5. Séquestré.

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Deux jours plus tard :
Alice était en très mauvaise santé elle était épuisée, pleuré chaque secondes chaque minutes et chaque heures.. Malgré tous ça, Alice restait toujours déterminé, à l'étages il y avait ses filles,celles qu'elle aime le plus au monde pour Lucie et Éve,Alice ferait n'importe quoi. Elle était dans le noir chaques nuits et ne voit aucunes issu de secours la seule chose qu'elle est c'est un petit téléphone mais qui ne capte rien... Louise elle,a des centaines de kilomètres de sa tante commença à paniquer,Alice lui avait dit qu'elle l'appelerait rapidement dès son arrivée à Nice. Même si c'est loin elle ne doit pas être encore sur la route se dit Louise. La nuit elle pensa à ses cousines, à sa tante, à ses parents qui pleuraient à sa famille démunie à la police qui travaillait sans relâche et à Julien qui devait être si inquiet pour l'amour de sa vie. Trois jours ont passer Louise en est sûr il est arrivée quelque chose à sa tante elle appela l'un ou l'une des amies de sa tante comme lui avait dit Alice. Au bout du fil Amélie.
- Allô je suis la nièce d'Alice...Amélie toussa et partie dans sa voiture pour parler sans que personne ne l'entende.
- Allo Louise comment vas tu ?
- Moi ça va, seule mais ça va, je suis inquiete pour Alice elle m'avait dit qu'elle m'appellerait rien qu'une minute pour me prévenir de son arrivée à Nice. Expliqua l'adolescente
- Ne panique pas Louise.
- Oui...
- Tu as l'adresse d'où elle aller ? Demanda Amelie d'un ton doux. Elle ne voulaut surtout pas inquiéter de trop Louise.
- Attend d'accord, ma soeur et Franck me rejoigne je vais les chercher ne raccroche pas. Amélie courra chercher Julie et Franck dans la DPJ.
- Venez... Ils ne disèrent rien et montèrent dans la voiture, Amélie reprit.
- Qu'est ce que vous faites ?!
- Chut c'est La nièce d'Alice.
Puis elle reprit le téléphone.
- Sayer je suis là et ils sont là alors donne moi l'adresse d'où elle aller, prend ton temps.
- Amélie !
- Attendez je vous explique tout après.
- Ah bah j'espère. Affirma le commandant.
La criminologue rassurait du mieu qu'elle pouvait Louise.
- je met le Haut parleur,vas y dis nous.
- Elle allait 9 rue des pâquerettes à Nice. C'est l'adresse d'une certaine madame Brecher.
- Merci Louise.
- Raccroche pas je me sans seule. Dit Louise un peu gener.
- Ça marche je te passe Julie hein comme ça vous allez faire connaissance moi je reviens dans quelques minutes.
- Tiens Julie détend la parle lui et parle lui de ce que tu veux.
- Ok. Répondit Julie.
Amélie et Franck partirent faire des recherches pour espérer voir la voiture d'Alice ou autres dans les caméras de surveillances.
- Vous m'expliquer maintenant ?
- Bien sûr ! Alice c'est une amie à moi depuis des années, il y a quatre ses jumelles se sont faites enlevées, l'enquête a durée prêt de sept mois,puis ils ont jugé qu'ils n'avaient plus assez d'éléments pour continuer. D'après ce que je sais, elle est parti il y plusieurs jours avec sa nièce, en Allemagne.
- En allemagne ?
- C'est là bas qu'elles ont disparus.
- Les parents de sa nièce sont au courant ?
- Je pense pas.
- On va voir le commissaire.
- Non !
- Pardon ?
- Ce que je veux dire c'est qu'elle n'avait pas le droit d'aller là bas.
- Ça c'est sûr.
- Donc si c'est pas ses filles...
- Vous me demandez quoi là ?
- Quelques heures... Ou quelques jours juste le temps de savoir si ce sont vraiment les filles d'Alice et Julien.
- Rien que ça ! Ça va que c'est vous. Il lui souria, elle lui rendit l'appareil. Pendant que les heures passaient,Alice était toujours coincée et enfermée,Tyssia descendie à la cave, en voyant l'état d'Alice elle lui donna de l'eau.
- Pourquoi vous me faites ça ?! Je sais... elle toussa et reprit. Je sais que vous êtes stérile mais pleins d'enfants aimerais être adopter.
- J'ai fait onze fausses couches, environs quinze inséminations in vitro qui n'ont pas marcher deux opérations et rien. Alors oui dans l'hôtel quand mon frère vous à vue avec vos jumelles, je l'ai supplié de les enlever ou je faisait une connerie il a accepter, j'étais mal, mais j'ai jamais cesser de les aimer.
- J'en doute pas. Je peux les voir s'il vous plaît ? Demanda Alice en lacha toutes les larmes de son corps. Puis elle entendit une voie masculine à l'étage. Tyssia remonta.
- je vous en suppli ! Cria Amélie, en vain.
Alice n'avait jamais entendu cette voie alors elle cria. C'était le mari de Tyssia ils étaient marié depuis presque trois ans. Mais personne n'entendit Alice, personne...
Une centaine de kilomètres plus loin Amélie,Julie,et Franck étaient réuni chez Amélie et Julie pour continuer les recherches,c'était complexe ce qu'ils devaient rechercher, c'était soit une voiture ou quelques choses comme ça... Pendant que la police cherchait tant bien que mal. Louise elle, regardait les photos dans l'ordinateur de sa tante. Il y avait des photos des jumelles et des photos de toutes la famille.
Alice se fatiguait de minute en minute...
- Je crois avoir repérer la voiture d'Alice,regardez. Commença Adrien.
- Où ça ? Demandèrent Amélie et Julie. - Aux alentours de Nice,dans une rue piétonne.
- Et on peut savoir depuis quand elle y est ? Espéra Amélie.
- Je vais essayer de remonter les caméras video. Reprit Adrien.
Cela faisait presqu'une semaine que personne n'avait de nouvelles d'Alice et Louise.
Tyssia descendit, voyant la tristesse d'Alice elle lui fit signe de monter à l'étage. Alice obéissa à la minute elle le savait à l'étage il y avait ses filles. Tyssia lui demanda de s'asseoir.
- Pardon...J'aurais pas dû vous faire ça. Alice ne répondit. Tyssia reprit;
J'ai paniqué, vous voir arrivez dans notre vie c'était bien trop dure. Alice osa enfin parler.
- Maintenant vous allez faire quoi ? Tyssia ne savait pas mais, elle se força à répondre.
- Je sais pas.
La jeune femme toujours sous le choc reprit.
- Est ce que je peux juste appeler ma nièce elle doit être morte d'inquiétude elle est seule s'il vous plaît ? Elle n'a que 15 ans. Tyssia répondit sèchement.
- OK, tenait je reviens. Alice avait un téléphone en mains c'était déjà ça. Alice appela sa nièce comme prévue
- Allô c'est Alice,je peux pas trop te parlais tu vas bien ? Chuchota t-elle à Louise
- Oui ça va mais toi tu es où?
- Je... faut que tu prévienne Amélie. Je suis 23 rue du marechal Leclerc. Je t'aime. Alice raccrocha puis à la fin comme elle ne vu personne revenir elle tenta d'appeler Julien mais...hélas Tyssia arriva. Elle lui servit un thé puis commença à dire
- Vous allez me les prendre hein ?
- Je veut déjà les voir. Tyssia hésita... Louise appela tout de suite Amélie.
- Je sais où elle est, elle m'a parlé mais c'est pas son téléphone qui m'a appelait.
- Calme toi, Louise. Donne moi le numéro, je vais le geolocalisé avec mes collègues. Demanda Amélie. Louise lui donna sans attendre
- j'ai l'adresse c'est 23 rue du marechal Leclerc.
- Super. Julie appela Julien, il fallait le mettre au courant.
- Allo Julien y faut que je vous parle... Au sujet de votre femme.
- Allô, oui dites moi ?
- On pense l'avoir retrouvée on lance une intervention car pour nous, Elle est peut être en danger...
- Commença en danger ? merde.
- Calmez vous je vous rappelle plus tard. Julie laissa Julien comme ça sans plus d'information...
- Alors ? Arriva Jade.
- Ils ont peut être retrouvé Alice mais d'après elle... Elle est en danger. Explique t-il.
- Et Louise ?
- Je... Ils ne savent pas. Dit Julien. Dans sa tête tout les scénarios possible lui passer... Il était inquiet mais surtout il s'en voulait de ne pas avoir accompagné celle qui l'aime...
À la DPJ* Amélie et Franck partirent enfin parler au commissaire.
- Cette émois ci se n'est pas négociable.
- D'accord, d'accord !
- Que se passe t-il ? Demanda le commissaire, Monsieur Lamarck.
- On a besoin de lançait une intervention. Lança Amélie.
- Hm ! Une amie d'Amélie à disparue il y a plusieurs jours,enfin c'est elle qui est partit.
- Et donc ?
- On penses qu'elle est en danger.
- Elle doit être majeur j'imagine ?
- Commissaire, ses jumelles se sont faites enlevées il y a quatre, je pense qu'elle veut les retrouver, et je crois vraiment qu'elle est en danger, sa nièce n'a aucune nouvelle d'elle.
- C'est normal, vous venez de me dire qu'elle était partie.
- Elle est partit avec elle, sauf qu'elle l'a laissé dans un hôtel, pour qu'il ne lui arrive rien.
- Elle a enlevée sà nièce ?!
- Non, elle a voulu venir avec elle.
- J'ai du mal à vous suivre.
- Louise, sa nièce à quinze ans, elle connaît très bien la situation familiale. Alice devait l'appeler quand elle arrivait à Nice, elle ne l'a pas fait.
- À Nice. On n'aura jamais l'enquête.
- Pour le moment il faut juste qu'on y aille, s'il vous plaît.
- Ok.
- Votre opération approche non ?
- Dans une semaine... Répondit-elle à Franck. Je rentre la veille, du coup, enfin si vous faites rien le soir...
- Ça vous rassure que je vienne ?
- Oui...
- Je viendrai.
- Merci.
- Vous allez avoir besoin de repos ensuite. Va falloir prendre soin de vous.
- Je sais...
- Vous vous sentez prête pour l'opération.
- Je sais pas, j'ai pas le choix, je peux pas renoncer à avoir des enfants c'est...
- Je suis sûr que vous allez y arriver, il y a cinq ans vous êtes tombée enceinte naturellement.
- J'ai perdu mon bébé il y a cinq ans...
- Mais ce n'était pas votre faute, c'est Arthur.
- Je sais. De toute façon il a tout détruit, ma vie, moi, et même... Mon bébé.
- Non. Non, il ne vous a pas détruit vous êtes une femme radieuse.
- Il a jamais payé pour ce qu'il m'a fait. J'ai jamais eu le courage de le dénoncer.
- C'est pour ça que vous êtes devenue psycho-criminologue non ?
- Ouais. Je devais être professeur d'allemand, puis il a tout changé. Quand j'ai perdu mon bébé, j'ai compris qu'un jour ce serai moi qui mourrai sous ses coups,alors à l'hôpital j'ai parlé, c'est là que ses parents m'ont aidé, ils savaient comment été leur fils, J'étais dévasté dès qu'une porte claqué j'avais peur, dès que j'étais seule je tremblais. Et puis, il a fallu que je me reprenne en main, j'ai pensé à la criminologie.
- Vous avez fais le bon choix. Personne n'a parlé enfin je veux dire ses parents ?
- Merci. Non, j'avais tellement peur qu'il s'en prenne à moi, que j'ai refusé d'aller porter plainte...
- Il n'est jamais revenu ?
- Si... Au début il me surveillé tout le temps, tout le temps je le voyait...
- Je suis vraiment désolé Amélie.
- J'ai peur vous savez, qu'il revienne. Je pensais qu'en étant dans la police ça passerait mais jamais cette peur ne m'a quittée.
- Je vous comprend.

Lorsqu'on aime.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant