Chapitre 10 : Sans compagnons

72 3 0
                                    


Cela pourrait bien me servir me dis je à moi même en observant ce bout de papier, cette carte m'a fois fort utile. Je l'installais dans les poches intérieurs de ma robe comme toute les autres babioles après tout on est jamais trop prudente. Mais pourtant, j'en étais sûr, mon cerveaux et ma baguette dans l'absolu devrait suffire. Un pas de sourie et un silence de mort, j'avais assez bien réussi l'épreuve de partir d'ici sans réveiller qui que se soit. Même en précaution une petite potion pour dormir ça vous dit ? Oui, je suis plutôt efficace et doué dans mes méthodes. Après tout ce sont mes plans, orquestré par moi ! ... Il n'y a pas de quoi fouetter un chat !

Miaou !

...Oh pardon Pattenrond ! Pensais je en le regardant passé, deux petits yeux jaune jugeurs rivés sur moi. L'impression de me dire :

« Non tu ne devrais pas faire ça... » Mais malgré tout, il sera mon incolite. Je lui offris ce titre officiel. Alors va y va donc couvrir mes arrières ma boule de poile préféré ! Je ris en remarquant que c'est ce qu'il fait mais je l'imaginai déjà dans deux minutes à dormir sur mon lit maintenant non-occupé. Je continuais alors ma descente, puis ma rampe par le conduit du tableau de la grosse dame. J'empruntais les escaliers coulissant dont j'avais pour espoir qu'ils soient hors services à cette heure ci. S'ils voulaient vraiment faire une farce ils serraient que je n'étais pas la bonne victime à attaquer. Je tapai du pied quand je les sentais ne serais ce qu'un peu vibrer mais heureusement pour moi, c'est tout ce qu'ils m'offrirent. Arrivé enfin à la derrière marche du bas, je cris victoire... Enfin bien évidement dans mon esprit seulement. Je pris ma chère carte celle des Maraudeurs que James m'avait passé. Ou exactement je lui ai pris parce qu'il est bien trop insouciant pour ce servir d'un tel bijoux. Mon esprit ainsi absorbé par le mouvement des professeurs et des préfets sur le parchemin ne pouvait alors me prévenir d'un telle élément déclencheur des plus désagréable du monde pour moi. C'est alors que je pris peur à :

« Salut, je t'arrête tout de suite. » Dis une voix que je reconnus malheureusement après avoir eut la peur de ma vie. Oui cette nuit, je jouais précisément ma vie. C'était cette inconditionnelle blondasse de Serpentard qui me rendait une petite visite perché sur une des statuts ou autre gargouille en hauteur. Mais comment est elle montée là-haut enfin ? Dans tout les cas cela expliquait pourquoi je ne la vis pas arriver par ma carte. Malfoy sauta et atterrit à terre, je devais bien l'avouer j'espérais qu'elle soit quelque peu mal retombé.

« Qu'es ce que tu fiches ici ! » Soufflais je encore mes dents serrés par la colère qu'elle m'inspirait. Mais je savais que je ne pouvais le crier. On se ferait prendre. Et les colles, les points en moins tout ça... C'était pas pour moi et que dirait ma mère de moi si cela m'arrivait pensais je un peu plus attristé en pensant à elle. A qui ces derniers temps j'en ai fais voir de toute les couleurs, quand toute cette histoire sera finit. Je pourrais lui montrer à quelle point je suis doué, m'excuser et la prendre dans mes bras, tout pour me faire pardonner.

« Quoi ? Moi ce que je fiche ici... Réfléchis, le préfet des Serpentard c'est Higgs ! Si je suis là, c'est qu'il a bien voulu me laisser sortir. » Encore et toujours des Préfets qui font leurs propre règles à Serpentard à ce que je vois. Me dis je en accordant mon regard à ma pensée. Les yeux d'Isaure eux n'avait pas l'air de bouger et de me juger de quoi que se soit. Cela m'étonnait surtout que moi, je ne peux la supporter mon regard devait déjà s'assombrir au fil des minutes qui s'écoulaient, un réflexe à se stade dont je ne pouvais me débarrasser. Je faillis en être désolé.

« Et pourquoi tu avais alors si besoin de sortir ? » Questionnais je amèrement , reprenant entre les mains la carte. Que je comptais bien surveillé. Imaginer si les professeurs arrivèrent ? Mais bien suûr Isaure Lucile Malfoy ne prêtait jamais attention à se genre de détail. Elle était stupide à vouloir toujours foncer tête baissé. Aussi idiote qu'un taureau dans une corrida. Mais là c'est moi le torero donc elle a intérêt à ce tenir à carreaux.

Colère Gryffondor, Jalousie SerpentardOù les histoires vivent. Découvrez maintenant