chapitre 2 ( le réveil )

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Lorsque je me suis réveillé ce matin, je me sentais enfin moi-même. Il serait inexact de dire que mon père ne manquent pas, même si il été pas souvent là. Je l'entendais au-moins la nuit de ma chambre lorsqu'il rentrait où ronfler. La toute la nuit ne fus qu'un lugubre silence. Il y avait même pas une lueur, d'habitude il y a toujours mon réveil qui empêche les ténèbres de toute envahir. Hors ces détailles et le temps pluvieux, toute allé bien.

- Bon Gabriel, une nouvelle journée commence.

Je regarde mon portable qui m'indique 12h30.

- Heu... plutôt a commencé. Bon organisons ton programme, d'abord manger, puis salle de bain. Ensuite direction l'accueille, après direction le centre de soin, shopping et pour finir manger dans un petit resto sympa. Après un petit somme d'une ou deux heures et direction le night club de la ville. Bon je m'attends à voire une boite de nuit comme à Paris c'est trop demandé à cette ville, on verra bien. Ces plans m'ont l'aire toute a fait faisable Gab un ... oui Bon allé c'est parti motivé.

Je parti de mon appartement en prenant soin de ne pas oublier le plan de la ville. À ma grande surprise lorsque je mis les pieds en dehors de mon appartement, la lumière fonctionna. Lord Stevenson était à sa place à côté de ma porte. D'ailleurs il ait un peu flippant avec son regard sévère le bras droit tendu et ses livres de la main gauche. Dans le hall l'architecture et la décoration faisait vraiment pensé au palais de Buckingham palace, avec lustre en cristal et diverses tableau d'illustres inconnus.

L'accueil fut facile à trouver tellement le bâtiment enfin le préfabriqué faisait tache en plein milieu de ces bâtiments d'un autre siècle. En rentrant dans cette boite à chaussure, la décoration dépouillé me choqua. Juste un comptoir noir avec un ordinateur même pas une plante verte. Les murs blancs immaculée, une lumière tamisée. On aurait dit l'entrée d'un espace funèbre. Je n'avançai timidement jusqu'au contoire. Une vieille femme était en train de taper et à son ordinateur. Elle portait un tailleur noir, je restai un instant croyant qu'elle n'avait vu. Or ce n'était pas le cas. J'osai me raclé la gorge pour attirer son attention. Elle leva les yeux de son ordinateur et posa son regard glacial sur moi. Cela me fit froid dans le dos, de plus un legé rictus se dessiner sur mon visage, car l'image de la morgue ne va pas sans le mort. Elle ouvrit légèrement la bouche.

- Oui, vous désirez ?

Ça voix me donna des frissons, stridente et lugubre a la fois. J'avais l'impression de ne pas être à ma place. Je ne su quoi dire pendant quelques secondes. Elle aurait pu tuer avec son regard elle l'aurait fait.

- Heu... je suis là pour l'emploi du temps des premières années de droit s'il vous plaît.

- Quelle est votre nom ?

- Heu ... Gabriel... Gabriel Porter madame.

Elle falli s'étrangler dès que j'ai prononcé mon nom de famille. Ces yeux se sont révulsés, et dans un souffle que je croyé être son dernier articula.

- Pa .. pardon !!!

- Gabriel Porter, je viens d'arriver de France.

Elle me faisait franchement peur, il manquerais plus qu'elle face une syncope devant moi et que je doive lui faire bouche à bouche. Elle plongea son regard qui s'était tout à coup rivé, sur son écran. Puis son regard resta fixé et inexpressif devant son écran. Cette statue vivante, me donna la chaire de poule. J'attendis quelques instants puis décida de rompre ce silence si angoissent que cette femme faisait peser. D'une toute petite voix.

- Madame Vous allez bien ?

Immédiatement son regard pris vie, ce n'est plus du mépris et de la supériorité que son attitude dégagée, mais du respect. Cela faisait encore plus peur.

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