La folie Incarnée (EN PAUSE )

Partie II

Panic! At The Disco: LA Devotee

La grande porte m'est ouverte et une grande structure de bois s'offre à moi. Toutes les habitations sont en planches de bois. Sûrement provenant des arbres qui bordent la ville à l'extérieur. Le ciel gris donne un aspect triste aux bâtiments. De plus, le silence qui pèse sur moi rends l'atmosphère étouffante. Seulement quelques pas plus tard, un grognement m'interromps:

- Vous là ! Je ne vous connais pas. J'espère que vous n'êtes pas venue à Faillaise pour chercher des ennuis.

Une sorte de gros troll en armure lourde à la mâchoire carrée et mal rasé, des cheveux gras vient de m'adresser la parole. Je grimace, il me prévient:

- Les Roncenoirs n'ont pas besoin d'avoir des moucherons dans leur pattes, c'est compris?

J'hausse un sourcils avant de tracer ma route pour éviter de me frotter à cet individu hyper désagréable. Ou suis-je tombée bordel? Si nous étions autre part que dans une ville, je lui aurait vite fait tranchée la gorge. Au lieu de ça, je me contente de me diriger vers le centre ville qui m'a l'air plus animé que n'importe quel recoin de ce village. Cette fois, ce sont des marchés qui animent la place. Un puits abandonné domine en plein milieu, les comptoirs de commerces sont prient dans un muret de pierre ou trois sorties sont possibles. Je visite un peut.

Un elfe noir m'interpelle:

- Hey ! Venez découvrir mes spécialités de Morrowind chère Demoiselle.

Je m'avance et commence à examiner les bouteilles de vins qui décorent son étable. Le type à la peau grise me propose:

- Voulez vous goûter?

J'agite mes mains en signe de négation:

- Non merci, je vais me contenter de regarder vos merveilles.

Je lui offre mon plus beau sourire avant de me diriger vers un autre stand. Avant d'atteindre le comptoir suivant, un homme tout crasseux me supplis d'un ton implorant:

- S'il vous plaît, une petite pièce pour un pauvre mendiant.

En raison de l'état de l'individu, je suis prise d'une pitié sans faille. La pauvreté m'a toujours attristée. Et sur le coup, il en à vraiment besoin. Et puis ce n'est pas une pièce qui vas faire la différence dans ma bourse:

- Bien-sûr.

En jettant un coup d'oeil à mon ceinturons, j'ai la vague impression que tout les regard converge dans ma direction. Je me sens observée, et de très prêt... Je fais entrechoquer quelques pièces et en sort une.