C'était une belle mâtiné.
Il n'y avait que des chants d'oiseaux et le bruissements des feuilles d'arbres. L'odeur du café moulu était nostalgique.
Le soleil se filtrait à travers les carreaux rosées.
Le tapis moelleux sous les petits petons et la fraîcheur de la brise matinale, emportant avec elle les dernières gouttes de rosée.
Le générique matinale des Infos, qui me terrifiant toujours avec ces grandes trompettes, me rassurait sur le moment. J'étais là, nulle autre part ailleurs.
C'était parfait. Je venais de me réveiller, sans problème, sans songes terrifiants mes pensées ou me stressant pour l'avenir.
Il n'y avait que l'extérieur qui m'atteignait, et non la vie que j'avais en dehors de ce moment que je décrirais de paradisiaque.
Ensuite sont venus les années, l'expérience, les Vérités et les mensonges. Il y avait les idées et les contraintes, les faits et les conséquences.
J'avais maintenant 15 ans.
Les mondes se comparait rapidement, c'était les même en extérieur, mais tout avait changé au fond.
Les cœurs tendres étaient peint de sombre.
Les enfants réjouis s'étaient remplacés par des bombes.
Les morts accidentelles s'étaient changées en overdose.
De mon jeune âge, j'ai vu l'évolution d'une décennie. Des beautés, bien réelles mais également cachées, m'ont convaincu que tout n'était pas perdu.
Ont m'a convaincu que même les dommages pouvaient être réparé.
Lorsque que le mal grandit, son contraire en fait tout autant.
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Pensées d'une déliré
PoesíaCe sont que des vers, des messages et des poèmes qui viennent et qui partent. Et ils n'ont aucune règle si ce n'est parler d'une chose, ce que tout le monde sait mais que tout le monde a oublié. Tu t'évade, tu oublie et tu refléchi dans ce livre. Ré...
