Je Ne T'aime Pas

Mon faux petit ami

On est assit tous ensemble à table. Y comprit Kevin et Alex sans oublier Marco. Les filles aussi viennent d'arriver et après avoir ranger les courses on se retrouvait tous à table les garçons parlant de football et les filles des célébrités. Et dans tous ça j'étais perdu parce-que je réfléchissais à l'arrivée de mes parents.

- Jennifer est-ce que ça va? Me demande Marco.

- Oui oui t'inquiète. Juste un peu fatigué. Lui Répondis-je sans lui prêter d'attention.

- Fatigué?! Quand on est arriver tu dormais. S'exclama ma mère.

- C'est parce-que bientôt ce sont les examens et sans compter les fêtes de Noël. M'expliquais je.

- T'inquiète pas je suis sur que tu réussira comme toujours. Me soutien ma soeur.

- Je sais mais c'est l'avant stress.

- T'inquiète pas, nous sommes tous derrière toi. M'encourage ma mère.

- Enfaite Papa tu nous a pas dit l'autre raison de ta visite. L'interpellais je.

- Ah. Enfaite ta mère et moi avons discuté et on a décidé qu'après les fêtes de Noël tu reviendras à la maison. M'annonce t'il.

- Quoi?! S'exclame les autres.

- Quoi?!Mais je suis bien ici. Dis-je bouleverser.

- Oui on sait mais c'est pour ta sécurité. Me résonna t'il.

- Mais Papa je peux pas partir.

- Et pourquoi?

- Parce-qu'on sort ensemble. Intervient Marco.

- Quoi?! Encore une fois tout le monde s'exclamais.

- Oui depuis une semaine déjà. Continu t'il

- Hein?! Fis je perdu.

- Jennifer tu ne nous l'avais pas dis. S'exclame mon père. (Sûrement parce-que je le savais pas.)

- Heu... Enfaite on voulait vous faire la surprise. (Surtout ne vomi pas. Ne vomi pas Jennifer.)

- Je vois. Et c'est sérieux entre vous?

- Biensur! -que non. Y aura jamais quelques choses de sérieux entre nous.

- Okay. Si d'ici Décembre vous ne nous avez prouver que vous êtes vraiment ensemble et que votre relation est vraiment sérieuse, Jennifer tu reviendras à la maison mais si c'est le contraire tu pourras rester.Dit mon père on ne peut plus sérieux. C'est ce que je voulais éviter en venant ici, qu'il arrête de tout contrôler.

- Je crois que je vais sortir de table. Je me levais, essayais mes lèvres à l'aide mouchoirs de table avant de la balancer sur la table et monter dans ma chambre.

   Cette histoire m'énervent au plus haut point et il fallait que j'évite de faire une crise devant Marco. J'empruntais les escaliers et m'enfermait dans ma chambre,pris mes écouteurs avant de les brancher à mon téléphone, mettre la musique et me coucher. La maintenant j'avais besoin de me calmer et il était hors de question que je me mette à pleurnicher. Je suis Jennifer Flanelia Ingreys et je suis là plus populaire de Chicago.
    Quelques minutes plus tard quelqu'un toquait à la porte,  je ne degnais pas répondre ni même bouger. La porte s'ouvra ce qui me fis penser que j'aurais du la fermer à clé puis je sentis une présence à côté de moi.

- Jennifer, tu comptes rester ici jusqu'à ce que tes parents s'en aille? Demande Marco sarcastiquement.

-Pourquoi pas? Après tous je reviendrai vivre avec eux. Et toi qu'est ce que tu fais ici? Tu devrais être en bas les écouter te féliciter de ton exploit. Fis-je sur le point de pleurer.

- A vrai dire je ne voulais pas monter mais je me suis dit que c'est ce que fait un petit ami. Essaye t'il mais sa tentative de blagues n'a pas vraiment marche.

-Arrête tu sais très bien que c'est juste une histoire inventer. Crache-je toujours dos à lui.

- Je sais. Dit il simplement. Je sentis comment il s'asseyait sur le sol près de mon lit mais ne me retournais pas pour autant.

- Tu sais je comprends ce que tu ressens. Je me retournais surprise qu'il puisse même comprendre quelques choses.

-A bon? Je croyais que t'avais pas de coeur. Balançais je il me regarda bizarrement avant de m'igniorer.

- Tu te souviens quand on était au même lycée? Demande t'il.

- Oui et j'aimerais vraiment oublier ça. Il décidait d'oublier ce que je viens de dire et continuer.

- Mes parents comptaient sur moi pour prendre le relais des entreprises familial et ne me laissait presque rien faire. Après je t'ai rencontré et tu souriais tout le temps même quand tu nous racontais les problèmes que tu as avec tes parents. Et je dois avouer que j'aurais voulu te mettre mon poing dans la figure. Je le regardais avec un sourcil lever choquer par ce qu'il venait de dire et sa avait l'air de l'amuser. Mais te voir sourire comme ça m'enlevais le stress que j'eprouvais et je me suis dit que si il y avait des être capable de sourire tout le temps comme tu le fais  ma vie pourais avoir un sens. S'arrêta t'il. J'attendais la suite mais elle ne venait pas.

- Et alors? Lui demandai-je voulant savoir le rapport.

- Je sais pas. Mais je savais pas comment te faire sourire alors je t'ai juste raconter ça. Je le re-regardai comme si une deuxième tête venait de le lui poussée et il me regardait perdu. Quoi? Bref ne te prends pas trop la tête avec ça, j'suis sur que tout ira bien et que vous trouverez un arrangement.

- Merci. Lui dis-je.

- Pas de quoi. Fit t-il se levant et allant vers la porte. Avant qu'il ne puisse fermer la porte je l'interpellais.

- Et Marco, la prochaine fois que t'aura envie de me frappe cogne ta tête sur le mur. Ça marche aussi.

-Je ne pourrai jamais te frappé. N'oublie que je suis ton p'tit ami et que c'est sérieux entre nous. Me dit il  enthousiaste.

- Ouais c'est ça. Lui dis-je en lançant un coussin vers la porte qu'il referma tout de suite ouvrant juste après pour me tiré sa langue. Je lui offrir mon majeur et il feignit un air chocker avant de rire en refermant la porte.

  Il avait réussi à me donner le sourire et je me rendis compte que ces derniers temps il était trop dans ma vie. Oh non les étapes que je vous listait à l'hôpital commence. Je ne pouvais pas tomber amoureuse de Marco mais avec l'histoire du faux couple à mes parents je suis fichu.