Ivy White âgée de dix-huit ans est inculpée pour le meurtre de la famille Johnson pour les quinzes prochaines années de sa vie. Transférée dans une prison exclusivement pour hommes dans une petite ville nommée Greendale, la jeune femme va devoir app...
[ Dialogue implicitement sexuel, vous êtes prévenus. Bien évidemment, rien de choquant, mais je préfère vous prévenir. Bonne lecture.]
Juste à côté, sur mon flan gauche était inscrit une phrase à l'encre noire. Je n'avais presque aucun tatouages, mais celui-ci était important. Il me permettait d'avancer, de continuer de vivre malgré toutes mes pertes. Deux phrases simples, mais qui en disaient long.
«La vie est une guerre perpétuelle, alors sors tes armes mon pote et bats-toi. Tu ne peux pas la laisser gagner en abandonnant»
-------- (Ce chapitre n'est pas corrigé, il le sera lorsque J aurais le temps c'est pour cela qu'il est toujours au passé. LOVE)
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26 septembre 2017 PDV DeIvy
Aujourd'hui était une bonne journée, j'avais appris la veille lors du repas que les deux jumeaux s'en allaient. Les deux détenus qui avaient essayé de me tuer, partaient enfin.
Les garçons m'avaient expliquée qu'ils étaient seulement de passage. Et leur comportement plus que mauvais avait accentué leur départ prématuré. J'avais fait une magnifique danse de la joie pour exprimer mon soulagement.
J'allais pouvoir enfin sortir de ma chambre sans être contrôler par ma paranoïa. J'avais repris une vie à peu près normale, malgré la douleur autant physique que mentale engendreaient par les traces qui peuplées mon cou. Il fallait maintenant espérer que les prochains arrivants soit mieux que les précédents.
Depuis l'anniversaire de Blue, remontant à quelques jours, je n'avais pas revu Jess. Je suis habituée à ses changements d'humeurs, mais après m'avoir planté comme il l'a fait, il s'était complètement volatilisé.
En parlant du loup, le voilà rentrant à son habitude dans la cafétéria. Habillé en noir, avec un T-shirt près du corps, il était à tombé. J'avais remarqué qu'il ne portait jamais la tenue traditionnelle orangée. J'aurai du m'en douter, aucunes règles de résistent au grand Jess Anderson.
Il avançait jusqu'à notre table, et s'assit en face de moi en souriant. Sourire que je ne lui rendis pas. Il disparraisait pendant plusieurs jours sans donner signe de vie, et débarque comme si de rien n'était et en plus en me souriant.
Il sait que je déteste cette attitude mais cela ne semblait pas le dissuader de continuer son petit jeu.
- Tu n'es pas très bavarde aujourd'hui. Me glissa-t-il discrètement.
- Autant que toi ces derniers jours. Fis-je en lui jetant un regard lourd de sous-entendus.
- Je t'ai manqué ? Renchérit-il accentuant son sourire narquois.
