Colère Gryffondor, Jalousie Serpentard

Chapitre 12 : Verte de Jalousie

Quel hébété ! J'aurais préféré dormir plus longtemps. Bien que regardez moi ! Je suis tellement amoché qu'en dehors de fermer les yeux il y a rien a faire. Je savais qu'il finirait par alimenté une haine certaine. Je me laissais ainsi partir dans une fatigue, un sol des plus sales, un endroit que je ne reconnaissais pas... Mais qu'elle importance je me revoyais une nouvelle fois sur sa tête, quant ces yeux jaunes et croc, il n'avait pas. Il y a bien longtemps de cela.

« Serpentard. » Et les applaudissement se transformèrent en bruit de porte qu'on claquait ainsi si violemment. Hé ho ! Il y en a qui essaye de se ressourcer ! Par la barbe de merlin...

« Lâche moi une bonne fois pour toute d'accord ! Tu vois, il n'est rien arrivé. Tu pourras lui dire à ton charlatan. Entendais je criais d'une voix agacée et surtout bien essoufflé que je reconnaissais que trop bien...Ros-... ? Et rien c'est le cas de le dire... » Lâcha t'elle en fin de phrase. Je commençais doucement à faire le lien. Que faisait ai je ici ? Et elle aussi ? Après tout ce n'était pas le seul ici à s'opposer à son désire. Il avait laissé, il y a bien longtemps une place vide chez les rouges et or quelqu'un ne lui avait fait que lui reprendre. Mais maintenant trop fatigué ce fut la dernière fois que je désirais réfléchir. Tombant de fatigue. Restant uniquement focalisé à cette voix qui me permettait d'affirmé mon appartenance au monde des vivants. 

Hey ! Vous avez vu comment il m'a amoché ? De ces crocs c'est un miracle que ce ne soit que cela !

J'entendis alors la porte grinçait mais que pouvait il bien arriver ?

« Ecoute premièrement ne dit pas « mon » ! ça peut porter à confusion et je ne veux rien avoir à faire avec lui. Et deuxièmement, je m'efforce.... de te venir en aide alors je veux savoir pourquoi, tu n'acceptes pas, ou que tu cherches encore on c'est quoi ! » Une seconde voix un peu moins porteuse provenant certainement de cette deuxième personne accompagnant Rose ayant ouvert la porte. Une aussi qui me fallut peu de temps pour reconnaitre, la seule fille Malfoy depuis des générations et générations.... Je savais bien qu'appart si le gallon était truqué, il ne pouvait toujours pas retomber sur le même côté. Ayant visiblement plus de difficulté à se faire comprendre que notre chère Weasley-Granger.

« Cela fait une bonne dizaine de minutes que je ne cherche plus. Que je m'essaye moi de ne plus t'avoir accroché à mes bottes. » Répondit l'ainé.

« D'accord ! ...Et le reste de cette nuit ? »

« Mais que veux tu, toi de plus ? »

« Appart comprendre je... » Elles semblaient toute deux au coeur d'une querelle. J'ignorais totalement la raison futile mais j'arrivais à percevoir pourquoi cela fut le cas. Pour avoir étaient toute deux sur le bout de leurs têtes à lire leurs pensées chacune à leurs dates.

« Gryffondor. »

...

« Serpentard. » Je savais ce qui les différencier et ce qui les réunissait en t'autre. Encore une fois perdu dans ces souvenirs que j'eus de chacun de ces élèves. Je repris d'un silence, et d'une immobilité qu'un chapeau non ensorcelé envierai.

« ça t'ai alors si insupportable de ne rien comprendre. Il fallait impérativement que la petite Malfoy comprenne pourquoi telle potion était assigné à telle couleur. Il fallait que tu comprennes pourquoi certain mot pour des formules mais pas d'autre, que tu comprennes pourquoi les premiers années ne sont pas sensé faire du Quiddich et que tu comprennes pourquoi certaines personnes comme moi, arrivent à ne pas t'aimer... » De cette énumération emplis de haine, un silence régna dans la pièce toujours autant inconnue pour moi. Isaure ne sembla répondre. D'un autre côté, un tel aveux rendrait muet n'importe qui et si j'avais des dents, elles se seraient resserrés. J'entendis ainsi Rose reprendre ce qui semblait être une longue tirade à mon gout :