Amelie Julie et Franck lancèrent une opération à Nice. La route passa,Amélie était inquiète, désemparé par le stress cette intervention n'était pas comme d'habitude, celle qu'ils devaient sauver n'était autre que sa meilleure amie. Elle resta muette durant tout le trajet. Julie mit son gilet par balle juste avant d'arriver.
- Ça va ?
- Oui, oui ça va.
- Vous devriez rester à l'extérieur là bas.
- Non. Je viens avec vous.
- Vous êtes sûr ? Vous êtes proche d'Alice on ne sait jamais.
- Je viens commandant.
- Ok.
Alice et Tyssia, quant à elle,parlaient calmement,Alice voulait voir ses jumelles mais pour le moment se n'étais pas au programme, tout était calme jusqu'au moment où Tyssia entendit la sirène de police. Tyssia comprit,elle comprit que maintenant ses filles comme elle disait n'aller plus l'être, que sa vie parfaite comme elle le pensée aller être détruite. Elle comprit qu'en ayant prêter le téléphone à Alice elle avait sûrement et probablement prévenue la police... Sans réfléchir elle s'énerva une énième fois
- C'est toi hein ! T'as prévenue la police c'était sur ! Cria Tyssia. Elle ne réfléchissa pas et d'un geste elle assoma Alice, qui, elle tomba au sol...
Inconsciente Alice resta inerte. Tyssia elle, s'emparait alors des jumelles et prit la route.
- Vous êtes prêtes ?
- Oui. Répondit Amélie.
- On y va. Chuchota t-il.
La police entra, personne n'était dans la maison personne sauf Alice inhanimé.
- Je vais à l'étage. Affirma le commandant.
- Alice ! Cria Amélie, elle l'a pris dans ses bras, la jeune inconsciente ne réagissant pas. Reste avec moi je t'en supplie,on va s'occuper de toi. Non, non... reste avec moi ! Criait Amélie.
Julie appela les secours, Franck, lui, cherchait Tyssia et surtout les jumelles. Le commandant rejoignit ensuite Amélie assise seule. Alice, partit dans l'ambulance.
- Vous avez vu le médecin ?
- Oui... Son état est critique, ils partent au CHU.
- Ça va vous ? Vous devriez souffler un peu.
- Non. Si je souffle, je vais... Je vais craquer...
- Ca va aller, hein ?
-Ouais, ouais, ouais...
Elle se leva, sortit, et fondit en larmes.
- Elle va s'en sortir. Chuchota Franck à son oreille. Il prit la jeune femme dans ses bras, tremblante elle resta plusieurs secondes contre lui.
- Les jumelles ? Demanda t-elle.
- Elles ne sont pas là.
- Merde ! Faudrait prévenir Julien...
- Vous voulez que je le fasse ?
- S'il vous plaît.
- Pas de problème.
Il essuya délicatement les larmes qui avaient coulées sur le visage d'Amélie.
- Les larmes ça ne vous va pas.
- Ouais.
- Je reviens je vais appeler son mari.
- Allo ?
- Bonjour, commandant de police. Je dois vous parler de votre femme.
- Dites moi.
- On a retrouvé votre femme...
- Elle va bien je peux lui parler ? Franck repris.
- Pour le moment elle est inhanimé...
- Dans qu'elle hôpital va t-elle,qu'est ce qui c'est passé ?
- On ne sais pas Julien.. On va envoyer quelqu'un pour vous y emmener.
- Et ma nièce Louise ?
- Amélie vous expliquera en arrivant ne vous inquiétez pas.
Après quelques heures passer sur l'autoroute Julien arriva avec Jade qui avait voulu venir. À l'hôpital ils montèrent dans le service où était admise Alice. Ils croisèrent le médecin qui leur expliqua comment elle allait. Puis il les accompagna dans la chambre d'Alice. Julien et Jade se mettèrent de chaque coter d'elle comme pour la rassurer. Amelie arriva quelque minutes plus tard et prit à part Julien et Jade.
- Nous avons des nouvelles de Louise et ce n'est pas Alice qu'il l'a enlevée, c'est sûrement Louise qui a entendu vos conversations et... elle a appelé sa tante pour venir avec elle.
- Et ma fille elle est où ?
- En Allemagne... Quand Alice est parti pour Nice elle a laissé se qu'il fallait à Louise pour vivre dans une chambre d'hôtel, on ira la chercher dans quelque temps.
- OK,ok ouf... Pleura Jade qui lâcha son stress. Julien repris :
- Et alors Alice a raison c'est nos filles ?
- On va faire une enquête de voisinage, et dès qu'on retrouvera les filles on leur fera des test ADN. Je veux pas vous cacher quoi que ce soit mais... Pour l'instant elles doivent être perdu, Ça va être long pour les voir. Mais vous y arriverez.
- D'accord,je comprend, je retourne au coté d'Alice hein pendant que tu appelle Louise. Dit Julien à Jade.
Jade, elle, partie avec Amelie pour joindre Louise.
- Je t'aime j'aurais dû te protéger, t'aider,maintenant je suis là on va les retrouver les filles,et t'as était parfaite avec Louise. Chuchota Julien à sa femme. La nuit passa Louise dormait pour la dernière fois en Allemagne seule,mais avant ça il fallait rendre les archives a l'hôtesse.
Quant à Julien il dormait à présent contre la mains d'Alice.
- Ça va ? Demanda Franck à Amélie.
- Il lui font des examens...
- Je parlais pour vous ? Dit-il.
- Je.. ouais, ouais... Répondit-elle.
- Vous devriez rentrer, vous reposez un peu ?
- Non,ça va aller.Mais merci. Répondit Amélie en souriant à Franck qui lui fit de même. Ils échangèrent un sourire complice presque interminable.
- Alors les jumelles ? Demandit Amélie.
- Pour l'instant rien... Tyssia est parti avec elles. dit-il. Amélie souffla.
- Vous avez une piste ? Demanda t-elle.
- Pas pour le moment.Mais on va les retrouver comme on a toujours fait,surtout qu'on a une superbe psycho-criminologue ! Lui répondit Franck en lui caressant l'épaule.
- Si vous le dites ! Amélie lui souria.
- Vous êtes sûr de vouloir rester sur l'enquête ?
- Pourquoi ?! Bien sûr...
- Non, mais ça va pas être simple.
- Je sais. Maintenant il faut convaincre la gendarmerie locale de nous confier l'enquête.
- Sauf qu'on a aucune preuve pour ouvrir une enquête.
- Alice cherche ses filles depuis des années. Si elle les a reconnues c'est que...
- Vous savez autant que moi, qu'Alice cherche ses filles depuis des années.
- Et donc ? Qu'est ce que vous insinuer ?!
- Pardon ?
- Excusez moi...
- Vous êtes à cran. Je ne vous en veux pas.
- Faut qu'on ait l'enquête.
- Ça ne va pas être simple. Même si cette femme c'est enfuit. Alice est entrée là bas par effraction.
- Non.
- Commença non ?
- Si on a retrouvé Alice inconsciente c'est parce que.
- Amélie, je suis désolé de vous dire ça mais là vous n'êtes pas objective.
- Pardon ?!
- Alice a très bien pu entrer sans que personne y invite à rentrer !
- Vous auriez dû être psy !
- Amélie !
- Je vais prendre l'air. Dit-Elle, avant de sortir. Franck la rejoignit.
- Je peux pas croire ça... Commandant.
- On a aucune preuve, alors on va voir avec le commissaire si on peut avoir l'enquête et là on avancera.
- Ok. J'ai besoin d'être seule. J'ai toujours suivit mes pistes et ça ne vous a jamais dérangée !
- On est une équipe Amélie !
- Ouais...
Ils s'approchèrent l'un de l'autre, il prit sa main, caressa sa joue, et l'embrassa. Ils se souriaient.
- Oh. Excusez moi...
- non, non qu'est ce qui a Sophie ?
- Le commissaire vous attend commandant.
- Ok, j'y vais.
- Raconte !
- Quoi ?!
- C'est mes yeux pendant que tu y es ?!
- Ah ça !
- alors ?!
- C'est juste un baiser !
- Je le savais ! Vous êtes fais pour aller ensemble !
- N'importe quoi !
- Arrête, tu le dévore du regard ! Et c'est pas nouveau !
- Tu te fais des films !
- Moi ? Moi je me fais des films ! C'est le monde a l'envers ! Rigola t-elle.
- Bah ouais toi !
- Sérieusement ? Alors pourquoi tu l'as embrassé ?
- Je sais pas. Si on était ensemble je gâcherait tout.
- Pourquoi ?
- Je sais pas faire ça Sophie. J'ai juste connu Arthur.
- L'amour ça s'apprend tu sais, et puis il n'y a pas besoin d'être un génie en couple pour savoir ça.
- On y va !
- D'accord, d'accord !
Le lendemain :
- C'est Amélie, je ne suis pas disponible pour le moment mais je vous rappelerez dès que possible, à bientôt. Bonne journée !
- Elle est encore sur messagerie ! Elle ne vous a rien dit à vous ?
- A moi ?
- Oui, vous Sophie.
- Ah non ! Rien de rien.
- Oui, Amélie c'est Franck. J'espère que tout va bien ? Rappelez quand vous pourrez,merci
20h00 :
- Amélie ?
- Bonsoir...
- Je vous ai cherché aujourd'hui.
- J'avais besoin de réfléchir.
- Vous n'êtes pas là par hasard j'imagine ?
- Non.
- Entrez.
- Je voulais vous parler de ce qu'il s'est passé hier... Entre nous.
- Je t'écoute.
- C'était une connerie, j'ai réfléchis toute la journée, j'ai des sentiments pour toi, c'est vrai... Mais c'est pas fait pour moi. J'ai connu qu'Arthur, et... C'était pas de l'amour. Si il se passait quelque chose, je gâcherait tout. Tu mérites d'être heureux, tu mérites quelqu'un de bien.
À ses mots Franck fût abasourdi, anéanti.
- Amélie...
- Je suis désolé... Arthur a détruit cette partie de moi, j'ai peur d'aimer, j'ai peur de tout ça. Il a réussi ce qu'il voulait, que jamais je ne l'oublie, que je souffre, il a réussi. Mais toi, je ne veux pas que tu souffres,je veux que tu sois heureux.
Elle le regardait, pleurer en même temps, puis partit.
- Merde ! Merde ! Cria t-il.
Il s'asseya et pleura lui aussi, la vérité c'était qu'ils s'aimaient, qu'il l'aimait, mais que fasse aux peurs d'Améliet il était impuissant.
Le lendemain :
- Ça va toi aujourd'hui?
- Oui pourquoi ?
- Je sais pas, Franck à l'air énervée et toi aussi ?
- Mais non, c'est rien.
- Tu lui as parlé ?
- Non.
- Vraiment ?
- Oui.
- Bonjour. Lança t-il en arrivant.
- Bonjour. Répondit Amélie.

VOUS LISEZ
Lorsqu'on aime.
ActionAlice a 30 ans lors d'un voyage en Allemagne, ses jumelles Eve et Lucie deux mois se sont faite enlever dans la nuit à l'hôtel. Quatre ans plus tard, elle est toujours prête à tout pour retrouver ses filles. Personne ne l'a croira lorsqu'elle affir...