chp 7

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Daiki avait appelé, ces parents et ça mère lui avait sorti exactement la même chose qu'il avait dite quand on avait imitée nos mères. « Mon chéri, je ne suis pas assez vielle a t'es yeux ? » J'étais mort de rire quand elle lui a sortie ça. Mais sinon ils sont heureux et on hâte de les rencontre, mes parents et moi-même. Là, mes parents devrais arriver dans vingt minutes. Pour le coup, on attend à l'aéroport pour les ramener à la maison. On est tous les deux très stresse. Je suis assis sur ces genoux. À défaut de pouvoir m'assoie ailleurs, il y a tellement de monde. Je suis callé contre lui et lui caresse mon ventre avec tendresse.

-Le vol des État Unis vient d'arriver.

Aux, les voilà. Je me lève et je suis suivie de Daiki. On arrive à l'embarcadère et on attend qu'il ouvre les portes. Une fois ouverte, ma mère et mon père son les premiers à sortir. Je vais les voir.

-Hello Mom's, Pap's. Are you OK ?

-Yes, you present us charms young man ?

Je deviens légèrement rouge.

-Yes, Yes, is my Boyfriend. His name is Aomine Daiki.

-Oh ! It's a very nice boy, my son.

Daiki intervient.

-Bonjour, je suis désolé, je ne sais pas parler anglais.

Mon père lui sourit et lui tend la main. Je soupire.

-Papa, ici, on salue en se courbant, pas en se serrant la main.

Daiki me regarde, je lui montre comment faire. Et il fait de même avec mon père. Mon père souris.

- Alors dis-moi Aomine, c'est ça ?

- Appelez-moi Daiki, Monsieur.

Ma mère lui fait un grand sourire, et lui fait la bise ce qui, lui fait une tête bizarre. Il n'a pas l'habitude, mais ça me fait exploser de rire. Il me lance un regard noir.

-Quoi, pourquoi tu te marres ?

Je me calme.

-Ça se voit que tu n'as pas l'habitude. Au State, on se fait la bise ou se serre la main pour se dire bonjour.

-Ouais bas chez nous le contact physique, c'est très intime.

-Oui, je sais allé, tu vas t'y habituer.

Il soupire et boude ce qui me fait exquise un sourire.

-T'es mignon comme ça.

Il gonfle les joue et détournes le regard, rouge. Mes parents se mettent à rire. On les regarde tous les deux interrogatifs.

-Qu'est-ce qu'il y a ?

Mon père prend la parole.

-Vous ressemblez à ta mère et moi jeune.

Je souris. Et Daiki se rapproche de moi et me prend dans ces bras. Je me blottis contre lui. Et je finis part dire un peu excité.

-On rentre à la maison. Vous devez être fatigué.

Daiki le remarque et soupir.

Ma mère nous dit en baillant.

-Ouais, c'est vrai que ça a été éprouvant.

On récupère leur bagage et part à la maison. Arrivé à celle-ci. Nous partons, montrés leur chambre.

On les laisse s'installer et je vais préprer à mangé. Je soupire en le faisant un peu déprimé. Je vous l'ai pas dis, les hormones commence. Je commence à déprimer ou à me mettre en colère pour rien. Daiki le subit avec attention et s'occupe bien de moi. Il est très attentionné et fait attention au moindre de ces mouvements. Je trouve ça mignon. Il vient me rejoindre dans la cuisine et me prend dans ces bras.

Kiseki no sedai wa dōbutsudesu FiniOù les histoires vivent. Découvrez maintenant