« Salut Kévin » dit froidement Margaux sans même lui adresser un regard. La réaction boudeuse de Margaux ne le blessa pas le moins du monde, il commençait déjà à discuter avec les gens présent à la table, tout en l'ignorant. « Salut Antoine, dit tu parle pas beaucoup hein ? », les yeux bleus émeraudes d'Antoine se relevèrent: « Pourquoi je me casserai le Q pour parler à un mec – baissant ses yeux sur son livre – je préfère parler au nana, bonne de préférence. », « Comme moi ? » répondis d'un air espiègle Margaux en fixant Kévin, pour essayer de le rendre jaloux. Sa manip ne marcha pas du tout puisque Kévin répondit du tac au tac en rigolant : « J'avoue, j'imagine que tu l'as déjà sauté ? N'en soit pas fière, tout rentre avec elle, MDR, c'est un vrai garage à bite ! » Antoine laissa échapper un rire, pendant que Kévin et la plupart des gens autour d'eux étaient explosé de rire. Margaux, vexée, devenait rouge de honte. Elle se leva, regarda droit dans les yeux Kévin, et lui cria dessus : « Si je suis un garage à bite toi t'es qu'une Twingo ! » et elle partie, l'égaux blessé de ne pas avoir à sa botte Kévin. En réalité, elle était persuadée qu'il était aller coucher avec une fille pendant la mâtiné, ce qui expliquerait son absence au lycée.
Kévin excédé de devoir courir après son plan Q, roula des yeux et soupira. « Bon, la princesse boude, je vais devoir la suivre les gars, à plus ! » Deux ou trois personnes lui répondirent pendant qu'il s'éloignait déjà.
Kévin la suivi sans se presser jusqu'à la salle E10, l'endroit où ils se rejoignaient toujours. Il entra dans la salle sans vérifier sa présence, il se tourna pour fermer la porte à clef. « Alors, que dois-je faire pour me faire pardonner? » dit Kévin d'un ton coquin et joueur. En se retournant, il vit Margaux, toujours aussi magnifique, à contre jours, qui balançait ses jambes comme une petite fille sage. Ses longs cheveux couleurs or allait parfaitement avec son chemisier blanc rentré dans sa jupe crayon taille haute, bleu pastel. La ceinture large noire, marquait parfaitement sa taille de guêpe.
Pendant que l'un des boutons du chemisier menaçait de craquer à cause de sa poitrine trop volumineuse. Avec un sourire ravissant, et ses yeux verts plissés, elle lui répondit « Prend moi comme une chienne. »
Et c'est sans se faire prier que Kévin avança vers Margaux pour lui plaquer les deux mains contre la table. Il approcha son visage le plus proche possible du sien, et posa délicatement ses lèvres contre les siennes. Pendant que leurs langues senroulaient, leurs bassins se collais l'un à l'autre. Kévin se releva en emmenant Margaux qu'il plaqua ensuite contre le mur. Ses jambes autours de la taille, elle avait une main derrière sa nuque pour garder son équilibre, pendant que son autre main se baladait un peu partout sur son corps transpirant de désir. Kévin lui retira son t-shirt avant de plonger sa tête dans la poitrine généreuse de Margaux, qui, ne pouvant plus se contenir, bascula sa tête en arrière en gémissant. Quand Kévin s'arrêta, elle releva la tête empoigna ses cheveux, et avec son pied contre le mur, poussa Kévin pour qu'il soit bloqué contre la table en face d'eux. Elle pris appuie avec ses pieds sur la table, posa ses mains sur les épaules de Kévin, et l'obligea à s'allonger. Margaux ainsi en position de force, s'amusa à déshabiller Kévin, qui se laissais complètement faire. Bientôt, il se retrouva en caleçon, Margaux descendis de la table, tira les jambes de Kévin pour que son petit fessier craquant s'arrête tout au bords de la table. Elle se misa lors à genou, rapprocha son visage de la partie si sensible des garçon, et dis d'une voix taquine « Maintenant que j'ai ton téléphone je vais pouvoir savoir avec qui tu étais ce matin ! » et sans laisser le temps à Kévin de réfléchir, elle lui pris son pantalon, son t-shirt, et partie en courant avec le téléphone en le laissant impuissant. Kévin fous de rage frappa contre un mur : « Putain de merde de chiotte ! La salope ! Je me fais pas embobiner par les meufs moi ! »..
Cela faisait au moins 1h30 que Kévin attendait impuissant une solution miracle. En plus de ça, elle avait pris la clef, donc la salle était ouverte et il n'avait aucun moyen de la fermer.
Surtout que la porte était une porte coulissante, donc la technique de la chaise comme dans les film était simplement inutile. Pendant qu'il se déchaînait une ultime fois contre les murs en criant la haine et la rage qu'il avait contre cette putain, des bruits de pas se rapprochaient de la salle. Kévin s'arrêta. Il attendis devant la porte, sans gêne, une ombre se plaça devant la porte. Doucement elle coulissa laissant apparaître Chloé, qui rougis instantanément. Et Antoine, le bras autour de ce qu'il semblait sa futur proie, lâcha un fous rire qui donna à Kévin un air ultime de boudeur. Chloé s'enfuie sans chercher à comprendre, ce qui stoppa le rire d'Antoine : « Et bas bravo, t'as fait fuir ma demoiselle ! » cette fois ce fut Kévin qui lâcha un rire moqueur. « Bon arrête de rire et explique moi comment t'as atterrie comme ça ! » demanda Antoine tout en refermant la porte à clef. « Longue histoire je te raconterai une autre fois, mais faut absolument que tu me sorte de cette galère ! » « Ok d'accords, j'ai peut être une soluce pour toi, mais faudra que tu m'aide à pêcho une nouvelle nana en échange ! » Kévin promis, et Antoine sortie sa tenue de sport de la mâtiné, trempé de sueur puante. « Génial » s'exclama Kévin avant de l'essayer. En plus d'avoir des auréoles jusqu'au genou, la tenue était beaucoup trop petite pour lui. Et oui, Antoine devait faire 1m78, pendant que lui, en mesurait 94. Kévin sortie de la salle, ridicule, en remerciant Antoine. Des regards étonné se retournaient dans tous les couloirs. Et derrière lui on pouvait entendre des rires insultants. Tout ceci ne fit que nourrir la colère de Kévin. La seul chose qui lui fit sourire, c'est de voire au prochain couloir, Margaux avec ses fringues, de dos. Elle ne l'avait pas vu. Il en profita pour l'approcher de derrière sans bruit. Enfin à sa auteur il l'entoura de ses grands bras, posa sa tête dans son coup pour lui faire un suçon, et agrippa son t-shirt
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La E10
Romance15 personnes, toutes avec leurs personnalités différentes. 15 vies, avec des blessures profondes pour chacun. Qui vont se croiser encore et encore. 15 personnes qui vont devoir cohabiter ensemble pendant 1 ans dans une salle : La E10