Et nous dansons au fil des siècles

2 0 0
                                    

On a dansé en cœur.

Les musiciens nous enflammait

Nous étions au pas et criions notre gloire

On se tenait la main, toujours joyeux et ayant peur de trébucher

On sonnait le rallie qui nous faisait nous rassembler

En grand cercle, nous nous regardions tour à tour, l'impatience et la peur d'être mauvais danseur au fond de notre ventre.

Puis commençais la danse. Parfois on tombait, on réussissait notre pas, on sautait, on écoutait avec vie ou calme les timbales. Parfois des cornemuses , puis des trompettes et des accordéons, des cithares et des champs inconnu.

C'était simple à voir mais si dur à refaire. On pouvait tourner sur nous même, avoir le tournis, puis s'était fini et une ombre nous faisait nous écrouler. Les camarades étaient là pour nous relever. Puis on recommençait, en chœur.

Mais quand tout s'arrêta, loin sur une estrade, une partenaire de tempo et moi nous regardâmes. Que c'était beau et si déstabilisant. Personne ne se connaissait mais nous connaissions tous la marche à suivre. Nous la menions à bien jusqu'à la fin de la musique. Notre cœur qui battait comme un fou jusqu'à nos tempes en sueur, nous rappelait la vie. Nous vivions cette instant.

Une danse infinie qui avait survécu  des siècles jusqu'à ce jour et qui recommençais indéfiniment pour le bonheur de beaucoup, pendant que d'autre ne connaissait aucune synchronisation.

Il se marchait donc dessus en essayant de faire la paix avec leur voisin. Tout cela pour dire, la paix est un ensemble de chose, les paroles ne servent pas dans une danse, seule la musique conte. Et dans une guerre, des paroles ont conduit à des pas mal organiser qui on mené à des tournis sans fin vers la mort.


Voilà un petit récit dont je suis contente car il y a peu je suis allée à un festnoz(une fête bretonne) et j'ai appris des pas. Personne ne se connaissait mais on dansait, on allait lentement, puis vite, on suivait un chemin qu'on prenait avec joie et quand je me suis arrêter avec une amie, j'ai trouvé magnifique que l'on puisse danser, quand on était lus d'une centaine. Alors que la guerre qui fait rage, ne ressemble pas à ça. Dans notre fête joyeuse nous étions à l'abri de tout les dangers, alors que dans la vie il y a des choses horribles. Je ne sais pas si l'on me comprend bien mais... je voulais dire que danser ensemble est magnifique et que la guerre, quand on les compare, semble être une fosse béante rempli de mille cauchemard. Le mal dans ce monde, à l'instant on l'on danse ensemble, devient un cauchemard horrible et monstrueux. On y pense pas sur le coup, mais c'est ce que j'ai pensé.

♥♥♥

Pensées d'une déliré Où les histoires vivent. Découvrez maintenant