Bienvenue en France !

Chapitre 12

Yoongi se retrouvait encore une fois là. Devant le bureau de son PDG. Il était à la fois calme et stressé. Son seul espoir d'arranger était la décision de Bang Shi Hyunk. Il ne pu s'empêcher de se lever pour faire les 100 pas dans la salle d'attente. Que faire si il refusait ? Suga devait absolument parler.

La porte du bureau s'ouvrit enfin. Il avait peur. L'homme dans l'encadrement ne dit rien, il hocha juste la tête. Yoongi était soulagé presque heureux.

Ainsi il allait pouvoir parler aux gens qui avaient révélés cette histoires au grand public, ces fameux journalistes. Mais il ne serait pas seul, Yeri lui avait certifié, elle sera là et ensemble ils rétabliront la vérité.

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A peine entrer dans la salle, les appareils photos des journalistes nous mitraillaient déjà.

Manager : Aucunes questions ne seront posés pour l'instant. Ces deux jeunes sont avant tout venu pour expliquer ce qu'il s'est passé. Vous aurez la possibilité de poser vos questions après. Si une personne intervient pendant leur récit, elle sera immédiatement sortit de la salle.

Yeri et moi nous échangeons un regard. Je savais qu'elle commence et c'est ce que je fit.

*Flash back jour de l'incident*

J'avais oublié mon téléphone dans les coulisses du Musik Bank. L'émission était finis depuis longtemps et je croisa que peu de monde.

Après 5 minutes d'intense recherche, je le trouva sur une table non loin de notre salle d'attente. Mais c'est alors que des bruits d'une pièce voisine m'interpellèrent. Je m'approcha à petits pas de la pièce où je pouvais maintenant clairement distinguer des sanglots. La porte qui était alors entre ouverte, me permit de voir l'auteure de ces pleurs. C'était Yeri, la maknae des RedVelvet. Je m'approcha lentement d'elle. Se rendant compte de ma présence, elle essuya d'un revers de la main, les larmes qui coulaient encore sur son visage. Elle se leva et s'avança dans l'intention de quitter la pièce mais je lui bloqua le passage.

Yeri : Laisse moi passer.

Moi : Est-ce que tout va bien ?

Elle leva la tête vers moi et je vis quelques larmes qui menaçaient de couler sur son visage. Et c'est alors qu'elle s'effondra au sol.

Yeri : Non rien ne va.

Je m'accroupis à sa hauteur et tapota doucement son dos dans l'esport de calmer ses sanglots.

Moi : Je sais que on ne se connait pas vraiment mais si tu veux parler je suis là. Ca fait toujours du bien de parler à quelqu'un de nos problèmes.

Yeri : Je... je sais.. ma..mais je p...peux pas.

Moi : Si tu veux on peut aller autre part si tu préfères. Comme ça on sera au calme et personne ne nous entendra.

Ses larmes s'étaient calmées, elle réfléchissait à ma proposition. C'est du moins ce qu'elle donnait l'air de faire.

Yeri : Je veux bien, mais où irons nous ?

Moi : J'ai un ami qui habite à quelques minutes d'ici. Il est absent en ce moment, on pourrait aller là-bas.

Un peu plus tard, on arriva devant l'immeuble où habitait mon ami.

Yeri : Avant de monter, promet moi de ne rien dire à personne.

Moi : Je te le promet.

Et on monta au 3ème étage, nous installant dans la chambre de mon ami, Yeri me raconta son secret que pesait lourd sur ses épaules non sans s'arrêter à plusieurs reprise pour pleurer. Après m'avoir tout expliqué, je l'avait prise dans mes bras pour calmer ses larmes. Elle finit par s'endormir épuisé par les larmes et je fis de même. C'est ce moment alors que le photographe avait pris la photo.