[ ABANDONNÉE] Le jours où je l'ai vu

Chapitre 13 : Explique-moi.

11h25// cours

C'était enfin l'heure du midi , Annaé ne m'avait toujours pas adresser la parole , mais je comptais pas la laisser s'enfuir comme ça, j'irais m'asseoir à côté d'elle au self.

Pendant ce temps là, je restai comme à mon habitude sur mon fameux banc , la phrase « Ryuga en à fait un peu trop , on peut rester ami » est toujours au fond de ma gorge , mais j'attendais le moment propice à la déstabiliser , c'est à dire à coter d'elle , pour lui en toucher plus qu'un mot.

Si elle savait que c'était juste pour elle que je venais au lycée

Je l'observai de loin , elle était sur un banc elle aussi , aux cotés de Gingka.

Pourquoi elle traîne qu'avec des mecs ?!

Mais bon , j'ai rien à craindre de Gingka

// Self \\

J'étais dans la file d'attente du self , Gingka était devant moi , devant lui Kyoya , et Annaé devant lui.

Hum.

Je contenais déjà la rage qui monter en moi , je ne devais pas céder

Au moment où j'allais m'asseoir juste en face d'elle , Kyoya , aller lui , s'asseoir à coter d'elle.

On était tout les deux debout , je le foudroyais du regard , je serrai tellement les poing sur mon plateau qu'on pouvait voir sortir mes phalanges, c'était comme une battle de regards.

Et j'allais la gagner

Il le savait très bien , que même en public , je pouvais lui en foutre une.

Je ne détournais pas mon regard de lui , il finit par soupirer et alla s'installer autre part , loin de nous.

Je serrai les dents en le regardant partir , puis m'assis.

Annaé se contentait juste de me regarder , quand nos regards se croisèrent , elle tint mon regard à peine quelques secondes , avant de le détourner, agacer , je grognai :

" Tu peux pas nier ce qu'il c'est passer."

Comme si elle avait directement deviner de quoi je parlais , ses joues rosirent , puis elle me dit , toujours sans me regarder :

" Je ne l'ai pas nier."

Grr regarde moi quand tu me parle

" Alors pourquoi tu m'évite ?." Lui crachai-je

Elle me regarda cette fois dans les yeux , et grogna à son tour :

" T'as déjà plein de meufs que tu peux embrasser ou avoir dans ton lit en claquant des doigts, alors je vois pas pourquoi tu t'emmerde avec moi."

Je lui tapai le pied en dessous de la table et lui prit le poignet 

" Parce que t'es pas comme elles putain."