The Other Side

De quoi ils parlent??

Le soleil se lève sur une journée comme les autres dans ce quartier à la réputation plutôt...malveillante. En effet ce dernier ne receuille que des bars ou des hôtels, un quartier pour les pauvres avec beaucoup de clochards, criminelle, prostitués, etc...
Une petite auberge se trouvait dans ce quartie-ci, très banale et plutôt mal entretenue. C'était le genre d'endroit ou, à la nuit tomber des choses se passer. En d'autres mots c'était une auberge ordinaire mais qui permettait et qui offrait des services de prostitution. Femmes ou hommes ou même enfants, le choix était ouvert.

De bon matin, une jeune femme sorti de l'enceinte du bâtiment. Habiller avec une longue veste à capuche qui lui cacher les cheveux et le front, cette dernière faisait même le double de sa taille. La femme sortie avec discrétion et rapidité, elle voulait éviter de rencontrer quelqu'un ou plutôt une certaine personne plus exactement. Elle se précipita à 2 auberges plus loin jusqu'à arrivé dans un ancien bâtiment démoli et inhabité, elle s'accroupit et sortie de sa poche un vieux mouchoir contenant un morceau de fromage, dès qu'elle le déposa plusieurs chats surgissent de nul part en courant et en se bousculant pour manger. Elle essaia de carresser l'un d'eux mais le chat en question voulue plus manger qu'être câliner donc il l'a griffa méchamment. Retirant sa main rapidement, elle se leva et parti aussitôt pour retourner à l'hôtel d'où elle sorti.
A l'entrée du bâtiment elle rencontra une veille dame ridé descendant les escaliers vers l'accueil en chemise de nuit à moitié dénudé, son allure refletta se qu'elle avait fait la veille, aussitôt surprise la jeune femme baissa la tête, elle était prise au piège

-Ou étais tu? _Hurla la veille_

La concerné ne répondit pas. Le son d'une gifle fut entendu juste après. La gifle fût tellement violente et rapide que la capuche autrefois sur la tête de la jeune femme tomba laissant paraître ses long cheveux blanc pâle.

-Répond sale traîné ! Combien de fois t'ai je interdit de sortir sans mon autorisation ! Tu te souviens de la dernière fois! Tu veux me ruiner c'est ça salope !

Toujours pas de réponse de la part de la jeune femme, elle se contenta d'arranger sa frange qui lui cachait les yeux par sa longueur et de remettre sa capuche.

-File dans ta chambre ! Prépare toi pour le travail et plus jamais ça !

Aussitôt elle exécuta sans la regarder.

Arriver dans la fameuse chambre, la femme ferma la porte et se laissa glisser sur la porte déprimé, elle n'aurait pas dû savoir pour sa sorti c'était une erreur. En se laissant tomber au sol, sa capuche retomba, elle décida d'enlever sa veste. Ses cheveux blanc comme neige en bataillent, elle ne prit pas soin de les arranger cette fois.

Elle regarda ses mains jointes et remarqua la griffure du chat de tout à l'heure, elle caressa le blessure en essuyant le sang puis elle enfonça un ongle dans la coupure et l'intensifia plus. Elle gratta, gratta et gratta jusqu'à avoir une blessure bien ouverte et bien saignante. Elle entendit la veille l'appeler, elle arrêta son geste et un long soupir se fit entendre de sa part.

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Cela faisait maintenant 15 jours depuis le départ de Malou et que Charles a prit le relais. Les choses sont...bizarres , oui comme Albert l'a dit c'est plus aussi dur et chiant comme avec Malou mais..On dirait que quelques choses se passe et que nous on l'ignore.

Il faisait nuit, seul la lune éclairait les cellules à cet heure la . Je balaye la salle du regard, tout le monde dormait, même John lui qui ne dors jamais. Enfin je comprends il s'est donné à fond lors des travaux de charges à l'inverse de moi en tout les cas. Quatre yeux dort juste à côté de lui, ah oui! maintenant il s'appelle le lecheur de culs puisque il n'a pas arrêté de faire ça depuis le départ de Malou en plus il traîne tout le temps avec le nouveau garde et surtout avec Sofie, le connard! Après mon analyse je me rappelle de la cause de mon réveil, les toilettes.