La Chasse est Ouverte

NE JAMAIS HUMILIER UN BLANCO

Je l'avais emmenée incosciente dans ma maison,dans la cave précisement.

Je l'avais installée sur une chaise, pieds et poing liés. J'étais parti me changer.

Je suis revenu avec une chemise blanche, un pantalon noir et une veste tout aussi noir.

J'ai tiré une chaise, posais mon royal postérieur et atrendus son réveil

Une demie-heure passa et enfin, elle ouvrait ses yeux

-où suis-je???? Dit-elle toute émoussée

-tu es dans ma demeure. Dis-je en me tournant, assis sur une chaise et flingue à la main, pour lui faire face.

-toi???

-oui!!! Moi. Ça fait bizzare d'inverser les rôles??? Je suis devenu le chasseur et toi, la proie.

-que vas-tu me faire???

-me violer??? Dit-elle avec un ton terrifié

-non pas du tout. Mon père me disais que tu ne devais jamais forcer une femme à baiser avec toi s'il n'était pas consentente.

-tu veux quoi alors???

-on va juste jouer à un jeu, on va voir combien de temps tu vas resister

-tu n'es qu'un malade,espèce de conard.

Je m'approchai du bouton de son pantalon, l'ouvris et commençai à le lui retirer. Le pantalon s'arrêta net sur la corde qui rattachait ses jambes.

Je pris un couteau et coupai la corde et elle en profita pour me donner un coup de pieds sur le menton.

-biens joué, tu te débats même quand tout espoir est nul. J'ajoutai avant de finir à lui retirer son pantalon blanc en jeans.

Je commencai, avec mon couteau en main, par lui dessiner un grand B sur sa cuisse gauche.

Quand je plantai le couteau dans sa chairs, je vus ses pupilles se dilater et je l'entendai hurler à plein poumons.

-pourquoi tu cries??? Ça fait mal??? J'ajoutai avec un rictus aux lèvres

Je pris un bout de métal que j'avais fait préchauffer puis le déposai sur son autre cuisse

-Ahhhhhhhhh!!!!!hurla-t-elle de toutes ses forces

-je pense que ça doit faire mal. Est-ce que ça fait mal???? Je lui posai

-t'es sérieux là, tu viens de me cramer la cuisse et puis tu me demandes si ça fait mal???

-ça fait mal???

-non pas du tout, c'est hyper agréable. Dit-elle avec une pointe de sarcarsme

- puisque tu dis que c'est agréable, passons à la vitesse supérieur.

Je m'étais tourné vers une boite et dès que je sortis le contenu, j'ai vu son sang se glace.

-je te présente mon animal de compagnie

-de compagnie???

-oui, de compagnie. C'est un beau Python, tu ne trouves pas??

C'est lui qui va te porter le coup de grace.

En emprochant le python, je découvris une main toute sale avec une manicure digne des filmes d'horreur.

-tu sais quoi, je vais te faire une manicure.

-...

-mais à ma façon

Je saisi une tenaille et lui séctionna deux doigts des deux mains.

Elle hurlais.

Après quelque minutes, ce spectacle devenait lassant.

Donc je me dirigeai vers la porte, tout en m'assurant de bien déposer le python sur son corps

-Et n'oublie pas, personne à le droit d'humilier un BLANCO. Telles furent les dernières paroles qu'elle entendit avant de succomber à la morsure du serpent.