chp9

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Aujourd'hui, on est la veille du match contre Kirisaki. Daiki, c'est beaucoup entraîne, comme toute l'équipe. Je le sens mal, très mal. J'ai un mauvais pressentiment par apport à ce match. Daiki le ressent et vient me prendre dans ces bras. La, je suis en train de faire a mangé pour ce soir et les bentos d'avant match pour demain. J'ai fait du citron mariné dans le miel, ça va les requinqués pendant les pauses. Je continue de cuisiner avec un Daiki dans les bras. Il est de plus en plus collant, mais ce n'est pas pour me déplaire.

-Taiga, ça va allez demain.

Je soupire, me retourne et l'embrasse.

-Je ne le sens pas, tu pourras me dire tout ce que tu veux, je n'arriverais pas à me détendre.

Il me regarde tristement. Il le sait à chaque fois, j'ai raison.

-Il arrive, quoi que se soit demain, n'intervient pas s'il te plaît pense au bébé avant d'agir.

Je le regarde les larmes aux yeux.

-S'il te plaît, mon amour, arrête de tout le temps sortir le bébé pour m'écarter de tout.

Les larmes coulent doucement sur mes joues. Il les essuie.

-Je suis désolé mon ange, mais je m'inquiète.

-Je sais, mais arrête de rabâcher le petit. Ça m'énerve déjà assez comme ça de ne pas pouvoir pratiquer.

Il baisse les yeux honteux.

-Je suis désolé n'amour, je ferais attention.

-Hm ! Allez à table.

Il me lâche et par mettre la table. Je finis vite fais, mes plats et les pose sur la table.

Je m'assois, le sers et commence à manger.

-Bon appétit mon amour.

-Merci toi aussi mon ange.

On mange tous les deux dans le silence. Je ne mange pas beaucoup trop stressé par ce foutu match et à mon humble avis, je ne suis pas le seul. Chaque partenaire des membres de l'équipe doit être extrêmement inquiet. On fini de manger et je pars me coucher après une bonne douche. Il vient se coller à moi et il s'endort sous mes caresses. Je n'y parviens pas.

Le lendemain, matin, il a été très long a arrivé, je n'ai pas dormi de la nuit. Je suis levé depuis 6 heures.

J'ai fait le ménage complet de la maison et là, je prépare le petit déjeuné avant d'aller réveiller ma marmotte. Je mets la table et part dans la chambre. Je m'assois sur le rebord du lit et lui caresse les cheveux.

-Mon ange debout, c'est l'heure.

Il bouge légèrement et d'une voix rock me dit.

-Hm ! Il est quelle heure ?

Je souris et continue mes doudouces dans c'est cheveux.

-Il est 9 heures mon ange.

Il ouvre un œil et me regarde. Il prend le temps de me regarder et soupir.

- Tu n'as pas dormi ?

Je détourne les yeux gène.

-Oui.

Il vient m'embrasser.

-Je m'en douté un peut vue comment tu étais hier.

-Ouais, mais bon, je ne vais pas être concentré ou risque de trop l'être.

Il soupire.

-Ne t'en fais pas, pour le moment, je vais me lever pour prendre une douche mangée et on va rejoindre les autres d'accords ?

-Oui chéri.

-Bien, tu veux venir ?

Je souris et me lève en l'attendent. Il rit à ma réaction et on part à la douche.

Vingt minutes plus tard, on sort et il part mangé, moi, j'ai déjà mangé. Je grignote un peu puis on part au gymnase. Arrivé là-bas, j'avais raison, aucun partenaire n'a dormi. Aomine et l'équipe on la pêche mais nous, on va passé notre tour. On se dit tous bonjour et je demande.

-Vous aussi vous avez un mauvais pressentiment ?

Ils acquiescent tous et l'équipe nous regarde et commence à nous prendre au sérieux. Daiki prend la parole.

-On a intérêt à êtres extrêmement prudent d'accord ?

Il le regarde tout choquer, d'habitude, c'est le premier a foncé dans le tas. Et la, ils se rendent compte que même lui, ci il dit ça, c'est qu'il va falloir être extrêmement prudent. Teppeï prend la parole.

-Il va vraiment falloir être prudent. Souvenez-vous de votre match en seconde.

Oui, il est venu pour ce match, ça nous a tous fait plaisir. Il nous entraîne depuis un moment. Depuis qu'il est, opère du genou, il fait partie de l'équipe de basket universitaire du coin et par moments, on fait des matchs d'entraînement contre eux. Il a été très surpris quand il à vue mon ventre. Puis il si est fait. D'ailleurs, il est en couple avec Hyuga. Enfin, on s'échauffe et nous partons au gymnase de Tokyo pour débuter le match. Arrivé là-bas, on est acclamé nous somme quand même les vainqueurs a deux reprise de la Winter CUP.

Je souris et tout le monde nous regarde. Je me colle à Aomine ne voulant pas le quitté, la peur que j'avais depuis hier, s'intensifie voyant le regard de Hanamiya. Je tremble dans ces bras et il ressert sa prise sur moi. On part ce posé sur le banc. Je parcours les gradins du regard, je trouve nos parents et ma mère me lance un regard voulant dire: « ça ne va pas mon chéri ? ». Je fais alors un signe de tête voulant dire que non et elle regarde toute l'équipe, elle a l'aire de comprendre qu'un truc se trame et se colle à mon père qui avait le regard dure d'appréhension. OK, il a compris aussi. Je détourne mon regard, je regarde l'équipe. De l'extérieur, on pourrait croire qu'on est tous concentré, pas un seul ne parle, et ça m'étouffe.

-Daiki ?

Il descend son regard sur moi, il est concentré et regarde les autres. Daiki soupir et dis.

-Les gars, on va jouer ce match et on va gagner. S'il fait un mauvais coup, on le déjoue. Et surtout ne laissez pas atteindre votre moral.

L'équipe de Tôo qui étais derrière nous avais tous entendu et regardé Daiki comme si c'était plus le même. Je les regarde et souris. Je retourne sur l'équipe et regardé Daiki de la même façon. Je soupire.

-Un gosse ça fait mûrir, vous ne le saviez pas ?

Je dis ça un peu trop fort et tout le monde l'entend. Je me crispe et Daiki explose de rire. Je lui tape le bras.

-Ce n'est pas drôle.

-Bas au moins tout le monde et au courant, et puis ce n'était pas un secret.

-Non, c'est vrai.

-Bon, le match !

Tous se concentrent et regardent Riko. Elle réfléchit.

-Faite comme on a dit à l'entraînement.

Il acquiesce et continue les échauffements. Les arbitres appellent les équipes et il part se placer sur le terrain. Ils font le lancé de ballon, le coup de sifflet et c'est Daiki qui a la première action. Le match débute sur un panier de Daiki.

Kiseki no sedai wa dōbutsudesu FiniOù les histoires vivent. Découvrez maintenant