Chapitre 7 : Guerre ou Réconciliation ? :

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Après une bonne nuit de sommeil, j'ouvris difficilement les yeux quand je sentis une chaleur présente sur mon ventre et des lèvres ce poser sur ma joue. C'est donc un peu plus réveiller que je souris a l'homme a mes cotés.

- Bonjour vous « l'embrasse et place une main par-dessus celle de son mari. » Ça fait longtemps que tu es réveillée ?

- Je ne sais pas, je perds la notion du temps a tes cotés « l'embrasse amoureusement tout en caressant doucement le ventre légèrement arrondis de son épouse. » A vos cotés...

- « Rigole » comment peut tu être toujours autant romantique, doux et attentionné avec moi après tant d'années ?

- C'est toi qui me rend meilleurs, tu m'as offert une famille, j'ai la plus belle femme du monde a mes cotés, je peux bien te rendre l'appareil.

- Je suis follement amoureuse de toi et je ne pense pas que ça changera un jour, I love you.

- I love you to « l'embrasse et ce place au dessus d'elle. »

- Même pas en rêve « enlace ses doigt à ceux d'Elijah » nous devons annoncer la nouvelle à ta famille...

- A notre famille « l'embrasse dans le cou » et l'un n'empêche pas l'autre « regard malicieux. »

- Si puisque j'ai une douche à prendre et si tu continue sur ce terrain là on risque de rester la journée dans ce lit comme a chaque fois que tu as cette lueur de désir dans les yeux dés le matin. Donc « ce déplace a sa vitesse jusqu'à la porte de la salle de bain » je vais prendre ma douche a tout a l'heure mon cœur.

- « La rejoins dans la douche après avoir entendu l'eau couler. » Bah quoi tu n'as pas précisé que tu voulais prendre ta touche seule « ce colle a elle » et puis il faut économiser l'eau.

- Tu es incorrigible « rigole. »

- Mmmh oui ma femme me le dit souvent « rigole » et c'est pour ça que tu m'aime.

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Après avoir passé une partie de la nuit à réfléchir je parti courir dans les rue de la Nouvelle Orléans. Il était 5h00 et le soleil commencé tout juste à émerger, cette ville est magnifique. En passant dans une rue du vieux carré je m'arrêtai prés d'un mur fait entièrement de brique blanche. C'était un mémorial en l'honneur de victime disparus tragiquement et beaucoup trop tôt. Sur ce mur figuré une plaque que je reconnu entre mille « In memory of the baby Mikaelson. » Cette plaque était vielle de 57 ans, c'était la plaque qui avait fait croire à la Nouvelle Orléans et au monde entier que la fille de Klaus Mikaelson était morte, que ma mère était morte. Mais ce qui en revanche attira mon attention fut une seconde plaque aux cotés de la première. Sur cette plaque il était inscrit en français « en mémoire d'Elijah Mikaelson un frère loyale, un Grand Alphas, un père et un mari aimant. Je regretterais a jamais mon geste et j'espère un jour pouvoir rattraper mon erreur. Je t'aime mon frère. » En bas de la plaque un K était marquer, c'était donc Klaus qui avait fait graver cette plaque. Il l'avait écrite en français et l'avais placé au coté de ma mère car c'est les deux choses qu'il a le plus aimer jusqu'à notre venu a moi et a ma sœur. Après être reseter 30 minute devant cette plaque je me remis en chemin vers une destination totalement différente de ma destination initiale. Arriver sur place je poussai ses deux grandes portes qui reflète l'histoire de ma famille et m'avance dans ce grand salon que je n'avais vu jusqu'à présent qu'a travers les souvenirs de ma mère. C'est à cet endroit précis que pour la première fois mon père dévoila ses sentiments à ma mère. Je me fis sortir de ma rêverie par une voie lointaine.

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