Chapitre 4 - Le second jour

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Le lendemain.

Je me réveilla aux alentours de 6h du matin, après la soirée d'hier qui était assez mouvementée.

J'avais faim, j'attrapa mon gros sac et pris à manger.

Au fond de mon sac je senti un espèce de rouleau.
Je le sorti du sac et vit une carte, je déroula la carte et c'était une carte du monde ! Une lettre tomba en même temps.

J'ouvris la lettre et reconnu l'écriture de mon père. La lettre disait :

Mon Fils,

Si tu lis cette lettre, c'est que je suis sûrement mort.
Je sais que tu peux éviter cette catastrophe, tout ce que tu a à faire est réunir un groupe de personnes qui sont comme toi, qui sont contre la purge ! Et je sais où tu peux trouver ces personnes, il y a un bunker caché pas loin de la frontière Franco-Italienne. Ne t'inquiète pas, le bunker est très bien caché. Là-bas tu trouveras des gens bien. Et il y a une surprise qui t'attends ; ) ! Fonce mon fils !

Je t'aime, Daddy.

Je ne pouvais plus retenir mes larmes, je pleura pendant quelques minutes, puis me retourna pour prendre mon sac, je le fouilla pour prendre une des bombes teleportatrices que papa m'avait donné, mais elles n'y étaient plus ! Tout le stock que papa m'avait donné, avait disparu ! Sûrement ce Tristan, quel escroc !

J'étais à 2heures de la frontière, je ne pouvais pas y aller à pied, il fallait que je me trouve une voiture.

J'avanca alors de ville en ruine en ville en ruine en mangeant ma pomme mais rien, j'en pouvais plus, mes bottes étaient tellement lourdes ! :

J'avanca alors de ville en ruine en ville en ruine en mangeant ma pomme mais rien, j'en pouvais plus, mes bottes étaient tellement lourdes ! :

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J'en pouvais plus.

Moi : Jésus, aide-moi !

J'avanca encore et vit une Citroën !

Moi : Thanks God.

Je m'avanca vers la voiture, elle était toujours en bonne état malgré toutes les ruines qui étaient autour. Elle avait une couleur magnifique, que je n'avais jamais vu auparavant.

J'ouvrit la porte de devant, les clés étaient deja mises.
Je sauta dans la voiture et roula le plus vite possible, je pense en avoir pour 1h30.

1h30 plus tard.

J'étais enfin en face de la frontière, il n'y avait que du pierres et du sable, c'était désert il n'y avait personne rien, même pas de bâtiments en ruine, rien ! Bref, le principal est que je m'en suis sorti indemne, gloire a Dieu !
En réalité, j'ai eu tellement de chance, á part Tristan, je n'ai croisé personne d'autre ! C'est un peu louche, mais bon..

Soudain, j'entendis un énorme bruit, je me suis dis que c'était sûrement un orage, je regarda alors vers le ciel par le par brise de la voiture et vit une bombe qui se dirigeait vers la voiture.
Je ne savais plus quoi faire, l'idée de sortir de la voiture ne m'avais même pas effleurer l'esprit, la peur me tetanisais.

La bombe atterrissa à quelques mètres seulement de la voiture, la voiture fit plusieurs ricochets sur le sable.

Je voyais mon sang valser et tournoyer dans la voiture.
Je sentais que c'était la fin, je voyais ma vie défiler, jusqu'à ce que la voiture arrête de faire des ricochets.

Ma vue était floue, je ne voyais presque rien, j'allais fermer mes yeux, quand je vis 3 silhouettes, un des trois silhouettes (celles du millieu.)
me donna un énorme coup de pied sur mon visage, c'était la fin.

??? : Nil..Nilson ?

À suivre...

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