ce retrouve en bas du classement des lycée les plus influant.

Je préparais mes multiples affaires, maquillages, vêtements, vestes, manteaux, chaussures...

Je ne mangea pas, je préférais parler par message avec Alison, qui me rassurait tant bien que mal en me disant que je ne reste seulement 4 jours et que ce n'est rien.

Je ferma ma dernière valise avant d'aller me coucher car demain je me levais très tôt. Ma vie est un véritable cauchemar.