You and Me

Chapitre 1 : Rencontre

Je sillonais une grande route à la recherche de petits commerces, de voitures, ou alors de tout ce que je pourrais trouver globalement, histoire de me trouver de la bouffe et peut être quelques armes, ouais parce que franchement je dirais pas non à une petite arme à feu. Non pas que mon couteau ne me convienne plus, non au contraire je l'aime bien, même si il est plutôt petit et donc difficilement maniable. Mais je dis juste que c'est mieux pour éviter d'être au contact perpétuel du danger que représente les "horreurs de la nature" comme je l'ai appelle, ce qui n'est vraiment, mais alors vraiment  pas plaisant au quotidien. Leurs peau en décomposition et leur putain de dents qui claque en essayant de me bouffer me dégoute.

Après environ trente minutes de marche ennuyante à en mourrir à ne rien trouver de bien intéressant à part 2 ou 3 conserves.  Je fut surprise par groupe de cinq charognes qui me barrais la route et je n'avais aucun moyen de les contourner. "Sans déconner !" Je vais  devoir me les faire un par un, comme si j'avais vraiment besoin de ça."
Après tout un peut d'action ne peut pas me faire de mal.

Je sortais alors mon couteau de son étuis accroché à ma ceinture, quand je vit que les charognes ne se dirigeaient pas vers moi. Elles se dirigaient vers un homme allongé au sol vétu d'une veste en cuire noire, d'un pantalon basique mais quand même un peut trop large à mon goût et d'un foulard rouge sang à faire pâlir n'importe qui.

Je ne sais même pas si ce mec  a été mordu ou même si ça vaut vraiment le coup de lui venir en aide.

Je ne m'imagine même pas me coltiner un abrutis, un boulet sur le dos . Certains diront que je n'ai pas de coeur, ou encore que j'ai un caractère de merde, mais je n'aime pas les gens en général, les gens nous ralentissent dans nos objectifs. Et en ce bas monde on ne peut avoir confiance qu'en soit même si on ne veut pas crever comme une merde.

Je marque alors un temps d'arrêt avant de prendre une décision, la main sur mon couteau à moitié sortis de son étuis.

"Et puis merde !"

De toute façons ces enfoirés de rodeurs me bloque le passage alors, je n'ai pas vraiment eu le choix.
Je sorti mon arme blanche de son étuis avant d'atirer les rodeurs un par un et de leur faire goûter à ma lame.
" Enfin un peut d'action ! "

Une fois les rodeurs mort pour de bon cette fois. Je regardais l'homme en détresse, il était inconscient au sol. Il s'était sans doute pris un méchant coups sur la tête, ou bien avait il tout simplement trop bu ? On ne sait jamais. Après tout si sa se trouve il ses juste mis une bonne cuite en espérant "oublier" même si on sait pertinemment qu'un jour la vérité nous attrape et que l'on doit y faire face.

Je vis au loin une petite maison modeste, cela me suffira pour passer la nuit et puis de toute façons je ne me voyais pas aller beaucoup plus loin avec un homme inconscient à porter.

Une chose m'a interpelé à côté de l'homme inconscient . Une batte. Oui, ça peut paraître étrange d'être surpris par un bout de bois mais cette une batte entouré de barbelés. Wow !
" Quel idée de génie "
Ce mec à l'air d'avoir beaucoup d'imagination. Et on va pas se mentir, cette batte est vraiment badass !
Je desside de la mettre dans mon sac à dos militaire et commença à porter l'homme en cuir.

Je me dirigais alors vers cette maison avec cet inconnu sur le dos et honnêtement il n'était pas vraiment lourd mais ce n'était pas un poids plume pour autant. J'étais exténué. une fois arriver à l'habitation je poussa la porte d'un énorme coup de pied, dont je ne suis pas peut fier , avant de faire un tour de l'appart pour m'assurer qu'il n'y a aucun danger.