Partie trois: Le commencement

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Présent:
Pdv Thomas
Je ne peux pas... Je ne peux plus lire c'est trop. Pourquoi? Pourquoi ai-je été si aveugle durant tout ce temps? Un mur insensible? Comment peut-il penser cela je l'ai aimé, je l'ai vraiment aimer bordel! Je suis pitoyable j'aurais dû lui dire chaque fois que j'en avais l'occasion car il le méritait. Je fais semblant de ne pas souffrir, de ne pas l'avoir connu autant et après ça j'ai de la difficulté à comprendre pourquoi il me nomme ainsi franchement Thomas tu fais pitié! Tu devrais avoir honte de toi! Tu as tué la seule personne qui t'a fait connaître le sentiment d'être aimé. Comment peux-tu dormir la nuit?

Ces phrases de torture continuent de tourner en boucle dans ma tête. Soudainement mon téléphone sonne,

-Salut
- Salut Thomas c'est Tom... Je dois te parler... Du journal.
- Je.. D'accord
- En fait je suis déjà à ta porte.
-Quoi??
Et c'est là que je le vois à travers la fenêtre alors je vais lui ouvrir la porte.

- Qu'est-ce que tu veux?
Il sourit
- Je comprends pourquoi il t'aimait maintenant, il a toujours aimé les gars chiant et tu en est vraiment un.
- Pour la deuxième et dernière fois qu'est-ce que tu veux Tom ?
- As-tu continuer de lire?
- Non je ne veux plus jamais en entendre parler! Je sais que j'ai merder! Okay!

Tom me tape sur l'épaule
- Ca va aller, je suis la, mais tu dois continuer pour lui. En plus, j'aime cette partie. Vous êtes mignons
- Tu l'as lu? Au complet?
- Oui alors tu vas devoir me faire confiance. Parce que la tout le monde pense que tu as poussé le gars le plus sympathique de l'école au suicide
- Je l'ai fait!!!
-  Non pas de la façon dont tu penses! Maintenant tu la ferme et tu lit on s'en reparle après!
Je ne réplique pas il a l'air vraiment sérieux. Je prends le journal puis m'installe à la table.

Passé:
Deux semaines après la fête:

J'étais en route vers la maison de Thomas . Depuis notre rencontre,nous étions inséparables. J'aimais passer du temps avec lui je ne savais pas comment notre relation allait évoluer, mais l'avenir nous le dira.

Lorsque j'arrive Thomas m'attend à la porte avec un large sourire.
-Salut toi
-Salut!
On s'étaient embrassés souvent depuis cette soirée Thomas. Mais ce baiser était spécial pour moi comme si c'était le début de quelque chose de bien. Et toi? Thomas qu'est-ce que tu as ressenti? J'aimerais bien savoir mais il sera trop tard pour moi d'ici ta lecture de ses pages.

Nous sommes allés dans ta chambre, tes parents étaient parti pour quelques heures et nous savions ce que cela voulait dire. les baisers et caresses se sont multipliées, mais soudainement tu m'as arrêté.

- Attends Dyl...
- Qu'est-ce qui va pas?
- Je veux pas que tu penses que je suis avec toi... Juste pour le sexe. Je veux dire c'est merveilleux mais je t'apprécie beaucoup et ...

Et je t'ai embrassé de nouveau
- premièrement je sais que tu n'es pas comme ça je l'ai su la première fois que je t'ai vu. Je t'apprécie aussi et je veux que tu te sentes à l'aise avec moi.

- Je le suis t'inquiète pas, je le suis, mais, je veux qu'on prenne notre temps.
-Alors ca me va

Mais je voyais bien que toi tu n'allais pas.
- Tu veux que je te montre mon repère secret?
-On est pas un peu vieux pour ça?
-On n'est jamais trop vieux pour ca Thomas.
Tu m'avais souris
- Alors on peut y aller.

Je t'avais apporter dans le parc le plus proche et nous avions montés dans la plus haute colline.

Au parc:
Tu étais allongé à côté de moi, nos doigts étaient enlacés et nous observions les étoiles.

- Merci pour tout ça c'est exactement ce que j'avais besoin.
- Je suis là pour toi Thomas
-même demain? Lorsqu'on va reprendre les cours.
- Évidemment! Je vais te présenter Tom tu vas l'adorer et tout les autres tu vas voir.
- Okay mais, nous deux? Tu es le gars le plus sexy de l'école et tout le monde te veux alors que moi je suis qu'une ombre pour la plupart des gens.

- Ne dit plus jamais des choses pareilles! Les autres n'ont qu'à de trouver quelqu'un d'autre car je suis déjà pris et cette personne est formidable.

Je me rappelle tu avais les larmes aux yeux tu t'étais approché de moi et tu m'avais embrasser délicatement.

- Tu es merveilleux toi aussi Dylan.

Ce sourire, ce moment j'aurais voulu le figer pour toujours, car nous savons toi et moi que le bonheur n'est qu'une chose éphémère dans ce monde.

Forgive Où les histoires vivent. Découvrez maintenant