LE PORTEUR DE LUMIÈRE

Prologue

Bonjour, voici un petit mot de l'auteur, soit moi. Je vous souhaite une bonne lecture. N'hésitez pas à me faire part de vos avis. Concernant les fautes d'orthographe, je fais mon possible pour en faire le moins possible. Si vous en voyez, dites-le-moi, je ne mords pas. J'accepte toutes critiques. Pour ce qui est de la publication, elle est vraiment aléatoire. Pour l'instant, je vais essayer de tenir un rythme d'un chapitre par semaine, car je serai bientôt en congé. Bref, je vous souhaite bonne lecture. Ce prologue est seulement un aperçu pour que vous vous familiarisez avec mon style d'écriture. Merci.

Comme je l'ai mentionné au tout début, les images ne m'appartiennent pas. Le tableau au début du prologue est La Nuit étoilée de Vincent van Gogh.

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Une onde lumineuse se mouve à travers l'espace. Aux côtés de plusieurs particules de poussière, elle danse. Découvrant le monde, elle, une petite onde lumineuse, va parcourir des milier de kilomètres avec une vitesse qu'elle seule est capable d'atteindre. Évitant les obstacles sur son chemin et reflétée par certains, elle traversera finalement un tout nouvel environnement. Un liquide qu'elle n'avait jamais traversé auparavant. Pas vraiment comme de l'eau, mais pas aussi visqueux que la sève d'un arbre. Elle était intriguée jusqu'au moment où elle pensait sortir de cet environnement, elle frappa une paroi. Pensant qu'elle serait reflétée, elle ne s'attendait pas à être accueilli par de petits pics venant la transpercer. Plus jamais on ne vit cette petite onde, mais plusieurs de ses cousines, en quête de reconnaissance, vinrent elles aussi se frapper contre la paroi.

Ces ondes frappaient avec tellement de force la paroi que cette dernière n'avait pas le choix de libérer cette énergie en envoyant de petits courants électriques à travers de minuscules câbles.

Tout à coup, le noir se fit dans cet étrange liquide, tel un cimetière abandonné. Plus aucune onde ne vinrent rendre visite à leurs consœurs. Ce lieu délabré reçu un autre signal, un son.

Ce dernier était régulier, martelant les tympans de la pauvre jeune fille enveloppée dans son cocon. Ses yeux papillonnaient. Elle devait se lever. Une tâche pour le moins difficile.

Un bras pâle sortit de la couette et vint taire le vacarme.

Le soleil revenant par vagues, les ondes reviennent visiter les tréfonds des abîmes. Puis, une certaine onde put voir le monde qui l'entourait. Cette onde était très différente des autres. Bien que plus lente, ce qui lui valut certains ragots, elle put voir une brève image d'un corps pour le moins inhabituel. Il était blanc crème, il ne réfléchissait pas de lumière et semblait doux. Aussi tôt que cette réflexion fût faite, cette dernière termina en venant s'échouer sur un des piliers.

Puis, le corps bougea.

Son nom,

Berenice.

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Merci pour votre lecture et au prochain chapitre. Pour l'instant cela reste très vague quand à l'histoire parce que j'aime garder une part de mystère. Pour ceux n'ayant pas compris, les ondes représentent la lumière qui rentre dans l'oeil de Berenice ;).