La vérité n'est pas toujours celle qu'on crois

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Je crois que je n'ai jamais été aussi stressé. Je suis devant le porte de la chambre d'hôpital de ma mère. J'ai la main sur la poignée, mais je n'arrive pas à me résoudre à l'ouvrir, et si se que je découvrait dans cette chambre me blaissait ? On peut guérir des blessures fisique, mais les blessures mentale sont toujours là, dans un coin de ta tête, à attendre le moindre petit moment de faiblesse pour refaire surface. Brook qui est derrière moi me pose une main sur l'épaule pour m'encourager, et même Nate à un regard un peu plus compatissant sue d'abitude. Enfin... J'ai toujours l'impression qu'il préfèrerais être n'importe où plutôt qu'ici. Mais c'est toujours comme ça avec lui, et on finit par s'y abitué. Je ne sait même pas pourquoi il sont venu avec moi, mais je les en remercie, je ne sais pas s'y j'aurais eu le courage de faire ça toute seule. Je regarde Brook dans les yeux, elle me sourie, je lui sourie, et j'ouvre la porte.
Elle est alongé sur son lit, et quand elle entend le bruit de la porte, elle se tourne vers moi avec un regard surpris.
-Qu'est ce que tu fait ici ma chérie ?
-J'avais besoin de te parler et tu me manquait.
-Ma parler ? Mais de quoi ?
-De mon père, et de la soeur.
-Mais enfin, je ne comprend pas, tu n'a pas de soeur et tu n'a aucune raison de me parler de ton père.
Elle tente de rester calme, mais je voie à son expression qu'elle est tendue.
-Ne fait pas semblant maman, j'ai lut toutes les lettres, s'il te plaît explique moi, j'ai besoin de comprendre.
Elle soupire, regarde un instant ailleurs, j'ai l'impression qu'elle se retient de pleurer. Puis elle dit :
-Je savais que tu finirais pas savoir, j'aurais du t'en parler avant, mais crois moi, j'ai fait ça pour ta sécurité, mais maintenant que tu sait, je n'ai plus de raison de te cacher serataine choses. Donc, que veux tu savoir exactement ?
-Qui est vraiment mon père pour commencer.
-Ton père est un encien petit copain de lycé, tout le monde pensait qu'on était fais l'un pour l'autre, je le pensait au début aussi, mais il était bipolaire, au début ça ne me plaisait pas de problèmes, mais petit à petit il est devenu violent. J'avais peur de lui, je voulais le quitter mais j'avais peur qu'il me frappe, c'était horrible. Puis un jour j'ai rencontré l'homme qui t'a élever, il était si gentil, drôle, il me disait que j'etait la chose la plus précieuse au monde pour lui, et qu'il allait me protègé contre Marcus. Alors on a commencé à ce voir, c'était génial, il était pour moi une sorte d'échapptoir. Le jour j'étais la petit amie d'un bipolaire dangereux, et la nuit, je sortait de chez moi en secret par ma fenêtre pour rejoindre un romantique, drôle, parfait garçon. Mais un jour Marcus nous a surpris ensemble, il a péter un câble, il n'est mis à nous insulter, puis il a commencé à me frapper, Gens à essayer de s'interposer, mais il était plus intellectuel que sportif, et il s'est fait écraser par Marcus. Il m'a frappé encore et encore, puis il est partie, il a pris sa moto et eu un accident de voiture. Je n'ai plus eu de nouvelle de lui pendant des années, puis un jour il m'a envoyé une lettre qui expliquait qu'il avait perdu la mémoire et qu'il avait besoin de moi pour la retrouver, je voulais qu'il se souvienne tous le mal qu'il m'avais fait, alors j'y suis allez. Mais il n'était plus l'homme violent qui m'avais frapper. Il était redevenu l'homme charmant dont j'étais tombé amoureuse. Alors j'ai refait la même erreur qu'au lycé, j'ai oublié et laisser mon coeur s'attendrir. J'ai trahit Gens pour un homme qui m'avais déjà blessé une fois. Je suis tombé enceinte ce jour là. J'ai d'abord crus que c'était de Gens, mais peu de temps après il a passer un teste ou il a apris qu'il ne pouvait pas avoir d'enfant. Mais il savais déjà que j'étais enceinte. Je pensais qu'il allait me détester et me quitter, mais au contraire il était comptent d'avoir des enfants alors qu'il ne pouvait pas en avoir. Je voulais que Marcus sache que j'étais enceinte de son enfant, alors je lui ait écrit. Je n'aurais jamais dû faire ça. Il a voulu voir notre enfant est c'est normale, mais j'ai refusé, je voulais que mon enfant grandice en pensant que Gens et moi étions c'est vrais parents. Je pense que mon refus la fait rechuter. Dans ces lettres il était de plus en plus violent. Puis un jour j'ai appris que j'attendais des jumelles. Toi et Aza. J'étais si contente. Je les dit à Marcus. Alors, dans son esprit de fous furieux est née une horrible idée: partager nos enfants, il en prendrais une, j'aurais l'autre. Il a enlevé Aza le jour de sa naissance.
Elle se tait quelques instants, mais je suis trop impatiente de savoir la suite, alors je lui demande:
-Vous l'avez retrouvé ?
-Non, on a prévenu la police, mais quelque jours après, j'ai ressu une lettre de Marcus. Il me disait que c'était lui qui avait enlevé Aza, et que si je prévenais la police, il l'a blesserais. Alors avec Gens on a pris la décision commune de ne rien dire à la police.
-Tu ne sais vraiment pas où elle est ?
-Je ne peux pas répondre à cette question, je sais que tu chercherais à la retrouver, et ça te mettrait en danger.
-Même si tu ne me dit pas ou elle est, je la chercherais.
-S'il te plaît, Marley, reste en dehors de ça. Ça vaut mieu pour toi comme pour elle.
-Tu n'a pas à me donner d'ordres, pas après avoir abandonné Aza à un dangereux psychopathe.
-C'était pour ça sécurité.
-Non maman, c'était pour la tienne, tu te berçait d'illusions. Cet homme aime bien trop Aza pour lui faire du mal !
Et sur ces paroles je sort en claquant la porte.
-Sa va ? Me demande Brook
-Tu a une mine de déterré, raconte ce qui c'est passé.
-Mon père est un dangereux psychopathe qui a enlevé ma soeur, et ma mère est une lâche qui n'a même pas le courage de sauver sa fille.
-C'est peu être un résumer un peu court.
Brook à raison, ça ne c'est pas tout à fait passé comme ça, mais je veux garder les détailles pour moi.
-Bon alors Johnson, qu'est ce que tu veux faire ?
- Sauver ma soeur.
- J'imagine que je suis obligé d'aider, dit il en se tournant vers brook.
-Oui, on a vraiment besoin de ton aide.
-De toute façon un peu d'action ne va pas me faire de mal.

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