Chapitre 7 :

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Vu par Sven

A peine arrivé on s'embrassait langoureusement. Elle partit en courant dans la chambre et ferma à clef :

- Victoire ? Frappai-je.

Silence...

Elle rouvrit la porte, elle était en peignoir. Je la relookais de la tête au pieds et elle lacha le peignoir, elle était entièrement nu.

Elle enleva ma chemise et mon pantalon et s'agrippa à mon torse. Je le souleva et la lança sur le lit. On continua nos affaires jusqu'à ce que la porte sonna. Elle remit son peignoir et courit à la porte, depuis la chambre j'entendais juste :

- C'est bien, continuez comme cela, il va tomber sous....

Je n'entendis pas la suite car elle referma la porte aussitôt, c'était assez bizarre.

Elle arrivait doucement :

- C'était qui ? Lui demandai-je.

- Personne ne t'inquiète pas chéri. Elle me fit un sourire aguicheur, ce qui me donna encore plus envie.

Nous avions pas vu le temps passait, on s'est endormi ...


Vu par Victoire

J'étais encore enfermé dans cette affreuse cabane ! Et Sven qui doit parler à une fille qui n'est même pas moi ! J'étais perplexe et en pleure. Par colère je mis des coups de pieds tellement fort
 dans la cabane en bois, j'avais réussi à faire un trou dans le bois.

 Mais manque de chance la semelle de mes chaussures était totalement ouverte, mais rien de grave ce n'est que du matériel. Je rampa sous le trou que j'avais causé, la terre était mouillée, elle se transforma en boue.
 J'étais en pyjama remplis totalement de boue, j'avais froid, je m'accroupie donc par terre en pleurant toutes les larmes de mon corps. J'essayai d'appeler au secours, je criai aux éclats. Mais rien, personne ne m'entendit dans cette forêt en pleine nuit totale.

J'avais une solution, courir. Je me mit à courir, je glissai à cause de la boue. Mes chaussures abîmé accroché sur le sol. Je les enleva et les lança loin. J'étais maintenant en chaussette. Mais je m'en fichais, tout ce qui comptait pour moi était de m'échapper.

1h plus tard 

J'étais sur une route, mais où ? Aucune idée. Je marchais sur le bord jusqu'à trouver un panneau, j'étais à environ 10 km de ma ville, il me fallait 50 minutes pour arriver chez moi. Il n'y avait personne sur cette route, j'étais obliger de courir malgré mon énergie pratiquement vide.

Une voiture passait, je tenta de l'arrêter, mais rien.

45 minutes plus tard

J'étais presque arrivée, je m'arrêta à un bar pour me réchauffer. J'ouvrit la porte, j'entendis le petit "ding" .
Tout le monde me regardait :
- Vous savez lire ? Il y a pas écrit salle de bain ! Me crie le barman.

Ah oui ! Parce qu'il fallait pas oublié que j'étais en pyjama-chaussette remplis de boue...
Je referma la porte et je vu la femme de ménage nettoyer la boue juste après mon passage, mais quel culot !

Je m'arrêta à un autre bar beaucoup plus loin, ils allaient fermé. 
J'ouvris la porte en disant :
-Bonjour, je sais très bien qu'il n'y a pas écrit salle de b...

Mais une serveuse me coupa la parole en disant : 
- Oh mon dieu ! Comment ça vous est arrivée ?
Je vais vous passez mes affaires de rechanges...

- Vous n'êtes pas obligée ...

- Oh que si ! On nous a appris ici à entraider les gens, pas les laissés dans le pétrin...

Je la suivi et j'entra dans le sorte de vestiaire. Je mis le pantalon, il était beaucoup trop serré !
Je remis les affaires de la dame dans son sac et je remit mon pantalon de pyjama remplit de boue :

- Merci beaucoup madame, mais vos affaires me serrent beaucoup trop, mais merci de votre gentillesse. Je repasserai ...

Elle me fit signe de la tête et je partit.
Une fois arrivé le premier réflexe était d'aller chez Sven.

Vu par Sven

La porte sonna, je me leva. Mais Victoire me bloquer en m'embrassant :

- Attends je vais voir...

Elle me suivi jusqu'à la porte et quand j'ouvris, il y avait une autre Victoire, remplit de boue de la tête au pieds :

- C'est mon clone ! Dit Victoire qui m'avais accompagné toutes la nuit.

- Non Sven ! Je te jure que c'est moi ! Elle m'a bloquée dans la cabane quand on s'est cach... Victoire 2 fit coupée par Victoire 1 qui lui mit une gifle et un coup de pied.

Je savais très bien que Victoire 2 était la fausse Victoire ! Je n'avais pas pu faire l'amour avec un clone !
Je lui mit à mon tour un énorme coup de pied, elle tomba par terre en arrière.

On ferma la porte et on se fit un énorme câlin :
- On devrais dire au boss notre expérience tu crois pas ? Lui demandai-je.

- Non ! Tout le monde à son jardin secret, chéri !

Elle m'embrassa, je trouvai ça très bizarre sachant que Victoire à toujours eu envie de découvrir ce mystère...
Je la repoussa et entendit les sirènes des pompiers : 

- Attends si c'est un clone ! Comment elle a pu appelé les pompiers sachant qu'elle n'a pas d'identité ! Lui criai-je.


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