Kiseki no sedai wa dōbutsudesu Fini

Mariage

Ça va faire six ans que j'ai mis au monde le petit enfin plus t'en que sa Jinsoku. IL fait du basket, il est aussi grand que Kuroko et il joue avec les universitaires, il s'ennuie. Il a trouvais une astuce pour ne pas s'ennuyer, il fait au total 6 sports. Il fait donc du basket, du volley-ball, base-ball, Tennis, de la natation, foot et du cyclisme. Voilà et il est champion ou presque partout. C'est un, touche-à-tout. Au niveau de son apparence Dai et moi, on est désemparé. Il est grand, musclé, cheveux rouges et le regard bleu de son père avec une peau bronzé. Un accent américain et Japonais mélangé. En gros, c'est un tomber. Et le pire, c'est qu'il en joue. Mais bon, on verra bien. On lui a interdit de jouer avec les filles ou les garçons. J'espère qu'il nous écoute. Tien d'ailleurs quand on parle du loup.

-Maman, on va être en retard à ton mariage.

Je soupire. Oui, aujourd'hui, je me marie avec Dai. Vous allez me dire, mais pourquoi pas plutôt ? Hé bien, on n'a pas eux le temps. Les études, le petit et le boulot impossible. Alors on a attendu tout ce temps et voilà, on y est. Je stresse a mort. Mon fils m'encourage comme il peut. On part à la voiture.

On arrive rapidement devant l'église ou mon père m'attend sur le perron. Jinsoku me prend la main et me fait un grand sourire. Le même que, son père.

-Allez maman ça va allez.

Il m'embrasse sur la joue et on descend. Mon père a les larmes aux yeux. Il me prend dans ces bras.

-Je t'aime, fiston t'es magnifique.

-Merci papa, moi aussi.

On est vite rappelé à l'ordre par le bonhomme.

-Maman, papy allez, on se dépêche.

-Oui, on arrive vas prévenir le prêtre.

Il y court donc et on se met en position. Il me tient la main et moi son bras. Je tremble un peu stresse.

-Ça va aller mon ange.

-Oui papa.

La musique démarre et on entre. Je regarde l'église et suis émerveillé par le travail de Dai. Je pose mes yeux sur lui quand j'arrive au milieu de l'aller. Je me mets à pleurer, il est magnifique. Il porte un costume bleu nuit qui le mets parfaitement en valeur. Il a une chemise blanche et il me regarde avec les yeux qui pétillent.

PVD Aomine au même moment :

je stresse a mort devant l'hôtel quand, mon fils arrive. Il vient m'embrasser et dit que c'est bon. Il est bien sapé en blanc comme ça, ça fait ressortir sa peau et c'est cheveux carmin. Il ressemble de caractère à sa mère, c'est dingue à quel point, ce sont les mêmes. Je suis mal barré avec le ménage. Je soupire et la musique se lance. JE ne vois pas Taiga toute de suite, car il y a une rangé de pilier de fleur jusque, la moitie des bancs. Quand enfin, il y arrive nos regards s'encre entre. Mon dieu, il est magnifique. Je me retiens de pleurer. Il porte un smoking blanc comme neige avec une cravate rouge et une rose dans sa poche. Il est magnifique. La veste le sculpte et donne une impression de grandeur. C'est un dieu vivant.

Il arrive devant moi et je prends soigneusement sa main que mon père me tend. Je m'agenouille et lui embrasse la main.

-Vous êtes d'une beauté exquise ma princesse.

Il rougit violement et je lui souris. On se positionne devant le curé et il commence la cérémonie.

[Je passe le blabla jusqu'aux vœux]

-Bien, vous pouvez échanger vos vœux et les bagues.

Je prends la bague sur le coussin que Jinsoku vient de nous ramener et je passe la bague en regardent Taiga dans les yeux.

-Taiga, mon amour tu es la personne la plus magnifique et la plus belle que j'ai jamais rencontrée. Tu est l'amour de ma vie et je te donne, mon amour au travers de cette bague de nos enfants et du basket. Je te promets de te chérir et ceux jusqu'à la mort.

Il pleure encore.

PVD Kagami : 

je prends la bague du coussin en essayent de calmer mes larmes. Je prends une inspiration et tout en souriant lui mets sa bague.

-Daiki, au début, tu étais un être pour lequel j'ai ressenti un amour profond, mais caché par de la rivalité. Malgré, mais difficulté a m'accepte toi, tu m'as accepté tout de suite. Tu m'as fait un magnifique enfant et j'espère en avoir un autre.

Il se retient de rire.

-Mais tu es pour moi la personne la plus précieuse avec mon enfant en se monde. Je vous aime tous les deux et je te le prouve en te passent mon amour a travers cette bague les enfants et le basket.

Je souris et lui intérieurement et mort de rire comme la moitie des gens dans l'église. Super, j'ai détendu du monde au moins. LE prêtre nous rappelle à l'ordre.

-Bien, alors par les liens qui me sont, confère, je vous déclare mari et mari et ceux dans la pauvreté et la maladie. Vous pouvez embrasser le mari.

Je saute sur Daiki l'embrassent comme jamais. Ça me démanger depuis trop longtemps. Tout le monde se met à crier de joie. Il me porte jusqu'à la sortie de l'église et on se reçoit du riz dans la gueule. « Il faudrait penser a arrête, ces conneries avec le riz ».

Et voilà notre merveilleux mariage qui s'est passé entre rire et larme. Merci de nous avoir suivie et on espère que cela vous a plus. Merci bisous tout le monde.

(merci, 😱😱 26K.... Je vous aime 💋💋💋💋)