histoire d'un nouvel an

Partie 14: Trou noir

《Abey s'endormit avec une larme à la joue...》

Chapitre 29: Malade

La nuit passa...

Le matin, Abey se réveilla appréhendant déjà la nuit du 31...

Elle s'était réveillée 10 minutes avant tout le monde de manière à descendre dans la cuisine.

Elle ouvrit le frigo et chercha ce qui pourrait la rendre malade.

" Trouvé!!!!"

Sa mère avait acheter des noix de cajou. Mais, ces noix de cajou étaient crues.

" Génial! Si j'en mange une il y aura assez d' urushiol pour tomber malade mais pas assez pour mourir."

Elle prit une noix de cajou et l'avala.
Puis elle retourna dans sa chambre et se coucha dans son lit. Elle ne tarda pas à sentir les effets de l'urushiol.

Fièvre, envie de vomir mal au ventre.

Elle souffrait, mais d'un côté, elle était  satisfaite de ce qu'elle avait fait.

Quand il fut l'heure de se réveiller, sa mère entra dans sa chambre  et la découvrit malade.

- Oh ma chérie! Qu'est ce que tu as ?

- Je sais pas maman, je suis malade, dit elle faiblement.

- Ça c'est clair, tu ne peux pas aller en cours aujourd'hui.

" Yes! Trop cool !!!"

Cette fois, elle était encore plus satisfaite de son action.

Sa mère referma la porte et Abey prit directement son portable.

Ashley ❤❤

Hey

Salut mon amour😍

J'ai réussi.
Je suis malade
comme un chien.

D'accord.
Bon bah on
se voit le 31.

Oui😘😘😘

Chapitre 30: Une journée normale...

Pendant ce temps à l'université...

"Hey regardez, c'est la lesbienne, tiens, elle est pas avec sa meuf" dit Brandon satisfait car Ashley s'était retournée.

Il était avec Alison (comme toujours) et rigolait diaboliquement.

- Bah alors tu dis rien ?

- Ah quoi bon... soupira Ashley.

- De quoi ?

- Un débile reste débile aussi bien qu'une lesbienne reste lesbienne...

Brandon resta là, figé, aucun mot ne sortit de sa bouche à ce moment là. Ashley continua son chemin vers sa salle de cours.

- HEY ASHLEY !!!! cria Alison, UN DÉBILE PEUT DÉCIDER DE CHANGER, MAIS UNE LESBIENNE PAR CONTRE RESTERA LESBIENNE TOUTE SA VIE!!!

Ashley l'avait entendu, mais ne l'avait pas écouter. C'est comme si tout les sons glissaient sur elle.

Elle n'entendait plus rien, du moins, elle ne voulait plus rien entendre.