Regarde le ciel, si bleu et si infini.
Non, j'oubliais presque, tu ne peux le voir correctement.
Ces bâtiments d'orages, brutes, sans vues qui plombent tes beaux yeux.
Tu ne te languit pas du vent poussant les cotons d'eaux, se colorant de rayons solaires.
Tu ne peux suivre ce jolie mouton où tu as vu la forme d'un cœur ou d'un être adoré.
Cours immédiatement !
La sonnerie de la réalité va retentir, t'emprisonnant dans la logique humaine.
Échappes-toi !
Cours !
Surmonte !
Respire l'air frais que t'amène ses beaux nuages.
Monte toujours plus haut !
Au-dessus de la mer de vapeur, des grands glacier et survole les environs de tes yeux d'âmes.
Tout cet espace qui te vient de gauche, de droite, d'en haut, d'en bas.
Il n'y a plus que l'immensité du ciel et notre joie de libération à explorer ce nouveau monde.
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Pensées d'une déliré
PoesíaCe sont que des vers, des messages et des poèmes qui viennent et qui partent. Et ils n'ont aucune règle si ce n'est parler d'une chose, ce que tout le monde sait mais que tout le monde a oublié. Tu t'évade, tu oublie et tu refléchi dans ce livre. Ré...