Chapitre 11

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Le lendemain matin, plus précisément à six heure quarante, le soleil rayonne au travers ma chambre. Un mal de crâne immense me prend tout d'un coup, qu'est-ce qu'il s'est passé hier? Des espèces de flashbacks me vienne à l'esprit, je me revois à la soirée avec Grey on était dans une grande maison, je crois même que j'ai fais la connaissance de Sting.C'est alors que tout me revient à l'esprit, je me souviens que cette fête n'était autre qu'une embuscade pour que je me bat contre Sting.Je me souviens de m'être battu contre lui mais après plus rien, le néant total. Je n'aurai pas dû accepter l'invitation de Lucy, sans ça ne ne me serai pas fait humilié devant tous les autres.

Une haine où plutôt une colère haineuse prend possession de moi, mais cela n'est que de courte durée puisque c'est le bruit de léger petit coup contre ma porte qui me sors de cette colère. La porte légèrement pour laisser apparaître Roméo.

"Tu prend ton petit-dej'?"

Je me tourne afin de m'asseoir, ou plutôt j'ai pour mission d'essayer de sortir de mon lit. Malheureusement pour moi la douleur me tape de plein fouet, c'est avec peine et douleur que je réussi au bout de cinq minute de m'asseoir sur le bord de on lit. Sous la stupéfaction de mon frère je comprends que je ne suis pas beau à voir, je me doutai bien au vu des nombreuses douleurs qui me font souffrir le martyr que je n'avais pas une mine de star d'Hollywood. Tout en essayant de ne pas m'écrouler de douleur dans mon lit je regarde Roméo dans les yeux et je vois bien qu'il a envie de me poser des questions sur ce qu'il s'est passé mais une seule sort de sa bouche et qui me donne un léger rictus.

"Il est comment l'autre gars?"

Je fais mine de ne pas comprendre ce qu'il veut dire et lui demande de répéter sa question, bien évidemment il ne prends pas de gants et fonce droit au but.

" Il est aussi moche que toi?"

Un petit rire sort de ma bouche, mais ce n'est que de courte durée avant que la douleur ne revienne à l'assaut de mon pauvre corps. Malgré tout j'arrive à lui sortir une réplique que moi seul est capable de sortir dans c'est moment là.

" Ouai... Mais il était déjà moche avant le combat."

Mais malgré mes paroles qui se veulent rassurante mon frère ne semble pas convaincu et je sais pertinemment au fond de mon être qu'il a raison, par conséquent j'essai de glisser vers un autre sujet. Mais je me souviens tout à coup les paroles de ma mère sur le fait que peu importe l'endroit ou je me trouve , j'ai toujours "la chance" de trouver une occasion afin de me battre.

" Dis-moi champion, ne dis surtout rien à maman d'accord?"

"Pas besoin de lui dire." dit-il en rigolant

Sa réponse me fait rire du moins pour quelques minuscules secondes, la douleur de mes côtes me fait extrêmement souffrir. Mon visage se déforme sous la douleur, malgré qu'il soit déjà quelques peu déformés par les marques et les traces du combat.

"Tu.. arriveras à trouver le bus scolaire tout seul?"

" Tu parle du truc jaune sur roues?" me dit-il

Je lui fis un signe de la tête et sans un mot de plus il quitte ma chambre tout en fermant la porte derrière lui, pendant que j'admire la triste mine que j'affiche.

POV Lucy

Nous étions au self avec Yukino et Ben, je ne cesse de repenser à ce qu'il s'est passé hier soir. C'est par ma faute que Natsu s'est fait humilié devant tout le bahut, si seulement je n'aurai pas fait ce que Sting m'avait demandé jamais cela se serait produit.

'Ah ouai le nouveau, il a pas renoncé. Il a pris une sacré raclée"

"Qui ça, le bûcheron?"

" Je me souviens ouai, mais tu as vu la video Ben?"

" Et comment, Sting la dérouillé! Il en a mangé grave."


Comment peuvent-ils parlaient de ça sur un ton aussi enjoué, c'est tout ce que cela leur procure de la joie. Un type de fait humilier devant toute une foule, sans parler de tout ceux qui on vu la video et eux ils trouvent ça drôle, ils me dégoûtent. Sans attendre une minute de plus je quitte la table et sort du self sous leurs protestations, je ne peux rester avec eux alors que je suis la principale fautive de cette humiliation.

POV Natsu

Après s'être assuré que Roméo soit parti, je me suis levé difficilement de mon lit pour aller me chercher un poche de glace afin de faire estomper la douleur et surtout pour ne pas avoir un trop gros cocard. Le froid se répand sur la douleur et une vague de bien-être me submerge, la douleur se calme tout doucement certes mais au moins c'est déjà ça.

J'enlève la poche de glace de mon œil pour la poser un peu sur mes côtes souffrantes, mon oeil est quasiment fermé mais une chose attire mon attention, le carton qui contient les affaires de mon paternel. Un flashback me vient soudainement à l'esprit, nous étions tout les deux au bord d'un lac en plein parti de pêche. Lui avec sa bière à portée de main et moi avec mon chimarrão, c'était l'un de rare moment qu'on passé ensemble mais c'était toujours bon enfant. Mon père avait toujours cette manie de sortir des blagues digne d'être marqué sur les emballages de carambar, mais pourtant cela me faisait toujours sourire. Mais une haine me prend soudainement, je saisi le carton et le lance à l'autre bout de la pièce avant de hurler de douleur. Mes côtes me font extrêmement mal, c'est comme ci un troupeau d'éléphant me marchait dessus. Cette excès de haine me tuera un jour et ça j'en suis certain, je ne hais pas mon père non c'était un type formidable, celui que je hais c'est moi, son meurtrier.

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