Chapitre 2

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Vou-a-la un nouveau chapitre ! Je n'ai absolument AUCUNE inspiration pour mon petit message de début... mais est il vraiment indispensable ?

La réponse est non alors... place au chapitre !

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- Ils sont toujours sur NorthBlue Madame. Officiellement Judge n'a que deux fils, mais il en aurait un troisième. Il se serait enfuit étant enfant.

- Bon travail Danijel, dis-je,

L'homme fronça les sourcils et secoua la tête, faisant ondulée sa longue chevelure blanc creme :

- Vous comptez rappeler son fils à un passé qu'il a fuit ? Et puis vous les tuerez et prendrez leur armée.

Son expression était comme à son habitude neutre mais je percevais néanmoins une pointe de désapprobation dans sa voix. Mon précieux garde du corps avait toujours conservé une certaine forme de bienveillance, et ce malgré toutes ces années passées avec une personne telle que moi.

- Désaprouverais-tu ma façon de faire Danijel ? C'est vrai que tu as toujours porté une certaine affection pour la justice.

Et il est maintenant un pirate.

- Vous êtes ma seule justice Madame. Je tuereais un village tout entier si vous m'en donniez l'ordre.

Je ne douté pas de la véracité de ses paroles : j'avais fait en sorte qu'il n'y ait plus aucune autre justice pour lui désormais.

Je posa ma main sur son épaule et plongea mon regard dans le sien :

- C'est pour cette raison que tu es le seul en qui j'ai confiance Danijel.

Je souris sombrement et lui tendis un petit miroir de poche :

- Brûlée à connecté trois miroirs entre eux, grâce à ça nous pourrons communiquer sans même passer par la dimension miroir.

Hochement de tête :

- C'est une bonne idée Madame. Mais si j'en ai un et toi un autre, pour qui sera le troisième ?

Je ricanna :

- Dis-moi Danijel : as-tu déjà entendu parler de la chirurgie de jouvence ?

Ce dernier fronça les sourcils mais comme à mon habitude je ne m'expliqua pas et changea de sujet :

- Suis-moi. J'ai des affaires à régler.

Lui demander de me suivre était bien sur inutile, c'était devenu une habitude. Mon garde du corps marchait toujours à quelques centimètres derrière moi. Comme ma propre ombre.

J'arriva jusque dans ma chambre. Et m'écroula dans mon lit, au milieu d'une douzaine d'oreillers et d'homies peluches. Je jeta mes talons dans un coin de la pièce et ferma les yeux un instant.

- Mademoiselle Sadie, êtes vous fatiguée ?

- Mademoiselle Sadie, souhaitez vous dormir ? Doit on fermer les rideaux ?

La 10e fille de Big MomOù les histoires vivent. Découvrez maintenant