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Je tapotais sur ma george et me calmais. J'étais plutôt détendu mais encore gênée.

Le bruit du couloir continuait et ce rapprochait de plus en plus. Dans l'élan de précipiter je cherchais mon tee-shirt ne voulant être vue ainsi.
Subitement, un homme était entrė dans la pièce et je criais comme jamais.

Moi: AHHHHH!! DÉGAGER ! !!

Le monsieur ce retourna sous mon crie et je venais de trouver mon tee-shirt sous l'oreiller. Je le mis vivement avant de tousser pour informer l'homme que j'étais "prête".

Lui: Euh je excusez moi..

Il avait l'air stressé, et vraiment pressé.

Lui: ou, ou est elle passé ! ?

Moi: Quoi? Qui? Hein? excusez moi mais je ne suis pas la.

Lui: Yooyoung, ELLE EST ?continuait il en haussant la voix.

On aurait dit un harceleur qui aurait perdu sa proie à sa manière de parler, mais bon ne jugeons pas trop vite.

Moi: Je...

Lui: Répond, avait il finit sèchement.

Moi: vous êtes qui?

Lui: Son père.

Une droite, une gauche, poum dans ma face. Ça m'apprendra à poser trop de question.

Le père de Yooyoung s'approchait de moi et me saisis par les deux épaules, puis commença à me secouer de gauche à droite.

Lui: OU EST MA FILLE!!

Je repoussais l'homme devenue un temps soit peu violent avant de lui répondre qu'elle n'était plus là, qu'elle venait de quitter cette salle. Un court instant il n'avait pas réagit, j'eu peur qu'il était sourd et qu'il n'avait pas compris; mais finalement, l'information fini par faire le tour de sa boîte crânienne et son visage se decomposait.

Dans l'incompréhension, je penchais ma tête tout en continuant de le regarder dans le blanc des yeux.
Le père de cette fille fit deux pas en arrière avant de s'assoir sur le sol et de ramener ses jambes contre son torse. Ses mains s'étaient déposés sur sa tête comme si il n'arrivait plus à porter celle ci.

Moi: Vous allez bien? Je peux vous aidez? Un problème?

Il ne me répondit pas. C'est de famille ou quoi ces vent la?! Je commence à en avoir marre !

Moi: Me répondre c'est pas une option. Ça s'appelle le respect, vous connaissez?

Lui: Ferme la.

Ah bah ça pour une réponse, c'est pas vraiment ce que j'appelle une réponse respectueuse.
Sans réfléchir je lui envoyais le l'oreiller qui cacher il y a peu mon vêtement. Bingo, en pleine face.

Surpris, il ce recoiffait d'un rapide coup de main avant de me fixer.

Lui: Je veux voir ma fille!

Moi: Je pense que j'avais compris, merci.

Lui: T'es saoulante comme meuf, tu foutais quoi avec elle? Tu la Baiser c'est pour ça que t'était à moitié à poil ? Ta contaminer ma fille c'est ça

Choquer, je n'avais les mots. Pour commencer, quel était cette manière de parler, de s'exprimer ou plutôt de cracher autant de mot blessant à une fille plus jeune. Ce langage, même les garçons les plus horribles de ma classe on plus de respect pour les autres. Non, c'est vrai, il est juste comme eux. Bizarre, étrange,  méchante, odieux. Peut être même est il un pervers narcissique.

Lui: Tu compte restez la encore combien de temps?

Moi: Je devrais peut être vous retourner la question, non? Vous êtes dans notre lycée et qui que vous soyez, et à ce que je vois un mauvais père, vous n'avez aucunement le droit d'être ici et de mal parler aux élèves de ce lycée.

Cette fois ci j'avais sûrement trop parlée. Sans une, ni deux il ce relevait très rapidement et me saisit par le col du tee-shirt.

Lui: Tu a intérêt à retirer ce que tu a dis. Je rigole pas avec les putes de ton genre. Petite salope, je vais te faire payer ce que tu a oser dire!!

Mais bordel, c'est qui lui? C'est quoi ce père de merde? C'est quoi son foutu problème.

Avant de finir étouffé je lui mis un coup de pied bien placé. Par la douleur il lâchait son emprise et des lors que mes pieds avaient retrouvés le sol, je me mis à courir en dehors de cette foutu salle sans oublier le sac de la brune.

Je connaissais cette endroit, je reconnaissais ce couloir. C'était toujours au lycée mais c'était le deuxième bâtiment qui ne comprenais pas les classes des élèves.
C'était le lieux où on rangeaient le matériel de sport et aussi un bon nombres de papiers, ou de dossier.
En bref, la première partie comprenais le matériel scolaire et quelques salle comme celle où j'étais pour les blessés et le fond du bâtiment était interdit aux élèves.

Essoufflée et à l'extérieur, je pensais être enfin seule et tranquille. Mais non, il fallut que je tombe sur David qui me devisageais sans gêne.

David: Alors, quel garçon tu viens de te faire dans la réserve?

Mais c'est pas possible, c'est quoi le problème des garçons aujourd'hui.
Heureusement la voix de Chiara venait me sortir de tout ceci.

Chiara; Nara, nara, disait elle tout joyeuse.

La rousse me sauta au cou ne manquant pas de me faire tomber.

Chiara: T'étais ou? Je sais que le prof ta virée mais pourquoi ta séché après?  t'était énervé ?!

Moi: Séché ?  Ah non attend en faite quand-, et l'autre fille me coupait.

Léa: EHHHHHH!!

Je me contentais de l'ignorer.

Chiara; Quoiiii?

Léa : Y a un gars qui sort de la réserve !

David: Mdrrrr Nara T'es sérieuse ? Je savais pas que t'avais ce genre de gout

Moi: Sérieux David, ferme la.

Dans ma tête c'était la panique. Je voulais fuir un peu plus loin, je priais pour qu'il ne me reconnaisse pas.
Mais c'était foutu, il venait en ma direction.

Mon Gage, Un Bisou. [Yuri.HV]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant