Alice chercha,chercha elle voulait une adresse, et des renseignements sur cette femme. Louise éplucha les archives en espérant trouvait quelques choses,au début rien de passionnant,mais en vérifiant elle vit un numéro de téléphone l'occasion état là ! Alice se décida c'est sûr il fallait lui parler,même si,elle le savait Se n'était que des possibilités pour le moment. Elle voulait absolument savoir son adresse et bien evidemment si elle avait des filles.
- Alice calme toi ! Tu ne peux pas appeler comme ça ! On a rien, aucune preuve, rien.
- Il faut que j'en ai le coeur net !
- Ah ouais. Et tu vas faire quoi ?!
- Je sais pas... Je vais l'appeler je vais me débrouiller.
Alice prit son téléphone.
- Allo ?
- Bonjour je m'appelle Alice Quimper, services sociaux, je voulais savoir si nous pouvions avoir un entretient ensemble ?
- Pourquoi ?!
- Je ne peux pas vous en dire plus. Vous êtes bien Tyssia Brecher ? Votre adresses s'il vous plaît.
- 9 rue des pâquerettes à Nice. Oui.
- Merci.
Alice raccrocha.
-Faut que j'y aille !
- Je te rappelle que je suis rechercher et toi aussi... Rappela Louise à sa tante.
- Ça te dérange si j'y vais seule ? Je sais que je devrais pas te laisser là... Mais je dois comprendre. Alice voulait y aller,lui parler,les voir...
- Oui ! Tu ne peux pas faire ça ! Imagine s'il t'arrive quelque chose.
- Je te promet de faire attention.
En apprendre plus sûr la disparition de ses jumelles, voilà son obssession. Elle decida de s'y rendre, rien n'allait etre simple, malgré tout Alice gardait espoir.
- Tient ma chérie c'est le numéro de deux amies Julie et Amélie elles sont soeur et travaillent dans la police. Si il y a le moindre souci tu les appellent d'accord ?
- Oui...
- Je t'aime fort ma chérie fait attention à toi... dit Alice ne savant pas encore dans quoi elle s'entraîner. Louise lui dit au revoir et lacha une petite larme...
Elle se retrouvait seule en Allemagne sans avoir avec qui vraiment parler... Alice prit la route, pendant se long trajet elle pensait,pensait et pensait à Julien qu'elle aimait tellement...
Jade Pierre et Julien eux chercher toujours Alice et Louise en vain.
-Si elle avait fais une connerie.
- Mais non arrête Julien !
- Ouais ta raison. Je crois que je suis à crain là...
Julien se le jura il lui pardonnera, Pierre quant à lui avait annoncer la disparition de Louise à toute la famille, un choc pour tour le monde. Jade elle,n'avait eu le courage de venir elle était restée chez elle à attendre un coup de fil de la police, de Louise ou d'Alice. Mais rien elle était seule, face à ses questions comme sa soeur, il y avait quatre ans, et surtout face a ses souvenirs pas bien vieux... Avant de partir Alice avait laisser un message rapide à Julie et Amélie.
- Allo ?
- Oui, Amélie ?
- Alice ? Ça va tu n'a pas l'air bien ? J'ai eu Julien,où tu es ?
- Si, si, écoute... Si Louise t'appelle répond lui.
- Attend qu'est ce qu'il se passe là ?
- Je peux pas...
- Alice ? Tu es où là ?
- Protége là si elle en a besoin.
- Je ne comprend rien. Alice où est ta nièce ?! Alice répond moi ! Alice ! Tu vas bien ?
- Je dois te laisser.
- Attend ! Merde !
Alice raccrocha,Amélie elle, rejoignit la DPJ le plus vite possible.
- Franck ! Commandant ! Cria t-elle.
- Amélie ? Qu'est ce qui se passe ?
- Alice ! Elle m'a appelé. Elle m'a dit de... Que je devais prendre soin de sa nièce si elle en avait besoin, j'ai pas tout compris, mais je sais pas, je pense qu'elle est en danger.
- Elle vous avez dit où elle était ?
- Non, non.
- Venez.
Ils entrèrent tout deux dans le bureau d'Adrien.
- Ah commandant !
- On a besoin de vous Adrien.
- Aucun souci,avec plaisir !
- Amélie a reçu un appel,il faut le localiser.
- Ok, donnez moi ça. Il y a un léger problème...
- Quoi ? Demandèrent-ils en même temps.
- C'est un forfait pré payé, je peux rien faire.
- Évidement. Lança Franck.
- Vous comptez pas me dire en quoi ça nous concerne ?
- Hm. Non.
- D'accord. Rigola Adrien.
Amélie et Franck sortirent du bureau d'Adrien et partirent dehors.
- Merde ! Merde ! Criait Amélie.
- Ça va aller, on va essayer d'avoir l'enquête.
- Je peux rien faire ! Elle doit être en danger, je sais pas...
- Venez, on va marcher un peu.
- Franck.
- Oui ?
- J'aurai peut besoin de vous. Commença Amélie.
- Oui ? Demanda Franck.
- Demain. Dans une clinique...
- Vous avez rendez vous demain ?
- Ouais.
- Vous avez prit votre journée ?
- Non, personne est au courant alors...
- Vous devriez.
- Je vais dire quoi ?
- Vous pouvez très bien dire que vous avez besoin de prendre du temps pour vous, non ?
- Ouais. Je vais prévenir Lamarck.
- Ok, je vous accompagne ? Je vais prendre ma journée aussi du coup...
- S'il vous plaît.
Elle partit avant de s'arrêter, elle se retourna face à Franck, le regarda, et fondit en larmes. Franck la prit dans ses bras, ne sachant quoi dire, il n'avait, hélas, pas les mots pour la rassurer. Il avait vaguement entendu parler de cette maladie, de ses risques, des douleurs, et des difficultés à avoir un enfant.
- J'aurai pas la force...
- Je suis sûr que si, je vais pas vous lâcher hein.
- J'ai peur...
- Asseyez vous. Tenez, buvez ça.
- Merci...
Ils rentrèrent dans la DPJ, se dirigeant dans le bureau du commissaire.
- Entrez. Cria t-il derrière la porte.
- Je peux vous parler commissaire ?
- Bien sûr, entrer.
- J'aurai besoin de prendre ma journée demain, s'il vous plaît. J'ai un rendez vous...
- Oui, ne vous en faites pas. Rien de grave ?
- Non, merci.
- Moi aussi... Ma mère vient de m'appeler elle est à l'hôpital loin...
- Je comprend, et bien allez y.
- Merci.
En sortant du bureau Amélie rigola.
- Votre maman est malade ?
- J'allais pas dire que l'on allait passer la journée ensemble ? Si ? Rigola t-il à son tour.
- C'est vrai.
Plusieurs heures plus tard Pierre et jade arrivèrent chez Julien ainsi que les parents de Jade et Alice. Julien ayant décidé de les inviter à manger pour se soutenirs.
- Pourquoi elle serait parti seule ? Demanda la maman d'Alice.
- On s'est disputé hier...
- Elle allait toujours chez le psy ?
- Désormais, c'était une amie à elle qui l'a suivait. Une psychologue en criminologie.
- Et ça se passé bien ?
- Alice a jamais voulu en parler de ses séances là.
- Je comprend. J'aurai dû faire plus attention. Affirma Jade.
- Moi le premier. Reprit Julien.
Dans la soirée Alice roulait encore Berlin,Nice ce n'etait pas la porte d'à coter ! Elle était inquiéte pour Louise, certes elle avait 15 ans mais il faisait maintenant nuit et elle ne pouvait la joindre, le seule téléphone qu'elle avait lui permettra d'appeler brièvement Louise quelques fois dans les jours à suivre,mais rarement...
Le lendemain, Julien rendit visite à Amélie, chez elle.
- Julien ?
- Ouais,excuse moi pour hier,en faite je voulais savoir si tu pouvais me donner le compte rendu de la dernière visite d'Alice.
- Je sais pas si elle aurait voulu. Attend,attend. La dernière fois, ça a été très dûr pour elle,on a arrêté plus tôt.
- Pourquoi ?
- On a parlé de se qu'elle voulait faire de sa vie maintenant, de son avenir. Tout ce que je peux te dire c'est qu'elle ce confie beaucoup plus qu'avant, je pense que reprendre son travail lui à fait beaucoup de bien.
- Ok.
- Je dois te laisser j'ai quelqu'un qui m'attend...
- Tu nous l'avez cacher ! Dit-Il en voyant Frank dans sa voiture
- Pas du tout ! N'importe quoi c'est un collègue !
- Bien sur ! Et moi je crois encore au père NOËL !
- Je te dis qu'il ne se passe rien avec lui !
- Profites ! Affirma t-il. Amélie rigola.
Julien partit de chez Amélie, la jeune femme prit son sac à main, et sortit rejoindre Franck qui l'attendais.
- Ça va ? Demanda t-il.
- Ouais, ouais,et vous ?
- Oui. Vous voulez que je reste avec vous ? Enfin je veux dire pour votre rendez vous ?
- Si...
- Pas de soucis, c'est vous qui voyez.
- Merci, d'être là.
- C'est normal. Bon je vais mettre le GPS, si on veux être sur d'arriver à l'heure !
- Je vois !
- Vous voulez mettre de la musique ? Enfin je sais pas, ça pourrait vous détendre quoi...
- Non ça va aller Merci.
- C'était le mari de votre amie non ?
- Oui, je m'occuper d'elle, elle ne voulait plus aller chez son psy, alors j'ai un peu remplacer le sien,il voulait savoir comme ça se passer.
- D'accord. Vous faites tout ça vous ?
- Il faut croire.
- Si j'ai besoin d'une psy un jour, je vous appelle ? Rigola t-il.
- Ouais bien sûr ! Affirma t-elle, en rigolant de plus bel.
Ils arrivèrent une heure plus tard, dans la clinique où Amélie avait rendez vous.
- Je vous en prie entrée.
- Bonjour. Commença Amélie.
- Bonjour.
- Bien, j'ai vu que vous avez une endometriose avancée. Dans ce cas, personnellement parlant, je pense qu'il faudrait pencher pour l'opération, les lésions d'endometriose serait ainsi réduiee, vos douleurs avec.
- Et, je pourrais avoir des enfants ?
- Je ne vais pas vous mentir, cela risque d'être compliqué. Vous avez fais une fausse couche il y a cinq ans ?
- Hm... Je veux pas prendre le risque d'être sterile docteur.
- Alors je vais commencer par vous donner un nouveau traitement hormonal. J'aimerai vous revoir dans trois semaines. Parce qu'après on peut se concentrer sur une éventuelle grossesse mais vos douleurs risques de ne pas bougés si elles n'évoluent pas... Je penses, que vous avez besoin de réfléchir,vous me rappeler. Nous pouvons fixer une première opération d'ici trois mois ?
- Oui...
- Bon courage, au revoir.
Amélie et Franck sortirent.
- Vous m'aviez pas dit, pour votre fausse couche.
- Je peux pas en parler, c'est trop dur... C'est du passé, c'est Arthur, c'est rien de bon...
- Je vous force à rien, ne vous en faites pas. Sachez juste, enfin c'est vous la psy, mais si vous avez besoin de me parler, je serai toujours là.
- Merci, peut être qu'un jour je serai prête. J'ai jamais abordé le sujet avec quelqu'un, j'ai jamais réussi. Quand ça s'est fini avec Arthur, je me suis créée une vraie carapace...
- Je sais ce que vous avez vécue. Maintenant je me dis que j'aurai dû vous aidez.
- M'aider ?
- Ouais,pour porter plainte,pour pas qu'il ne s'en sorte.
- Je crois pas que ça aurait suffit, j'avais peur, même quand une porte claquer,j'avais toujours peur. J'aurai pas voulu, malheureusement.
- Si vous le dites. Bon en tout cas, faut vous reposer maintenant !
- Bah... Fin je pensais continuer le travail, j'en ai besoin je vous assure.
- Sur ?
- Sur !
- Alors dans ce cas.
- Vous voulez manger à la maison ce midi ? Je vous invite, vous faites beaucoup pour moi.
- Une invitation ?! Si vous m'inviter, j'accepte.
- Super !
Elle glissa sa main dans celle de Franck, comme si elle cherchait du réconfort.
- Il faut que j'appelle le commissariat de Nice qui a l'enquête.
- Vous devriez vous reposer, le stress ça va pas vous aider. Je peux les appeler ?
- D'accord.
Arriver à Nice, Alice se gara devant la maison de Tyssia Brecher.
C'était une grande maison à poutre. En sortant de la voiture elle hesita encore... Puis sonna.
Une femme d'un certain âge ouvrit la porte elle avait un tablier et derrière elle,Alice entendit deux petites voix qui appelaient cette femme.
- Tatie ? nounou ? Tu joue aux poupées avec nous ?
Pour Alice c'était évidant c'était ses filles.
- Bonjour vous êtes ? Demanda la nourisse avec le sourire.
- Je... suis une ancienne amies
de leur.. maman je voulais voir ses filles car cela fait longtemps que je ne suis pas venue...Expliqua Alice d'un ton gêner.
- Allez y entrer. Vous vouliez voir leur maman peut être ?
- Oui, mais je repasserai, je vais juste faire un coucou à ses filles.
- Allez y. Répondit la nourrisse.
- Merci. Alice se retena de pleurer au mure que des photos des jumelles que ça. Alice les reconnues. Elle les prit dans ses bras et bizarrement les filles étaient d'une affection très positives comme si elle se rappelait de l'odeur de leurs maman. Le lendemain à l'adresse du frère de Mme Brecher. Elle sonna et vu une femme brune qui devait avoir la trentaine. Alice ne la laissa pas parler. - Je sais...qui vous êtes je sais se que vous m'avait fait il y a quatre ans. La femme comprit à la seconde. Alice continua. Prendre les enfants qui ne sont pas les siens c'est au dieux... La femme s'appelait Tissya.
- Vous n'en savais rien !
- Une mere ça reconnaît ses enfants à la seconde. Dit Alice déterminer. Sans reflechir Tissya attrapa Alice par le cou et la poussa brutalement contre le mur... Et se mit à parler.
- Vous n'aurez pas les filles. Jamais ! Alice lui répondit avec le peu de souffle qui lui restait..
- Vous croyez ça . Jamais je ne vous les laisserais jamais vous n'êtes qu'un... monstre. Alice toussa puis s'écroula,elle était inconsciente... A son réveille elle était dans une sorte de cave... Sera t-elle en bonne santé ? Comment en sortira t-elle ? Que vont devenir les jumelles ?
- Merde... Balbutia Alice.
- Putain ! Mais c'est pas vrai ! Criait Amélie. Elle répond plus... C'est pas normal...
- Vous devriez vous calmer un peu.
- Pardon. Il lui ait forcément arrivé quelque chose...
- Mais non.
Alice est en très mauvaise santé elle était épuisée, pleure chaque secondes chaque minutes et chaque heures.. Malgré tous ça Alice est toujours déterminé, à l'étages il y a ses filles,celles qu'elle aime le plus au monde pour Lucie et Éve,Alice ferait n'importe quoi. Elle est dans le noir chaques nuits et ne voit aucunes issu de secours la seule chose qu'elle est c'est un petit téléphone mais qui ne capte rien... Louise elle,a des centaines de kilomètres de sa tante commença à paniquer,Alice lui avait dit qu'elle l'appelerait rapidement dès son arrivée à Nice. Même si c'est loin elle ne doit pas être encore sur la route se dit Louise. La nuit elle pensa à ses cousines, à sa tante, à ses parents qui pleuraient à sa famille démunie à la police qui travaillait sans relâche et à Julien qui devait être si inquiet pour l'amour de sa vie. Trois jours ont passer Louise en est sûr il est arrivée quelque chose à sa tante elle appela l'un ou l'une des amies de sa tante comme lui avait dit Alice. Au bout du fil Amélie.
- Allô je suis la nièce d'Alice...Amélie toussa et partie dans sa voiture pour parler sans que personne ne l'entende.
- Allo Louise comment vas tu ?
- Moi ça va, seule mais ça va, je suis inquiete pour Alice elle m'avait dit qu'elle m'appellerait rien qu'une minute pour me prévenir de son arrivée à Nice. Expliqua l'adolescente
- Ne panique pas Louise.
- Oui...
- Tu as l'adresse d'où elle aller ? Demanda Amelie d'un ton doux. Elle ne voulaut surtout pas inquiéter de trop Louise.
- Attend d'accord, ma soeur et Franck me rejoigne je vais les chercher ne raccroche pas. Amélie courra chercher Julie et Franck dans la DPJ.
- Venez... Ils ne disèrent rien et montèrent dans la voiture, Amélie reprit.
- Qu'est ce que vous faites ?!
- Chut c'est La nièce d'Alice.
Puis elle reprit le téléphone.
- Sayer je suis là et ils sont là alors donne moi l'adresse d'où elle aller, prend ton temps.
- Amélie !
- Attendez je vous explique tout après.
- Ah bah j'espère. Affirma le commandant.
La criminologue rassurait du mieu qu'elle pouvait Louise.
- je met le Haut parleur,vas y dis nous.
- Elle allait 9 rue des pâquerettes à Nice. C'est l'adresse d'une certaine madame Brecher.
- Merci Louise.
- Raccroche pas je me sans seule. Dit Louise un peu gener.
- Ça marche je te passe Julie hein comme ça vous allez faire connaissance moi je reviens dans quelques minutes.
- Tiens Julie détend la parle lui et parle lui de ce que tu veux.
- Ok. Répondit Julie.
Amélie et Franck partirent faire des recherches pour espérer voir la voiture d'Alice ou autres dans les caméras de surveillances.
- Vous m'expliquer maintenant ?
- Bien sûr ! Alice c'est une amie à moi depuis des années, il y a quatre ses jumelles se sont faites enlevées, l'enquête a durée prêt de sept mois,puis ils ont jugé qu'ils n'avaient plus assez d'éléments pour continuer. D'après ce que je sais, elle est parti il y plusieurs jours avec sa nièce, en Allemagne.
- En allemagne ?
- C'est là bas qu'elles ont disparus.
- Les parents de sa nièce sont au courant ?
- Je pense pas.
- On va voir le commissaire.
- Non !
- Pardon ?
- Ce que je veux dire c'est qu'elle n'avait pas le droit d'aller là bas.
- Ça c'est sûr.
- Donc si c'est pas ses filles...
- Vous me demandez quoi là ?
- Quelques heures... Ou quelques jours juste le temps de savoir si ce sont vraiment les filles d'Alice et Julien.
- Rien que ça ! Ça va que c'est vous. Il lui souria, elle lui rendit l'appareil. Pendant que les heures passaient,Alice était toujours coincée et enfermée,Tyssia descendie à la cave, en voyant l'état d'Alice elle lui donna de l'eau.
- Pourquoi vous me faites ça ?! Je sais... elle toussa et reprit. Je sais que vous êtes stérile mais pleins d'enfants aimerais être adopter.
- J'ai fait onze fausses couches, environs quinze inséminations in vitro qui n'ont pas marcher deux opérations et rien. Alors oui dans l'hôtel quand mon frère vous à vue avec vos jumelles, je l'ai supplié de les enlever ou je faisait une connerie il a accepter, j'étais mal, mais j'ai jamais cesser de les aimer.
- J'en doute pas. Je peux les voir s'il vous plaît ? Demanda Alice en lacha toutes les larmes de son corps. Puis elle entendit une voie masculine à l'étage. Tyssia remonta.
- je vous en suppli ! Cria Amélie, en vain.
Alice n'avait jamais entendu cette voie alors elle cria. C'était le mari de Tyssia ils étaient marié depuis presque trois ans. Mais personne n'entendit Alice, personne...
Une centaine de kilomètres plus loin Amélie,Julie,et Franck étaient réuni chez Amélie et Julie pour continuer les recherches,c'était complexe ce qu'ils devaient rechercher, c'était soit une voiture ou quelques choses comme ça... Pendant que la police cherchait tant bien que mal. Louise elle, regardait les photos dans l'ordinateur de sa tante. Il y avait des photos des jumelles et des photos de toutes la famille.
Alice se fatiguait de minute en minute...
- Je crois avoir repérer la voiture d'Alice,regardez. Commença Adrien.
- Où ça ? Demandèrent Amélie et Julie. - Aux alentours de Nice,dans une rue piétonne.
- Et on peut savoir depuis quand elle y est ? Espéra Amélie.
- Je vais essayer de remonter les caméras video. Reprit Adrien.
Cela faisait presqu'une semaine que personne n'avait de nouvelles d'Alice et Louise.
Tyssia descendit, voyant la tristesse d'Alice elle lui fit signe de monter à l'étage. Alice obéissa à la minute elle le savait à l'étage il y avait ses filles. Tyssia lui demanda de s'asseoir.
- Pardon...J'aurais pas dû vous faire ça. Alice ne répondit. Tyssia reprit;
J'ai paniqué, vous voir arrivez dans notre vie c'était bien trop dure. Alice osa enfin parler.
- Maintenant vous allez faire quoi ? Tyssia ne savait pas mais, elle se força à répondre.
- Je sais pas.
La jeune femme toujours sous le choc reprit.
- Est ce que je peux juste appeler ma nièce elle doit être morte d'inquiétude elle est seule s'il vous plaît ? Elle n'a que 15 ans. Tyssia répondit sèchement.
- OK, tenait je reviens. Alice avait un téléphone en mains c'était déjà ça. Alice appela sa nièce comme prévue
- Allô c'est Alice,je peux pas trop te parlais tu vas bien ? Chuchota t-elle à Louise
- Oui ça va mais toi tu es où?
- Je... faut que tu prévienne Amélie. Je suis 23 rue du marechal Leclerc. Je t'aime. Alice raccrocha puis à la fin comme elle ne vu personne revenir elle tenta d'appeler Julien mais...hélas Tyssia arriva. Elle lui servit un thé puis commença à dire
- Vous allez me les prendre hein ?
- Je veut déjà les voir. Tyssia hésita... Louise appela tout de suite Amélie.
- Je sais où elle est, elle m'a parlé mais c'est pas son téléphone qui m'a appelait.
- Calme toi, Louise. Donne moi le numéro, je vais le geolocalisé avec mes collègues. Demanda Amélie. Louise lui donna sans attendre
- j'ai l'adresse c'est 23 rue du marechal Leclerc.
- Super. Julie appela Julien, il fallait le mettre au courant.
- Allo Julien y faut que je vous parle... Au sujet de votre femme.
- Allô, oui dites moi ?
- On pense l'avoir retrouvée on lance une intervention car pour nous, Elle est peut être en danger...
- Commença en danger ? merde.
- Calmez vous je vous rappelle plus tard. Julie laissa Julien comme ça sans plus d'information...
- Alors ? Arriva Jade.
- Ils ont peut être retrouvé Alice mais d'après elle... Elle est en danger. Explique t-il.
- Et Louise ?
- Je... Ils ne savent pas. Dit Julien. Dans sa tête tout les scénarios possible lui passer... Il était inquiet mais surtout il s'en voulait de ne pas avoir accompagné celle qui l'aime...
À la DPJ* Amélie et Franck partirent enfin parler au commissaire.
- Cette émois ci se n'est pas négociable.
- D'accord, d'accord !
- Que se passe t-il ? Demanda le commissaire, Monsieur Lamarck.
- On a besoin de lançait une intervention. Lança Amélie.
- Hm ! Une amie d'Amélie à disparue il y a plusieurs jours,enfin c'est elle qui est partit.
- Et donc ?
- On penses qu'elle est en danger.
- Elle doit être majeur j'imagine ?
- Commissaire, ses jumelles se sont faites enlevées il y a quatre, je pense qu'elle veut les retrouver, et je crois vraiment qu'elle est en danger, sa nièce n'a aucune nouvelle d'elle.
- C'est normal, vous venez de me dire qu'elle était partie.
- Elle est partit avec elle, sauf qu'elle l'a laissé dans un hôtel, pour qu'il ne lui arrive rien.
- Elle a enlevée sà nièce ?!
- Non, elle a voulu venir avec elle.
- J'ai du mal à vous suivre.
- Louise, sa nièce à quinze ans, elle connaît très bien la situation familiale. Alice devait l'appeler quand elle arrivait à Nice, elle ne l'a pas fait.
- À Nice. On n'aura jamais l'enquête.
- Pour le moment il faut juste qu'on y aille, s'il vous plaît.
- Ok.
- Votre opération approche non ?
- Dans une semaine... Répondit-elle à Franck. Je rentre la veille, du coup, enfin si vous faites rien le soir...
- Ça vous rassure que je vienne ?
- Oui...
- Je viendrai.
- Merci.
- Vous allez avoir besoin de repos ensuite. Va falloir prendre soin de vous.
- Je sais...
- Vous vous sentez prête pour l'opération.
- Je sais pas, mais j'ai pas le choix.
- Vous savez, vous devriez vous reposer c'est pas bon pour vous tout ça avec votre santé.
- Ça va aller, merci.
- N'empêche.
- Alice est ma meilleure amie depuis des dizaines d'années, elle est en danger et ça... Il faut que je fasse quelque chose.
VOUS LISEZ
Lorsqu'on aime.
ActionAlice a 30 ans lors d'un voyage en Allemagne, ses jumelles Eve et Lucie deux mois se sont faite enlever dans la nuit à l'hôtel. Quatre ans plus tard, elle est toujours prête à tout pour retrouver ses filles. Personne ne l'a croira lorsqu'elle affir...